Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce mardi, alors que l'euro se retrouvait dans une mauvaise posture dans l'expectative de la réunion entre Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français en cours de journée.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a encore fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.52% pour tomber à 1.4368.
Des informations préliminaires avaient auparavant indiqué que la croissance économique allemande avait presque stagné au second trimestre, grignotant seulement 0.1% au lieu des 0.5% attendus.
Une autre étude mentionnait pour sa part une progression de 0.2% ajustés du PIB de la zone euro sur la même période, une contre-performance nette par rapport aux 0.8% précédents, mais aussi par rapport aux 0.3% espérés.
Le billet vert a pour sa part gagné un peu moins de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.1% pour chuter à 1.6375.
Le bureau national des statistiques britannique avait en effet montré ce matin que son taux d'inflation au détail était de 4.4% ajustés saisonnièrement pour le mois, alors que les experts pensaient la voir se limiter à 4.3%.
Il a toutefois subi la pression des valeurs sûres du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.15% pour reprendre pied à 76.72 et l'USD/CHF cédant 0.71% pour descendre à 0.7789.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, dépendantes du goût du risque, l'USD/CAD prenant 0.69% pour monter à 0.9866, l'AUD/USD cédant 0.91% pour se retrouver à 1.041 et le NZD/USD se laissant arracher 0.63% pour toucher le fond à 0.8276.
L'aussie s'est trouvé mis à mal par le compte-rendu de la réunion du 2 août de la Réserve Bancaire d'Australie, montrant que les membres de son conseil d'orientation avaient maintenu les taux d'intérêt directeurs à leur niveau précédent en raison des incertitudes touchant la croissance mondiale.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.41% pour grimper à 74.24.
Angela Merkel, et Nicolas Sarkozy avaient prévu de se rencontrer en cours de journée à Paris, afin de tenter d'apaiser les craintes concernant la crise de la dette de la zone euro.
Les autorités américaines devaient quand à elles dévoiler dans l'après-midi le nombre des permis de construire qu'elles ont délivrés et celui des lancements de chantiers, sans oublier les prix à l'import, la production industrielle, et le taux d'utilisation des capacités productives.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a encore fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.52% pour tomber à 1.4368.
Des informations préliminaires avaient auparavant indiqué que la croissance économique allemande avait presque stagné au second trimestre, grignotant seulement 0.1% au lieu des 0.5% attendus.
Une autre étude mentionnait pour sa part une progression de 0.2% ajustés du PIB de la zone euro sur la même période, une contre-performance nette par rapport aux 0.8% précédents, mais aussi par rapport aux 0.3% espérés.
Le billet vert a pour sa part gagné un peu moins de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.1% pour chuter à 1.6375.
Le bureau national des statistiques britannique avait en effet montré ce matin que son taux d'inflation au détail était de 4.4% ajustés saisonnièrement pour le mois, alors que les experts pensaient la voir se limiter à 4.3%.
Il a toutefois subi la pression des valeurs sûres du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.15% pour reprendre pied à 76.72 et l'USD/CHF cédant 0.71% pour descendre à 0.7789.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, dépendantes du goût du risque, l'USD/CAD prenant 0.69% pour monter à 0.9866, l'AUD/USD cédant 0.91% pour se retrouver à 1.041 et le NZD/USD se laissant arracher 0.63% pour toucher le fond à 0.8276.
L'aussie s'est trouvé mis à mal par le compte-rendu de la réunion du 2 août de la Réserve Bancaire d'Australie, montrant que les membres de son conseil d'orientation avaient maintenu les taux d'intérêt directeurs à leur niveau précédent en raison des incertitudes touchant la croissance mondiale.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.41% pour grimper à 74.24.
Angela Merkel, et Nicolas Sarkozy avaient prévu de se rencontrer en cours de journée à Paris, afin de tenter d'apaiser les craintes concernant la crise de la dette de la zone euro.
Les autorités américaines devaient quand à elles dévoiler dans l'après-midi le nombre des permis de construire qu'elles ont délivrés et celui des lancements de chantiers, sans oublier les prix à l'import, la production industrielle, et le taux d'utilisation des capacités productives.