Publiés ce soir, les comptes annuels de Guy Degrenne ont révélé une réduction de 780.000 euros de la perte nette sur 12 mois à environ 4,2 millions.
La perte opérationnelle a pour sa part été ramenée de 3,7 à 2,9 millions d'euros. Déjà publié, le chiffre d'affaires a de surcroît de 370.000 euros à environ 85,9 millions. Il est ressorti à 23,7 millions d'euros sur le seul quatrième trimestre, soit une progression de 2,9%, dont +1,1% à change et périmètre constants.
Le début de l'exercice 2015/2016 est quant à lui des plus encourageants. Egalement dévoilé ce lundi, le chiffre d'affaires du premier trimestre (non audité) s'est en effet élevé à 21,3 millions d'euros, en augmentation de 26% par rapport aux trois premiers mois de l'exercice 2014/2015.
Le pôle 'Arts de la Table' a vu ses ventes croître de 11,6% à 12,6 millions d'euros. Dans le même temps, le segment 'Industrie' a enregistré un bond de 55,1% de ses revenus à 8,7 millions d'euros.
'Cette variation traduit à la fois un effet de base (le premier trimestre de l'exercice précédent avait été très pénalisé par la planification du changement de version du produit fabriqué pour le premier client du groupe) et le développement des contrats en cours ainsi que de nouveaux contrats', a expliqué Guy Degrenne.
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La perte opérationnelle a pour sa part été ramenée de 3,7 à 2,9 millions d'euros. Déjà publié, le chiffre d'affaires a de surcroît de 370.000 euros à environ 85,9 millions. Il est ressorti à 23,7 millions d'euros sur le seul quatrième trimestre, soit une progression de 2,9%, dont +1,1% à change et périmètre constants.
Le début de l'exercice 2015/2016 est quant à lui des plus encourageants. Egalement dévoilé ce lundi, le chiffre d'affaires du premier trimestre (non audité) s'est en effet élevé à 21,3 millions d'euros, en augmentation de 26% par rapport aux trois premiers mois de l'exercice 2014/2015.
Le pôle 'Arts de la Table' a vu ses ventes croître de 11,6% à 12,6 millions d'euros. Dans le même temps, le segment 'Industrie' a enregistré un bond de 55,1% de ses revenus à 8,7 millions d'euros.
'Cette variation traduit à la fois un effet de base (le premier trimestre de l'exercice précédent avait été très pénalisé par la planification du changement de version du produit fabriqué pour le premier client du groupe) et le développement des contrats en cours ainsi que de nouveaux contrats', a expliqué Guy Degrenne.
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