Investing.com - Le dollar U.S. était mitigé face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, alors que les investisseurs attendaient la conférence de presse de Jean-Claude Trichet, président de la Banque Centrale Européenne, après que cette dernière ait remonté ses taux pour la première fois depuis octobre 2008.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.4% pour tomber à 1.4272.
La BCE a en effet augmenté ses taux après la réunion d'aujourd'hui, les faisant grimper de leur pire niveau historique à 1% vers 1.25%, alors que flottait encore la crainte qu'elle ne modère l'attente de nouveaux durcissements monétaires en cours d'année.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD trébuchant de 0.17% pour glisser à 1.6304.
La Banque d'Angleterre a pour sa part maintenu son taux officiel appliqué aux liquidités à 0.5%, son plus bas niveau historique.
Il a par contre subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY perdant 0.36% pour descendre à 85.17 et l'USD/CHF se laissant rogner 0.06% pour déraper à 0.9183.
La Banque du Japon avait auparavant annoncé mettre 1 billion de JPY à disposition en prêts à un an pour les entreprises touchées par les conséquences d'un tremblement de terre d'une force jamais vue, tout en maintenant son taux directeur immédiat dans une fourchette de 0 à 0.1%.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée ses cousines canadienne et australienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'USD/CAD cédant 0.21% pour chuter à 0.9585, l'AUD/USD gagnant 0.42% pour se retrouver à 1.0484 et le NZD/USD se faisant arracher 0.19% pour toucher le fond à 0.778.
Des résultats de source gouvernementale avaient auparavant indiqué que l'économie australienne avait créé 37 800 emplois en mars, dépassant largement les 22 000 attendus, et que le taux de chômage national était tombé à son point le plus bas depuis décembre 2008.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a engrangé 0.18%.
Les Etats-Unis devaient quand à eux publier en cours de journée leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.4% pour tomber à 1.4272.
La BCE a en effet augmenté ses taux après la réunion d'aujourd'hui, les faisant grimper de leur pire niveau historique à 1% vers 1.25%, alors que flottait encore la crainte qu'elle ne modère l'attente de nouveaux durcissements monétaires en cours d'année.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD trébuchant de 0.17% pour glisser à 1.6304.
La Banque d'Angleterre a pour sa part maintenu son taux officiel appliqué aux liquidités à 0.5%, son plus bas niveau historique.
Il a par contre subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY perdant 0.36% pour descendre à 85.17 et l'USD/CHF se laissant rogner 0.06% pour déraper à 0.9183.
La Banque du Japon avait auparavant annoncé mettre 1 billion de JPY à disposition en prêts à un an pour les entreprises touchées par les conséquences d'un tremblement de terre d'une force jamais vue, tout en maintenant son taux directeur immédiat dans une fourchette de 0 à 0.1%.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée ses cousines canadienne et australienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'USD/CAD cédant 0.21% pour chuter à 0.9585, l'AUD/USD gagnant 0.42% pour se retrouver à 1.0484 et le NZD/USD se faisant arracher 0.19% pour toucher le fond à 0.778.
Des résultats de source gouvernementale avaient auparavant indiqué que l'économie australienne avait créé 37 800 emplois en mars, dépassant largement les 22 000 attendus, et que le taux de chômage national était tombé à son point le plus bas depuis décembre 2008.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a engrangé 0.18%.
Les Etats-Unis devaient quand à eux publier en cours de journée leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.