Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face au franc suisse ce lundi, les représentants de l'Union Européenne ayant démenti les rumeurs selon lesquelles la Grèce aurait demandé une restructuration de sa dette, après avoir dû recourir en mai dernier au fonds de secours de l'UE et du Fonds Monétaire International.
La paire USD/CHF est retombée de 0.8979, son cours le plus élevé depuis le 13 avril, jusqu'à 0.8942 en première partie de séance européenne, gagnant tout de même 0.2% sur la journée.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8895, son plancher historique de jeudi dernier, et de rencontrer de la résistance à 0.9074, son plafond du 12 avril.
Christine Lagarde, ministre des finances de la France, a en effet assuré en début de matinée que la Grèce n'aurait pas besoin de restructurer sa dette, parce qu'elle respectait ses obligations et que les nouvelles mesures promises par le gouvernement grec devraient lui permettre d'emprunter de nouveau sur les marchés financiers.
Les bruits faisant mention d'une restructuration avaient auparavant poussé les fourchettes des dividendes des bons du trésor hellène à des niveaux jamais vu par rapport à ceux de l'Allemagne, et de malgré les dénégations répétées des autorités de la Grèce.
La monnaie helvète a aussi gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/CHF cédant 0.39% pour tomber à 1.2826.
Richard Fisher, président de la réserve fédérale de Dallas, devrait pour sa part prendre la parole à Atlanta en cours de journée.
La paire USD/CHF est retombée de 0.8979, son cours le plus élevé depuis le 13 avril, jusqu'à 0.8942 en première partie de séance européenne, gagnant tout de même 0.2% sur la journée.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8895, son plancher historique de jeudi dernier, et de rencontrer de la résistance à 0.9074, son plafond du 12 avril.
Christine Lagarde, ministre des finances de la France, a en effet assuré en début de matinée que la Grèce n'aurait pas besoin de restructurer sa dette, parce qu'elle respectait ses obligations et que les nouvelles mesures promises par le gouvernement grec devraient lui permettre d'emprunter de nouveau sur les marchés financiers.
Les bruits faisant mention d'une restructuration avaient auparavant poussé les fourchettes des dividendes des bons du trésor hellène à des niveaux jamais vu par rapport à ceux de l'Allemagne, et de malgré les dénégations répétées des autorités de la Grèce.
La monnaie helvète a aussi gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/CHF cédant 0.39% pour tomber à 1.2826.
Richard Fisher, président de la réserve fédérale de Dallas, devrait pour sa part prendre la parole à Atlanta en cours de journée.