Investing.com - Le dollar U.S. était encore largement en forme face à la plupart de ses concurrents ce jeudi après-midi, les craintes concernant les perspectives de croissance mondiales redorant le blason des valeurs sûres.
En seconde partie de séance européenne, l'euro fléchisait un peu moins devant lui, l'EUR/USD perdant 0.28% pour tomber à 1.267.
Une évaluation avait signalé que l'activité secondaire du bloc euro était passée de 45.1 vérifiés à 44.8 pour juin, subissant sa régression la plus importante depuis le même mois de l'année 2009.
Celle du domaine des services s'est toutefois élevée de 46.7 à 46.8 sur la période considérée, alors qu'une contraction à 46.5 était redoutée, mais demeurait nettement sous la barre des 50 séparant la dégradation de l'augmentation.
Une autre étude montrait que l'activité des usines allemandes avait molli en juin jusqu'à son rythme le plus lent des trois dernières années, la crise de la dette régionale nuisant aux exportations.
Ces mauvaises nouvelles avaient déjà été précédées par un rapport signalant que l'indice HSBC des directeurs des achats du secteur secondaire chinois pour juin était passé de 48.4 à 48.1, demeurant en territoire négatif pour le huitième mois d'affilée.
La nervosité se trouvait exacerbée par l'attente des résultats de l'audit des établissements bancaires de l'Espagne dont la divulgation devrait se dérouler aujourd'hui, sur fond de craintes que les 100 milliards d'euros de secours attribués à ces derniers en début de mois se révèlent insuffisants.
Madrid a quand à elle émis légèrement plus que les 2 milliards d'euros de dettes envisagés, mais les coûts de ses emprunts ont toutefois nettement augmenté.
Les taux moyens de ses obligations quinquennales sont en effet passés de 4.96% pour le mois dernier à 6.07%.
Le billet vert demeurait favorisé après que la banque centrale américaine n'ait annoncé que le prolongement de son programme de rachats de bons du trésor jusqu'à la fin de l'année, décevant ainsi ceux qui attendaient des mesures plus agressives, suite à une récente série de résultats médiocres de la part des Etats-Unis.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.13% pour chuter à 1.5698.
La devise de la Grande-Bretagne avait toutefois sauvé les meubles après que des chiffres officiels aient souligné que les ventes aux particuliers avaient rebondi de 1.4% en mai, après avoir dégringolé de 2.4% le mois précédent.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0.65% pour se hisser à 80.05 et l'USD/CHF grignotant 0.23% pour culminer à 0.9468.
Un membre du conseil directeur de la Banque du Japon avait rappelé en début de journée que celle-ci était prête à agir pour soutenir l'économie nationale si nécessaire, laissant envisager des injections de capitaux supplémentaires.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé sa cousine australienne, mais pas la canadienne, ni la néo-zélandaise, l'USD/CAD laissant échapper 0.02% pour descendre à 1.0179, l'AUD/USD régressant de 0.06% pour se retrouver à 1.0184 et le NZD/USD arrachant 0.42% pour culminer à 0.7995.
Une étude émanant des autorités de Nouvelle-Zélande avait auparavant fait savoir que le produit intérieur brut national avait augmenté de 1.1% au premier trimestre, dépassant largement les 0.5% envisagés, et prolongeant les 0.4% précédents.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.2% pour se situer à 81.77.
Le gouvernement américain comptait quannd à lui dévoiler cet après-midi le nombre des nouvelles inscriptions au chômage, suivi de l'estimation préalable de l'activité manufacturière et d'un rapport des experts en immobilier portant sur les ventes de logements, sans oublier l'état de l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.
En seconde partie de séance européenne, l'euro fléchisait un peu moins devant lui, l'EUR/USD perdant 0.28% pour tomber à 1.267.
Une évaluation avait signalé que l'activité secondaire du bloc euro était passée de 45.1 vérifiés à 44.8 pour juin, subissant sa régression la plus importante depuis le même mois de l'année 2009.
Celle du domaine des services s'est toutefois élevée de 46.7 à 46.8 sur la période considérée, alors qu'une contraction à 46.5 était redoutée, mais demeurait nettement sous la barre des 50 séparant la dégradation de l'augmentation.
Une autre étude montrait que l'activité des usines allemandes avait molli en juin jusqu'à son rythme le plus lent des trois dernières années, la crise de la dette régionale nuisant aux exportations.
Ces mauvaises nouvelles avaient déjà été précédées par un rapport signalant que l'indice HSBC des directeurs des achats du secteur secondaire chinois pour juin était passé de 48.4 à 48.1, demeurant en territoire négatif pour le huitième mois d'affilée.
La nervosité se trouvait exacerbée par l'attente des résultats de l'audit des établissements bancaires de l'Espagne dont la divulgation devrait se dérouler aujourd'hui, sur fond de craintes que les 100 milliards d'euros de secours attribués à ces derniers en début de mois se révèlent insuffisants.
Madrid a quand à elle émis légèrement plus que les 2 milliards d'euros de dettes envisagés, mais les coûts de ses emprunts ont toutefois nettement augmenté.
Les taux moyens de ses obligations quinquennales sont en effet passés de 4.96% pour le mois dernier à 6.07%.
Le billet vert demeurait favorisé après que la banque centrale américaine n'ait annoncé que le prolongement de son programme de rachats de bons du trésor jusqu'à la fin de l'année, décevant ainsi ceux qui attendaient des mesures plus agressives, suite à une récente série de résultats médiocres de la part des Etats-Unis.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.13% pour chuter à 1.5698.
La devise de la Grande-Bretagne avait toutefois sauvé les meubles après que des chiffres officiels aient souligné que les ventes aux particuliers avaient rebondi de 1.4% en mai, après avoir dégringolé de 2.4% le mois précédent.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0.65% pour se hisser à 80.05 et l'USD/CHF grignotant 0.23% pour culminer à 0.9468.
Un membre du conseil directeur de la Banque du Japon avait rappelé en début de journée que celle-ci était prête à agir pour soutenir l'économie nationale si nécessaire, laissant envisager des injections de capitaux supplémentaires.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé sa cousine australienne, mais pas la canadienne, ni la néo-zélandaise, l'USD/CAD laissant échapper 0.02% pour descendre à 1.0179, l'AUD/USD régressant de 0.06% pour se retrouver à 1.0184 et le NZD/USD arrachant 0.42% pour culminer à 0.7995.
Une étude émanant des autorités de Nouvelle-Zélande avait auparavant fait savoir que le produit intérieur brut national avait augmenté de 1.1% au premier trimestre, dépassant largement les 0.5% envisagés, et prolongeant les 0.4% précédents.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.2% pour se situer à 81.77.
Le gouvernement américain comptait quannd à lui dévoiler cet après-midi le nombre des nouvelles inscriptions au chômage, suivi de l'estimation préalable de l'activité manufacturière et d'un rapport des experts en immobilier portant sur les ventes de logements, sans oublier l'état de l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.