Investing.com - Le dollar U.S. se trouvait largement affaibli face à son homologue canadien ce lundi, s'approchant d'un creux des deux derniers jours de cotation alors la crainte que la machine économique des Etats-Unis n'ait besoin d'être stimulée par la Réserve Fédérale pesait sur le billet vert.
La paire USD/CAD est descendue jusqu'à 0.9828 en début de séance américaine, son cours journalier le plus bas, puis s'est stabilisée vers 0.9844, perdant 0.54%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.9774, son plancher du 17 août, et de rencontrer de la résistance à 0.9937, son plafond du 18.
Les observateurs, privés de nouveaux résultats économiques majeurs dans la matinée, sont restés dans l'expectative de l'université d'été annuelle de la Réserve Fédérale sur la politique monétaire à Jackson Hole, au Wyoming, à venir pendant la semaine, et au cours de laquelle Ben Bernanke, président de la banque centrale américaine, pourrait annoncer des nouvelles mesures destinées à encourager l'économie américaine.
Elle avait en effet déclaré le 9 août dans son plus récent communiqué détaillant sa politique monétaire qu'elle "étudiait la gamme des outils des gestion monétaire à sa disposition pour encourager un regain de vigueur pour l'économie future" et se disant prête à s'en servir "au besoin".
Ces propos avaient alimenté les rumeurs selon lesquelles la banque centrale américaine pourrait déclencher une troisième série d'assouplissements monétaires, après que la seconde ait pris fin en juin.
Le loonie a également trouvé des partisans après que le baril depétrole brut pour octobre se soit envolé de 1.8% vers 84.23 USD sur le marché aux matières premières de New York, et ce après avoir auparavant culminé à 84.42 USD, leur cours le plus élevé depuis le 18 août.
Les matériaux bruts, et notamment le pétrole, représentent plus de la moitié des revenus à l'exportation du Canada.
La devise du pays a également gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/CAD glissant de 0.3% pour reprendre pied à 1.4205.
Angela Merkel, la chancelière allemande, avait déclaré lors d'un entretien effectué en fin de semaine que la mise en place d'obligations européennes n'était "pas la solution" à la crise de la dette régionale.
Elle a ajouté: "Les acteurs des marchés veulent nous forcer à faire certaines choses que nous ne ferons pas. Les politiciens ne peuvent ni ne doivent se contenter de leur obéir aveuglément."
La paire USD/CAD est descendue jusqu'à 0.9828 en début de séance américaine, son cours journalier le plus bas, puis s'est stabilisée vers 0.9844, perdant 0.54%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.9774, son plancher du 17 août, et de rencontrer de la résistance à 0.9937, son plafond du 18.
Les observateurs, privés de nouveaux résultats économiques majeurs dans la matinée, sont restés dans l'expectative de l'université d'été annuelle de la Réserve Fédérale sur la politique monétaire à Jackson Hole, au Wyoming, à venir pendant la semaine, et au cours de laquelle Ben Bernanke, président de la banque centrale américaine, pourrait annoncer des nouvelles mesures destinées à encourager l'économie américaine.
Elle avait en effet déclaré le 9 août dans son plus récent communiqué détaillant sa politique monétaire qu'elle "étudiait la gamme des outils des gestion monétaire à sa disposition pour encourager un regain de vigueur pour l'économie future" et se disant prête à s'en servir "au besoin".
Ces propos avaient alimenté les rumeurs selon lesquelles la banque centrale américaine pourrait déclencher une troisième série d'assouplissements monétaires, après que la seconde ait pris fin en juin.
Le loonie a également trouvé des partisans après que le baril depétrole brut pour octobre se soit envolé de 1.8% vers 84.23 USD sur le marché aux matières premières de New York, et ce après avoir auparavant culminé à 84.42 USD, leur cours le plus élevé depuis le 18 août.
Les matériaux bruts, et notamment le pétrole, représentent plus de la moitié des revenus à l'exportation du Canada.
La devise du pays a également gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/CAD glissant de 0.3% pour reprendre pied à 1.4205.
Angela Merkel, la chancelière allemande, avait déclaré lors d'un entretien effectué en fin de semaine que la mise en place d'obligations européennes n'était "pas la solution" à la crise de la dette régionale.
Elle a ajouté: "Les acteurs des marchés veulent nous forcer à faire certaines choses que nous ne ferons pas. Les politiciens ne peuvent ni ne doivent se contenter de leur obéir aveuglément."