Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce vendredi, dans l'expectative des statistiques que les Etats-Unis publieront sous peu, sur fond d'incertitudes au sujet d'un éventuel resserrage de boulons de la part de son émettrice.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,06% pour tomber à 1,3291.
La monnaie unique demeurait sur la sellette alors que les ministres des finances de l'Union Européenne se réunissaient à Vilnius, en Lituanie, afin de discuter des réformes nécessaires à la consolidation du secteur bancaire régional.
Le parlement européen a pour sa part entériné hier les mesures juridiques permettant à la Banque Centrale Européenne de chapeauter les établissements financiers des 17 pays membres, faisant dire à Mario Draghi, président de cette dernière, que "grand pas en avant" avait été accompli dans l'optique d'une union bancaire.
Le billet vert a cependant cédé quelques centimètres de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD frémissant de 0,03% pour s'élever jusqu'à 1,5810.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0,10% pour se hisser à 99,65 et l'USD/CHF grignotant 0,07% pour culminer à 0,9312.
Une étude officielle avait auparavant fait savoir que les coûts de production helvètes avaient gonflé sans surprise de 0,2% en août, après avoir stagné le mois précédent.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et canadienne, mais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD se rétractant de 0,24% pour se retrouver à 0,9249, le NZD/USD arrachant 0,10% pour culminer à 0,8146 et l'USD/CAD prenant 0,06% pour monter à 99,65.
Il avait été noté à l'aube que l'indice de l'activité manufacturière de la Nouvelle-Zélande avait reculé depuis 59,5 vers 57,5 le mois passé.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,11% pour se situer à 81,78.
La situation syrienne faisait toujours des gorges chaudes, après que le secrétaire d'état américain John Kerry, chargé des affaires étrangères, ait entamé le même jour des discussions avec son homologue russe Sergueï Lavrof à Genève, afin d'étudier la proposition formulée par Moscou de placer l'arsenal chimique de Damas sous contrôle international.
Des désaccords ont cependant émergé, et il a déclaré que la promesse de son abandon pris par le gouvernement de la Syrie n'était "tout simplement pas suffisante".
Les Etats-Unis devraient de leur côté conclure la journée avec le volume de leurs ventes auprès des consommateurs, celui de leur production industrielle et une évaluation préliminaire du moral de leurs consommateurs établie par l'université du Michigan.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,06% pour tomber à 1,3291.
La monnaie unique demeurait sur la sellette alors que les ministres des finances de l'Union Européenne se réunissaient à Vilnius, en Lituanie, afin de discuter des réformes nécessaires à la consolidation du secteur bancaire régional.
Le parlement européen a pour sa part entériné hier les mesures juridiques permettant à la Banque Centrale Européenne de chapeauter les établissements financiers des 17 pays membres, faisant dire à Mario Draghi, président de cette dernière, que "grand pas en avant" avait été accompli dans l'optique d'une union bancaire.
Le billet vert a cependant cédé quelques centimètres de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD frémissant de 0,03% pour s'élever jusqu'à 1,5810.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0,10% pour se hisser à 99,65 et l'USD/CHF grignotant 0,07% pour culminer à 0,9312.
Une étude officielle avait auparavant fait savoir que les coûts de production helvètes avaient gonflé sans surprise de 0,2% en août, après avoir stagné le mois précédent.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et canadienne, mais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD se rétractant de 0,24% pour se retrouver à 0,9249, le NZD/USD arrachant 0,10% pour culminer à 0,8146 et l'USD/CAD prenant 0,06% pour monter à 99,65.
Il avait été noté à l'aube que l'indice de l'activité manufacturière de la Nouvelle-Zélande avait reculé depuis 59,5 vers 57,5 le mois passé.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,11% pour se situer à 81,78.
La situation syrienne faisait toujours des gorges chaudes, après que le secrétaire d'état américain John Kerry, chargé des affaires étrangères, ait entamé le même jour des discussions avec son homologue russe Sergueï Lavrof à Genève, afin d'étudier la proposition formulée par Moscou de placer l'arsenal chimique de Damas sous contrôle international.
Des désaccords ont cependant émergé, et il a déclaré que la promesse de son abandon pris par le gouvernement de la Syrie n'était "tout simplement pas suffisante".
Les Etats-Unis devraient de leur côté conclure la journée avec le volume de leurs ventes auprès des consommateurs, celui de leur production industrielle et une évaluation préliminaire du moral de leurs consommateurs établie par l'université du Michigan.