Investing.com - Le dollar U.S. bétonnait face à la plupart de ses concurrents ce mardi après-midi, avec l'espoir que les négociations à Washington débouchent enfin sur une remontée de la limite d'endettement des Etats-Unis, à temps pour leur éviter de manquer à leurs remboursements.
En seconde partie de séance européenne, le yen fléchissait toujours devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,06% pour se hisser à 98,52, aux abords d'un sommet de deux semaines.
Il a en effet retrouvé des couleurs après qu'Harry Reid, chef du groupe sénatorial démocrate, ait déclaré hier que des "avancées remarquables" avaient été réalisées en direction d'un consensus, laissant espérer une sortie de l'impasse.
La menace d'un défaut de paiement persiste, en cas de poursuite des querelles politiques après la date limite de jeudi.
Tout compromis devra cependant être adopté par la chambre des représentants, à la tête de laquelle le républicain John Boehner décidera d'autoriser un vote ou d'exiger davantage de coupes dans les dépenses fédérales.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,51% pour tomber à 1,3491.
Ce dernier n'a guère capitalisé sur la remontée d'une force inattendue de l'humeur allemande, atteignant en octobre son plus haut niveau depuis avril 2010.
Le centre de recherches économiques ZEW a ainsi mesuré une hausse de 3,2 points de son indice de l'optimisme économique germanique depuis les 49,6 précédents jusqu'à 52,8 pour le mois en cours, alors qu'une stagnation semblait probable.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,30% pour chuter à 1,5934.
Celle-ci avait connu un bref sursaut après que le bureau britannique des statistiques ait constaté que les prix à la consommation britanniques avaient augmenté de 2,7% d'une année sur l'autre en septembre, comme pour le mois précédent.
Les experts pensaient pourtant que cette évolution se limiterait à 2,6% pour la période considérée.
Ils ont cependant gonflé de 0,4% au long du mois passé, au lieu des 0,3% envisagés.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,65% pour culminer à 0,9161, après avoir établi un pic mensuel.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'AUD/USD arrachant 0,35% pour se retrouver à 0,9520, le NZD/USD s'élevant de 0,08% pour culminer à 0,8365 et l'USD/CAD prenant 0,09% pour monter à 1,0361.
La première a consolidé ses positions après que la Réserve Bancaire d'Australie ait signalé dans son compte-rendu détaillé de la plus récente réunion de son comité d'orientation ait montré l'absence d'empressement de sa part à procéder à de nouvelles réductions des taux d'intérêt, les précédentes produisant encore leurs effets.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,44% pour se situer à 80,73.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec un rapport sur l'activité manufacturière dans la région de New York.
En seconde partie de séance européenne, le yen fléchissait toujours devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,06% pour se hisser à 98,52, aux abords d'un sommet de deux semaines.
Il a en effet retrouvé des couleurs après qu'Harry Reid, chef du groupe sénatorial démocrate, ait déclaré hier que des "avancées remarquables" avaient été réalisées en direction d'un consensus, laissant espérer une sortie de l'impasse.
La menace d'un défaut de paiement persiste, en cas de poursuite des querelles politiques après la date limite de jeudi.
Tout compromis devra cependant être adopté par la chambre des représentants, à la tête de laquelle le républicain John Boehner décidera d'autoriser un vote ou d'exiger davantage de coupes dans les dépenses fédérales.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,51% pour tomber à 1,3491.
Ce dernier n'a guère capitalisé sur la remontée d'une force inattendue de l'humeur allemande, atteignant en octobre son plus haut niveau depuis avril 2010.
Le centre de recherches économiques ZEW a ainsi mesuré une hausse de 3,2 points de son indice de l'optimisme économique germanique depuis les 49,6 précédents jusqu'à 52,8 pour le mois en cours, alors qu'une stagnation semblait probable.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,30% pour chuter à 1,5934.
Celle-ci avait connu un bref sursaut après que le bureau britannique des statistiques ait constaté que les prix à la consommation britanniques avaient augmenté de 2,7% d'une année sur l'autre en septembre, comme pour le mois précédent.
Les experts pensaient pourtant que cette évolution se limiterait à 2,6% pour la période considérée.
Ils ont cependant gonflé de 0,4% au long du mois passé, au lieu des 0,3% envisagés.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,65% pour culminer à 0,9161, après avoir établi un pic mensuel.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'AUD/USD arrachant 0,35% pour se retrouver à 0,9520, le NZD/USD s'élevant de 0,08% pour culminer à 0,8365 et l'USD/CAD prenant 0,09% pour monter à 1,0361.
La première a consolidé ses positions après que la Réserve Bancaire d'Australie ait signalé dans son compte-rendu détaillé de la plus récente réunion de son comité d'orientation ait montré l'absence d'empressement de sa part à procéder à de nouvelles réductions des taux d'intérêt, les précédentes produisant encore leurs effets.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,44% pour se situer à 80,73.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec un rapport sur l'activité manufacturière dans la région de New York.