Investing.com - Le dollar U.S. était nettement en berne face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, le moral des investisseurs ayant été ragaillardi par le soutien affiché des dirigeants de la zone euro à la Grèce alors qu'ils attendaient les chiffres américains prévus pour l'après-midi.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD prenant 0.3% pour s'élever à 1.3796.
La monnaie unique a retrouvé des partisans après qu'Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français, aient déclaré dans un comuniqué être "convaincus que le futur de la Grèce se trouve dans la zone euro".
Le gouvernement espagnol a pour sa part vendu aux enchères pour 3.95 milliards d'euros en obligations à long terme en cours de journée, attirant une forte demande des investisseurs.
Le billet vert a également cédé du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0.25% pour monter à 1.5707.
Des chiffres officiels dévoilés ce jeudi avaient auparavant montré que les ventes au détail de la Grande-Bretagne avaient décliné de 0.2% en août sans surprise.
Le yen est resté inchangé contre lui et il a par contre subi la pression du franc suisse, l'USD/JPY restant à 76.63 et l'USD/CHF dérapant de 0.12% pour tomber à 0.8748.
La Banque Nationale Suisse avait fait savoir ce matin qu'elle avait maintenu son taux directeur précédent pour septembre et rappelé son engagement dans la défense du taux plancher à 1.2 CHF par euro "avec la plus grande détermination".
Une étude émanant des autorités avait par ailleurs souligné que la production industrielle helvétique avait davantage augmenté au second trimestre qu'espéré.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD trébuchant de 0.12% pour glisser à 0.9881, l'AUD/USD arrachant 0.02% pour se retrouver à 1.0282 et le NZD/USD se laissant arracher 0.17% pour toucher le fond à 0.8217.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande avait maintenu en début de journée son taux d'intérêt directeur à 2.5% et laissé entendre qu'il y avait de fortes chances pour qu'il en soit de même dans les prochains mois, à cause des risques d'un "net" ralentissement de la reprise économique mondiale.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a reculé de 0.25% pour se situer à 77.18.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, devrait prononcer un discours dans l'après-midi, tandis que les autorités du pays divulgueront une série de résultats, concernant notamment leur hausse des prix à la consommation, et leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, sans oublier l'activité manufacturière dans les régions de New York et Philadelphie.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD prenant 0.3% pour s'élever à 1.3796.
La monnaie unique a retrouvé des partisans après qu'Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français, aient déclaré dans un comuniqué être "convaincus que le futur de la Grèce se trouve dans la zone euro".
Le gouvernement espagnol a pour sa part vendu aux enchères pour 3.95 milliards d'euros en obligations à long terme en cours de journée, attirant une forte demande des investisseurs.
Le billet vert a également cédé du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0.25% pour monter à 1.5707.
Des chiffres officiels dévoilés ce jeudi avaient auparavant montré que les ventes au détail de la Grande-Bretagne avaient décliné de 0.2% en août sans surprise.
Le yen est resté inchangé contre lui et il a par contre subi la pression du franc suisse, l'USD/JPY restant à 76.63 et l'USD/CHF dérapant de 0.12% pour tomber à 0.8748.
La Banque Nationale Suisse avait fait savoir ce matin qu'elle avait maintenu son taux directeur précédent pour septembre et rappelé son engagement dans la défense du taux plancher à 1.2 CHF par euro "avec la plus grande détermination".
Une étude émanant des autorités avait par ailleurs souligné que la production industrielle helvétique avait davantage augmenté au second trimestre qu'espéré.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD trébuchant de 0.12% pour glisser à 0.9881, l'AUD/USD arrachant 0.02% pour se retrouver à 1.0282 et le NZD/USD se laissant arracher 0.17% pour toucher le fond à 0.8217.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande avait maintenu en début de journée son taux d'intérêt directeur à 2.5% et laissé entendre qu'il y avait de fortes chances pour qu'il en soit de même dans les prochains mois, à cause des risques d'un "net" ralentissement de la reprise économique mondiale.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a reculé de 0.25% pour se situer à 77.18.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, devrait prononcer un discours dans l'après-midi, tandis que les autorités du pays divulgueront une série de résultats, concernant notamment leur hausse des prix à la consommation, et leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, sans oublier l'activité manufacturière dans les régions de New York et Philadelphie.