L'entame du terme de juin sur les contrats et options sur indices s'est effectuée de la meilleure façon possible: le Dow Jones et le 'S&P' pulvérisent de nouveaux records historiques absolus, en séance comme en clôture.
Le Dow Jones s'est hissé jusque vers 18.326 avant d'en terminer à 18.299 (soit 10Pts de mieux -ou 0,06%- au-dessus du précédent record du 2 mars) et le 'S&P' a culminé à 2.132 avant d'en terminer à 2.129 (+0,3%).
Le Nasdaq qui a pris +0,6% à 5.078Pts finit à 1% de son record annuel et la meilleure performance du jour est à mettre à l'actif du Russel-2000 qui prend 1,09% et se hisse vers 1.257, à 20Pts de son plus haut absolu de la mi-avril.
Les opérateurs n'ont pas réagi sur le coup à la publication d'un indice NAHB (baromètre de la confiance des constructeurs de maisons individuelles) qui se dégrade de 56 vers 54 en mai.
Les opérateurs ont en revanche été perturbés en début de séance par la crainte d'un échec concernant les négociations sur la dette grecque... mais le marché veut se convaincre qu'un accord finira par être conclu (un nouveau compromis probablement bancal qui évitera aux parties en présence de perdre la face et à la Grèce d'éviter une situation de défaut fin mai).
Avec la reprise de l'inexorable ascension des actions US, à contrecourant de la consolidation des places européennes et des T-Bonds qui se dégradent de 10Pts de base, l'explication la plus souvent évoquée était que les récentes statistiques repoussaient à fin 2015 ou début 2016 le début du cycle de resserrement monétaire de la FED.
En quelque sorte, la hausse de Wall Street se nourrit de nouveau de la médiocrité de la conjoncture, de la stagnation des salaires et d'une baisse de l'activité industrielle puis de la dégradation du secteur immobilier.
La rechute des T-Bonds vers des planchers annuels (à 2,24% contre 2,14% vendredi) semble démontrer que les marchés obligataires n'ont exactement la même lecture optimiste que Wall Street... mais difficile de trancher sur qui aura raison ou tort !
Les 3 principaux indices ont été tractés par la hausse de +1,1% du titre Apple (NASDAQ:AAPL) (jugé très sous évalué par Carl Icahn) puis l'envolée de +5,7% d'Altera, de +3% de Symantec, de +2,9% d'E-Trade, puis la hausse de +2% de Xilinx, +1,6% de Micron et +1,3% d'Intel (NASDAQ:INTC).
Les parapétrolières et géants de l'énergie ont consolidé : Peabody a dévissé de -8,6%, Transocean a perdu -3,1%, Freeport -3%, Range Resource -2,1%, Chevron -1,3%.
Copyright (c) 2015 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Le Dow Jones s'est hissé jusque vers 18.326 avant d'en terminer à 18.299 (soit 10Pts de mieux -ou 0,06%- au-dessus du précédent record du 2 mars) et le 'S&P' a culminé à 2.132 avant d'en terminer à 2.129 (+0,3%).
Le Nasdaq qui a pris +0,6% à 5.078Pts finit à 1% de son record annuel et la meilleure performance du jour est à mettre à l'actif du Russel-2000 qui prend 1,09% et se hisse vers 1.257, à 20Pts de son plus haut absolu de la mi-avril.
Les opérateurs n'ont pas réagi sur le coup à la publication d'un indice NAHB (baromètre de la confiance des constructeurs de maisons individuelles) qui se dégrade de 56 vers 54 en mai.
Les opérateurs ont en revanche été perturbés en début de séance par la crainte d'un échec concernant les négociations sur la dette grecque... mais le marché veut se convaincre qu'un accord finira par être conclu (un nouveau compromis probablement bancal qui évitera aux parties en présence de perdre la face et à la Grèce d'éviter une situation de défaut fin mai).
Avec la reprise de l'inexorable ascension des actions US, à contrecourant de la consolidation des places européennes et des T-Bonds qui se dégradent de 10Pts de base, l'explication la plus souvent évoquée était que les récentes statistiques repoussaient à fin 2015 ou début 2016 le début du cycle de resserrement monétaire de la FED.
En quelque sorte, la hausse de Wall Street se nourrit de nouveau de la médiocrité de la conjoncture, de la stagnation des salaires et d'une baisse de l'activité industrielle puis de la dégradation du secteur immobilier.
La rechute des T-Bonds vers des planchers annuels (à 2,24% contre 2,14% vendredi) semble démontrer que les marchés obligataires n'ont exactement la même lecture optimiste que Wall Street... mais difficile de trancher sur qui aura raison ou tort !
Les 3 principaux indices ont été tractés par la hausse de +1,1% du titre Apple (NASDAQ:AAPL) (jugé très sous évalué par Carl Icahn) puis l'envolée de +5,7% d'Altera, de +3% de Symantec, de +2,9% d'E-Trade, puis la hausse de +2% de Xilinx, +1,6% de Micron et +1,3% d'Intel (NASDAQ:INTC).
Les parapétrolières et géants de l'énergie ont consolidé : Peabody a dévissé de -8,6%, Transocean a perdu -3,1%, Freeport -3%, Range Resource -2,1%, Chevron -1,3%.
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