Les stratèges de la Société Générale (PA:SOGN) réagissent aujourd'hui à leur manière au récent éditorial de 'The Economist' opposant l''indispensable' Allemagne d'Angela Merkel à une France 'dont on pourrait se passer' ('dispensable') au sein de l'Europe.
SocGen rappelle qu'un investisseur qui aurait investi il y a un an au sein de l'indice CAC 40, comme le conseillaient alors ses analystes, aurait obtenu un rendement de 18,3% dans l'intervalle (dividendes inclus), soit une nette surperformance par rapport au DAX (+7,8%).
SG - qui considère le marché boursier français comme 'indispensable' pour les gérants de fonds internationaux - pense même que le CAC en garde sous le coude.
Le bureau d'études affiche ainsi une cible à 5000 points pour l'indice parisien en fin d'année, puis un objectif de 6000 points pour la fin 2016 et de 7000 points sur le plus long terme.
Optimistes sur les effets de la loi Macron, les stratèges de la Société Générale expliquent que la faiblesse de l'euro assortie à un regain d'activité économique devraient donner un coup de fouet à l'indice.
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