Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture pessimiste ce lundi, l'atmosphère demeurant assombrie par la crise financière ibérique, dans l'expectative sceptique d'éventuels signes de progrès dans la gestion du problème du surendettement régional que pourrait apporter le sommet de l'Union Européenne du milieu de semaine.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.68%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.76% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.64%.
Le gouvernement de l'Espagne a donc formulé à la mi-journée auprès de ses partenaires de la zone euro sa demande officielle d'aide pouvant atteindre 100 milliards d'euros à destination des banques du pays, le ministre de l'économie estimant que la somme devrait suffire à couvrir les besoins de celles-ci tout en conservant une marge de sécurité.
L'angoisse est aussi montée à l'approche de la réunion des chefs des états membres de l'UE du milieu de semaine, alors que grandissait le doute sur leur capacité à imprimer des progrès sur l'intégration fiscale et l'autorisation pour le mécanisme de sauvetage d'acquérir des dettes gouvernementales.
La peur des conséquences du surendettement de l'Europe sur l'expansion économique mondiale a elle aussi ressurgi, suite à une série de résultats montrant la semaine dernière que l'activité manufacturière des Etats-Unis avait été décevante, de même que celle de la Chine, ainsi que celle des entreprises de la zone euro.
L'informatique se trouvait en première ligne après que Hewlett Packard, premier assembleur d'ordinateurs au monde, ait annoncé jusqu'à 1 000 suppressions d'emplois en Allemagne, dans le cadre d'un plan social touchant toute l'Europe.
Larry Page, directeur général de Google, a quand à lui tenté de rassurer quand à son état de santé après avoir raté la semaine dernière l'assemblée générale annuelle des actionnaires, déclarant n'avoir "rien de grave".
Pour rester dans le domaine technologique, l'hebdomadaire Sunday Times a éffirmé que Research in Motion, le fabricant du Blackberry, envisagerait de scinder ses activités en deux, afin de séparer la fabrication de terminaux, actuellement en difficulté, et son réseau de messagerie, plongeant du coup de 1.07% avant l'ouverture, alors que ses résultats trimestriels sont attendus en cours de semaine.
Apple était aussi attendu au tournant, après que Samsung Electronics Co ait affirmé s'attendre à ce que les ventes de son Galaxy S III, sorti à la fin du mois dernier et lui servant de vaisseau amiral contre l'iPhone de la firme à la pomme, dépasse les 10 millions de ventes en juillet, le classant ainsi comme l'intelliphone le plus demandé du groupe sud-coréen, faisant faire à sa concurrente américaine un faux pas de 0.62% en pré-ouverture.
Du côté de la finance, Morgan Stanley était sous les feux de l'actualité après que les autorités brésiliennes aient exigé que le géant des banques d'affaires des Etats-Unis restitue 54 millions d'USD issus de la vente d'actions de l'établissement financier en difficulté Banco Cruzeiro do Sul donc la banque centrale nationale s'était saisie ce mois-ci.
Il se trouvait également parmi les 15 grandes banques internationales dégradées jeudi dernier par l'agence de notation Moody's Investor Services.
Les gendarmes des médicaments américains ont d'autre part donné tort à Shire concernant la version générique de son Adderall XR, destiné à lutter contre les syndromes d'hyperactivité, en accordant leur feu vert à la version à prix réduit élaborée par la division Actavis de Watson Pharmaceuticals, lequel en a bondi de 1.38% avant les premières transations.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter l'Apollo Group, Symex et H.B. Fuller, dont les rentrées trimestrielles devraient être révélées après la fermeture.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 1.8%, le CAC 40 français de 1.64%, le DAX 30 allemand de 1.51% et le FTSE 100 britannique de 0.67%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait laissé échapper 0.2%, et le Nikkei 225 japonais 0.7%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté fournir dans l'après-midi le nombre officiel de leurs ventes de logements neufs.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.68%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.76% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.64%.
Le gouvernement de l'Espagne a donc formulé à la mi-journée auprès de ses partenaires de la zone euro sa demande officielle d'aide pouvant atteindre 100 milliards d'euros à destination des banques du pays, le ministre de l'économie estimant que la somme devrait suffire à couvrir les besoins de celles-ci tout en conservant une marge de sécurité.
L'angoisse est aussi montée à l'approche de la réunion des chefs des états membres de l'UE du milieu de semaine, alors que grandissait le doute sur leur capacité à imprimer des progrès sur l'intégration fiscale et l'autorisation pour le mécanisme de sauvetage d'acquérir des dettes gouvernementales.
La peur des conséquences du surendettement de l'Europe sur l'expansion économique mondiale a elle aussi ressurgi, suite à une série de résultats montrant la semaine dernière que l'activité manufacturière des Etats-Unis avait été décevante, de même que celle de la Chine, ainsi que celle des entreprises de la zone euro.
L'informatique se trouvait en première ligne après que Hewlett Packard, premier assembleur d'ordinateurs au monde, ait annoncé jusqu'à 1 000 suppressions d'emplois en Allemagne, dans le cadre d'un plan social touchant toute l'Europe.
Larry Page, directeur général de Google, a quand à lui tenté de rassurer quand à son état de santé après avoir raté la semaine dernière l'assemblée générale annuelle des actionnaires, déclarant n'avoir "rien de grave".
Pour rester dans le domaine technologique, l'hebdomadaire Sunday Times a éffirmé que Research in Motion, le fabricant du Blackberry, envisagerait de scinder ses activités en deux, afin de séparer la fabrication de terminaux, actuellement en difficulté, et son réseau de messagerie, plongeant du coup de 1.07% avant l'ouverture, alors que ses résultats trimestriels sont attendus en cours de semaine.
Apple était aussi attendu au tournant, après que Samsung Electronics Co ait affirmé s'attendre à ce que les ventes de son Galaxy S III, sorti à la fin du mois dernier et lui servant de vaisseau amiral contre l'iPhone de la firme à la pomme, dépasse les 10 millions de ventes en juillet, le classant ainsi comme l'intelliphone le plus demandé du groupe sud-coréen, faisant faire à sa concurrente américaine un faux pas de 0.62% en pré-ouverture.
Du côté de la finance, Morgan Stanley était sous les feux de l'actualité après que les autorités brésiliennes aient exigé que le géant des banques d'affaires des Etats-Unis restitue 54 millions d'USD issus de la vente d'actions de l'établissement financier en difficulté Banco Cruzeiro do Sul donc la banque centrale nationale s'était saisie ce mois-ci.
Il se trouvait également parmi les 15 grandes banques internationales dégradées jeudi dernier par l'agence de notation Moody's Investor Services.
Les gendarmes des médicaments américains ont d'autre part donné tort à Shire concernant la version générique de son Adderall XR, destiné à lutter contre les syndromes d'hyperactivité, en accordant leur feu vert à la version à prix réduit élaborée par la division Actavis de Watson Pharmaceuticals, lequel en a bondi de 1.38% avant les premières transations.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter l'Apollo Group, Symex et H.B. Fuller, dont les rentrées trimestrielles devraient être révélées après la fermeture.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 1.8%, le CAC 40 français de 1.64%, le DAX 30 allemand de 1.51% et le FTSE 100 britannique de 0.67%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait laissé échapper 0.2%, et le Nikkei 225 japonais 0.7%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté fournir dans l'après-midi le nombre officiel de leurs ventes de logements neufs.