Investing.com - Les options sur le brut se sont élevées vers leur plus haut niveau hebdomadaire ce mardi, l'atmosphère se trouvant allégée par l'espoir d'initiatives de la Banque Centrale Européenne à l'approche de sa réunion du milieu de semaine.
Cette tendance s'est aussi trouvée renforcée pat les rumeurs selon lesquelles la Réserve Fédérale serait elle aussi de plus en plus encline à renforcer la croissance américaine.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour octobre se sont échangés à 97 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.55%.
Ils avaient auparavant culminé à 97.34 USD, leur cours le plus élevé depuis le 27 août, avec une avancée de 0.9%.
Le moral est en effet revenu après que Mario Draghi, président de la BCE, ait révélé hier qu'il n'aurait pas de scrupules à acheter des obligations d'une durée pouvant aller jusqu'à trois ans, estimant qu'une telle action ne constituerait pas une financement des états émetteurs.
L'organisme devrait vraisemblablement préciser après son conseil d'orientation de jeudi les détails d'un plan d'acquisition de dettes très attendu, destiné à alléger le fardeau des membres surendettés de la zone euro.
L'humeur était aussi ragaillardie par les rumeurs selon lesquelles la Réserve Fédérale serait elle aussi de plus en plus encline à renforcer la croissance américaine, suite aux propos tenus vendredi dernier par son président.
Lors du symposium annuel de Jackson Hole, dans le Wyoming, Ben Bernanke a en effet déclaré que celle-ci agirait de manière à renforcer la reprise économique américaine, sans toutefois aller jusqu'à laisser entendre qu'une nouvelle série d'injections de liquidités était sur le point d'avoir lieu.
Les observateurs guettaient d'autre part pour cet après-midi le rapport de l'institut de gestion des approvisionnements sur l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier des Etats-Unis, ainsi que l'état de la masse salariale non agricole établi pour vendredi par le gouvernement américain.
Ces informations seront cruciales afin d'évaluer les chances de nouveaux accomodements de la part de la Fed lors de sa prochaine prise de cap, les 12 et 13 septembre.
Le pays garde encore sa première part dans la consommation de la planète, avec près de 22%.
Mais toutte velléité de flambée demeurait étouffée par les craintes persistantes au sujet des perspectives de croissance mondiale, ravivées par les résultats décevants des secteurs secondaires divulgués hier.
L'activité du secteur manufacturier de la Chine a ainsi plongé le mois passée à son niveau le plus bas depuis mars 2009, en raison de la diminution de la demande internationale.
Sa consommation n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande.
Des informations révisées avaient quand à elles souligné que celui de la zone euro avait subi en août son treizième mois re recul d'affilée.
La tendance reste du coup haussière malgré les nuages, avec des cours new-yorkais engrangeant près de 20% depuis leur creux à 77.27 USD du 28 juin.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour octobre ont grignoté 0.1% pour grimper à 115.86 USD du baril dans le même temps, soit 18.86 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leurs cours, établis à Londres, se sont eux aussi trouvés tirés vers le haut ces dernières semaines, avec une envolée de près de 23% depuis leurs ornières de juin, en raison de la peur d'une diminution des livraisons provenant de la Mer du Nord, et du renforcement des sanctions imposées par l'Occident contre Téhéran depuis le premier juillet.
Cette tendance s'est aussi trouvée renforcée pat les rumeurs selon lesquelles la Réserve Fédérale serait elle aussi de plus en plus encline à renforcer la croissance américaine.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour octobre se sont échangés à 97 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.55%.
Ils avaient auparavant culminé à 97.34 USD, leur cours le plus élevé depuis le 27 août, avec une avancée de 0.9%.
Le moral est en effet revenu après que Mario Draghi, président de la BCE, ait révélé hier qu'il n'aurait pas de scrupules à acheter des obligations d'une durée pouvant aller jusqu'à trois ans, estimant qu'une telle action ne constituerait pas une financement des états émetteurs.
L'organisme devrait vraisemblablement préciser après son conseil d'orientation de jeudi les détails d'un plan d'acquisition de dettes très attendu, destiné à alléger le fardeau des membres surendettés de la zone euro.
L'humeur était aussi ragaillardie par les rumeurs selon lesquelles la Réserve Fédérale serait elle aussi de plus en plus encline à renforcer la croissance américaine, suite aux propos tenus vendredi dernier par son président.
Lors du symposium annuel de Jackson Hole, dans le Wyoming, Ben Bernanke a en effet déclaré que celle-ci agirait de manière à renforcer la reprise économique américaine, sans toutefois aller jusqu'à laisser entendre qu'une nouvelle série d'injections de liquidités était sur le point d'avoir lieu.
Les observateurs guettaient d'autre part pour cet après-midi le rapport de l'institut de gestion des approvisionnements sur l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier des Etats-Unis, ainsi que l'état de la masse salariale non agricole établi pour vendredi par le gouvernement américain.
Ces informations seront cruciales afin d'évaluer les chances de nouveaux accomodements de la part de la Fed lors de sa prochaine prise de cap, les 12 et 13 septembre.
Le pays garde encore sa première part dans la consommation de la planète, avec près de 22%.
Mais toutte velléité de flambée demeurait étouffée par les craintes persistantes au sujet des perspectives de croissance mondiale, ravivées par les résultats décevants des secteurs secondaires divulgués hier.
L'activité du secteur manufacturier de la Chine a ainsi plongé le mois passée à son niveau le plus bas depuis mars 2009, en raison de la diminution de la demande internationale.
Sa consommation n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande.
Des informations révisées avaient quand à elles souligné que celui de la zone euro avait subi en août son treizième mois re recul d'affilée.
La tendance reste du coup haussière malgré les nuages, avec des cours new-yorkais engrangeant près de 20% depuis leur creux à 77.27 USD du 28 juin.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour octobre ont grignoté 0.1% pour grimper à 115.86 USD du baril dans le même temps, soit 18.86 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leurs cours, établis à Londres, se sont eux aussi trouvés tirés vers le haut ces dernières semaines, avec une envolée de près de 23% depuis leurs ornières de juin, en raison de la peur d'une diminution des livraisons provenant de la Mer du Nord, et du renforcement des sanctions imposées par l'Occident contre Téhéran depuis le premier juillet.