L'euro se redresse par rapport au billet vert, à 1,103 dollar contre 1,102 dollar la veille au soir et un plus bas à 1,096 dollar ce matin, sur fond de rumeurs d'avancées sur le dossier de la dette grecque.
De même, l'euro-yen monte de près de 0,4% depuis lundi soir pour approcher les 137,8, le dollar-yen gagnant ainsi 0,2% à 124,8. L'euro s'apprécie de moins de 0,1% face à la livre sterling, à 0,707 livre.
'Les négociations de ce week-end entre Athènes et ses créanciers ont en effet permis de faire progresser les négociations et de confirmer un accord pour aider la Grèce. Une situation qui rassure les investisseurs et favorise la monnaie unique', explique-t-on chez Saxo Banque.
Toutefois, l'actualité des changes est surtout dominée par la décision de la Banque Populaire de Chine de dévaluer le yuan de 2%, en abaissant le point médian de la bande de fluctuation quotidienne autorisée à 6,2298 pour un dollar, après une série de statistiques décevantes.
'Cette dévaluation reste limitée, mais elle confirme que la situation économique du pays est grave et que l'objectif de croissance de 7% est loin d'être atteint', commente Aurel BGC, pour qui elle 'pourrait renforcer les discours les plus négatifs sur l'économie chinoise'.
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De même, l'euro-yen monte de près de 0,4% depuis lundi soir pour approcher les 137,8, le dollar-yen gagnant ainsi 0,2% à 124,8. L'euro s'apprécie de moins de 0,1% face à la livre sterling, à 0,707 livre.
'Les négociations de ce week-end entre Athènes et ses créanciers ont en effet permis de faire progresser les négociations et de confirmer un accord pour aider la Grèce. Une situation qui rassure les investisseurs et favorise la monnaie unique', explique-t-on chez Saxo Banque.
Toutefois, l'actualité des changes est surtout dominée par la décision de la Banque Populaire de Chine de dévaluer le yuan de 2%, en abaissant le point médian de la bande de fluctuation quotidienne autorisée à 6,2298 pour un dollar, après une série de statistiques décevantes.
'Cette dévaluation reste limitée, mais elle confirme que la situation économique du pays est grave et que l'objectif de croissance de 7% est loin d'être atteint', commente Aurel BGC, pour qui elle 'pourrait renforcer les discours les plus négatifs sur l'économie chinoise'.
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