Investing.com - La livre sterling a vu sa régression face au dollar U.S. se prolonger ce jeudi, sur fond de rumeurs selon lesquelles la Banque d'Angleterre pourrait être davantage encline à pratiquer de nouveaux assouplissements monétaires que prévu.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5973 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le premier avril, puis s'est stabilisée vers 1.5991, perdant 0.49%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à court terme à 1.5936, son plancher du 28 mars, et de rencontrer de la résistance à 1.6208, son plafond du 24 mai.
Le compte-rendu de la réunion d'orientation politique de juin de la banque centrale de la Grande-Bretagne a en effet indiqué que certains des membres de son conseil directeur estimaient que des injections de capitaux supplémentaires pourraient se révéler nécessaires si les risques de baisse de l'inflation à moyen terme devaient se manifester.
Ils ont voté à sept voix contre deux en faveur du maintien des taux à 0.5% par la même occasion.
La Réserve Fédérale a quand à elle rabaissé ses prévisions de croissance de l'économie nationale pour 2011 entre 2.7 et 2.9%, au lieu de 3.1 à 3.3% auparavant. Il en a été de même pour celles de 2012, et les décideurs ont également envisagé une hausse du chômage.
Ben Bernanke, son président, a confirmé que le programme d'assouplissement monétaire s'achèverait en la fin de mois et laissé entendre qu'il était improbable qu'il soit prolongé.
La devise du Royaume-Uni a toutefois gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP cédant 0.34% pour descendre à 0.8901.
Le gouvernement des Etats-Unis rendra quand à lui son rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage en cours de journée, ainsi que les chiffres officiels des ventes de logements neufs.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5973 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le premier avril, puis s'est stabilisée vers 1.5991, perdant 0.49%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à court terme à 1.5936, son plancher du 28 mars, et de rencontrer de la résistance à 1.6208, son plafond du 24 mai.
Le compte-rendu de la réunion d'orientation politique de juin de la banque centrale de la Grande-Bretagne a en effet indiqué que certains des membres de son conseil directeur estimaient que des injections de capitaux supplémentaires pourraient se révéler nécessaires si les risques de baisse de l'inflation à moyen terme devaient se manifester.
Ils ont voté à sept voix contre deux en faveur du maintien des taux à 0.5% par la même occasion.
La Réserve Fédérale a quand à elle rabaissé ses prévisions de croissance de l'économie nationale pour 2011 entre 2.7 et 2.9%, au lieu de 3.1 à 3.3% auparavant. Il en a été de même pour celles de 2012, et les décideurs ont également envisagé une hausse du chômage.
Ben Bernanke, son président, a confirmé que le programme d'assouplissement monétaire s'achèverait en la fin de mois et laissé entendre qu'il était improbable qu'il soit prolongé.
La devise du Royaume-Uni a toutefois gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP cédant 0.34% pour descendre à 0.8901.
Le gouvernement des Etats-Unis rendra quand à lui son rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage en cours de journée, ainsi que les chiffres officiels des ventes de logements neufs.