Investing.com - Les bourses européennes étaient nettement en forme ce jeudi, gardant ce qui émergera de la réunion imminente de la Banque Centrale Européenne en ligne de mire, dans l'espoir de nouvelles mesures destinées à juguler la crise de la dette régionale.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a ainsi bondi de 0.85%, le CAC 40 français de 0.81%, et le DAX 30 allemand de 0.99%.
La prise de cap BCE était en effet sur toutes les lèvres, avec l'espoir que celle-ci fasse connaître dans le détail son plan destiné à stabiliser les marchés obligataires du bloc euro.
Des sources au sein de l'organisme avaient auparavant fait savoir qu'un abandon du classement de premier rang des bons du trésor qu'elle acquiert serait possible dans le cadre de son nouveau programme, qui devrait être proposé au cours de la rencontre d'aujourd'hui.
Une telle manoeuvre pourrait encourager les investisseurs privés à acquérir des dettes de pays en difficulté, car la BCE devrait ainsi partager une partie du poids des pertes en cas de défaut de paiement de leur part.
La finance avançait en rangs serrés, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank raflant respectivement 1.51 et 0.97%, imités par les français Société Générale et BNP Paribas avec 1.41 et 1.33%.
Leurs collègues de la périphérie n'étaient pas en reste, Unicredit encaissant 1.79% et Intesa Sanpaolo 0.71% du côté italien, tandis qu'en Espagne, Banco Santander et BBVA se contentaient de 1.08 et 0.51%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.71%, tiré vers le haut par la vigueur des mines et du pétrole, alors que la Banque d'Angleterre allait émettre son communiqué sur les taux en cours de journée.
Le mastodonte minier Rio Tinto était dans le peloton de tête avec une poussée de 1.58%, BHP Billiton lui emboîtant le pas avec 1.08%, suivis par les cuivriers Xstrata et Kazakhmys avec 1.02 et 1.4%.
Lonmin, producteur de platine dont le principal site d'exploitation était hors service depuis le 10 août en raison d'un mouvement social violent, s'est quand à lui envolé de 5.76% suite à la signature d'un accord avec trois syndicats du secteur afin de réouvrir les négociations au sujet des salaires.
Le poids lourd des hydrocarbures avait aussi le sourire avec 1.31% d'amélioration, BP étant plus timide avec seulement 0.15%.
Dixons Retail a pour sa part engrangé 1.94% après avoir déclaré que ses ventes comparables pour le premier trimestre fiscale avaient connu 5% d'expansion, dépassant ainsi les estimations.
Le premier revendeur de matériel électroniqu du Royaume-Uni a ajouté que les recettes par magasin nationales et d'Irlande, qui représentent près de la moitié du total, avaient grimpé de 7%.
La City était par contre plus mitigée, Barclays laissantt échapper 0.19%, Lloyds Banking grignotant 0.35%, la Royal Bank of Scotland 0.72% et HSBC Holdings redressant la barre de 0.74%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.34%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.42% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.44%.
L'Allemagne devrait dévoiler à la mi-journée un rapport sur les commandes reçues par ses usines.
Les Etats-Unis divulgueront de leur côté les évolutions du nombre de leurs salariés hors agriculture mesurées par l'agence de gestion des ressources humaines ADP, après quoi les autorités feront de même avec leur décompte hebdomadaire des nouveaux inscrits au chômage, et l'institut de gestion des approvisionnements rendra une étude sur l'activité tertiaire.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a ainsi bondi de 0.85%, le CAC 40 français de 0.81%, et le DAX 30 allemand de 0.99%.
La prise de cap BCE était en effet sur toutes les lèvres, avec l'espoir que celle-ci fasse connaître dans le détail son plan destiné à stabiliser les marchés obligataires du bloc euro.
Des sources au sein de l'organisme avaient auparavant fait savoir qu'un abandon du classement de premier rang des bons du trésor qu'elle acquiert serait possible dans le cadre de son nouveau programme, qui devrait être proposé au cours de la rencontre d'aujourd'hui.
Une telle manoeuvre pourrait encourager les investisseurs privés à acquérir des dettes de pays en difficulté, car la BCE devrait ainsi partager une partie du poids des pertes en cas de défaut de paiement de leur part.
La finance avançait en rangs serrés, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank raflant respectivement 1.51 et 0.97%, imités par les français Société Générale et BNP Paribas avec 1.41 et 1.33%.
Leurs collègues de la périphérie n'étaient pas en reste, Unicredit encaissant 1.79% et Intesa Sanpaolo 0.71% du côté italien, tandis qu'en Espagne, Banco Santander et BBVA se contentaient de 1.08 et 0.51%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.71%, tiré vers le haut par la vigueur des mines et du pétrole, alors que la Banque d'Angleterre allait émettre son communiqué sur les taux en cours de journée.
Le mastodonte minier Rio Tinto était dans le peloton de tête avec une poussée de 1.58%, BHP Billiton lui emboîtant le pas avec 1.08%, suivis par les cuivriers Xstrata et Kazakhmys avec 1.02 et 1.4%.
Lonmin, producteur de platine dont le principal site d'exploitation était hors service depuis le 10 août en raison d'un mouvement social violent, s'est quand à lui envolé de 5.76% suite à la signature d'un accord avec trois syndicats du secteur afin de réouvrir les négociations au sujet des salaires.
Le poids lourd des hydrocarbures avait aussi le sourire avec 1.31% d'amélioration, BP étant plus timide avec seulement 0.15%.
Dixons Retail a pour sa part engrangé 1.94% après avoir déclaré que ses ventes comparables pour le premier trimestre fiscale avaient connu 5% d'expansion, dépassant ainsi les estimations.
Le premier revendeur de matériel électroniqu du Royaume-Uni a ajouté que les recettes par magasin nationales et d'Irlande, qui représentent près de la moitié du total, avaient grimpé de 7%.
La City était par contre plus mitigée, Barclays laissantt échapper 0.19%, Lloyds Banking grignotant 0.35%, la Royal Bank of Scotland 0.72% et HSBC Holdings redressant la barre de 0.74%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.34%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.42% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.44%.
L'Allemagne devrait dévoiler à la mi-journée un rapport sur les commandes reçues par ses usines.
Les Etats-Unis divulgueront de leur côté les évolutions du nombre de leurs salariés hors agriculture mesurées par l'agence de gestion des ressources humaines ADP, après quoi les autorités feront de même avec leur décompte hebdomadaire des nouveaux inscrits au chômage, et l'institut de gestion des approvisionnements rendra une étude sur l'activité tertiaire.