Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture en berne ce vendredi, dans une ambiance nerveuse dans l'expectative de la révélation de l'ampleur de la croissance des Etats-Unis, sur fond d'expansion économique nationale à nouveau remise en question.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.74%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.75% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.65%.
Les recettes et les prévisions peu encourageantes de poids lourds mondiaux tels qu'Apple et Amazon, sans oublier les européens Renault et Gucci, ont ainsi contribué à miner les espoirs de relance mondiale.
Les opérateurs attendaient du coup de voir la confirmation de celle-ci dans les chiffres du PIB, surtout au vu des problèmes budgétaires rencontrés par Washington, surnommés la "falaise fiscale", qui pourraient nuire à l'activité économique du début de l'année prochaine.
La prudence était aussi de mise en raison des inconnues entourant le recours ou non de l'Espagne à la bouée de sauvetage tendue par ses partenaires régionaux et l'éventuelle activation du plan de rachat d'actifs par la Banque Centrale Européenne qui en découlerait.
La technologie était sous les feux de l'actualité, Apple ayant réalisé un second trimestre décevant d'affilée, les ventes d'iPad étant bien inférieures aux objectifs, l'écornant de 0.09% en pré-ouverture.
Le secteur alimentaire était aussi sur le devant de la scène, alors qu'il se disait que Morningstar, appartenant à Dean Foods Co, aurait tapé dans l'oeil de Michael Foods et du laitier mexicain Grupo Lala.
L'agence de presse Reuters estimait que le prix d'une prise de contrôle pourrait se situer entre 1 et 1.5 milliards d'USD.
Wal-Mart Stores a pour sa part annoncé son intention d'ouvrir 100 magasins supplémentaires en Chine et d'y créer 18 000 emplois dans les trois ans à venir, afin de tenter de faire sa place sur le marché en explosion mais très compétitif des supermarchés du pays.
Amazon.com Inc a quand à lui dérapé de 1.3% avant les premiers échanges, ayant avoué jeudi ses premières pertes trimestrielles en plus de cinq ans, la première boutique sur Internet du monde ayant effectué beaucoup d'investissements et souffert du ralentissement de l'économie européenne.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Comcast et Merck, dont les proclamations de résultats devraient intervenir avant la cloche marquant le début des trannsactions.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.46%, le CAC 40 français de 0.4%, le DAX 30 allemand de 0.48% et le FTSE 100 britannique de 0.68%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait dégringolé de 1.21%, et le Nikkei 225 japonais de 1.35%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté achever la semaine avec les premiers chiffres de leur produit intérieur brut du troisième trimestre, après quoi l'université du Michigan diffusera son indice révisé de la confiance des consommateurs.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.74%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.75% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.65%.
Les recettes et les prévisions peu encourageantes de poids lourds mondiaux tels qu'Apple et Amazon, sans oublier les européens Renault et Gucci, ont ainsi contribué à miner les espoirs de relance mondiale.
Les opérateurs attendaient du coup de voir la confirmation de celle-ci dans les chiffres du PIB, surtout au vu des problèmes budgétaires rencontrés par Washington, surnommés la "falaise fiscale", qui pourraient nuire à l'activité économique du début de l'année prochaine.
La prudence était aussi de mise en raison des inconnues entourant le recours ou non de l'Espagne à la bouée de sauvetage tendue par ses partenaires régionaux et l'éventuelle activation du plan de rachat d'actifs par la Banque Centrale Européenne qui en découlerait.
La technologie était sous les feux de l'actualité, Apple ayant réalisé un second trimestre décevant d'affilée, les ventes d'iPad étant bien inférieures aux objectifs, l'écornant de 0.09% en pré-ouverture.
Le secteur alimentaire était aussi sur le devant de la scène, alors qu'il se disait que Morningstar, appartenant à Dean Foods Co, aurait tapé dans l'oeil de Michael Foods et du laitier mexicain Grupo Lala.
L'agence de presse Reuters estimait que le prix d'une prise de contrôle pourrait se situer entre 1 et 1.5 milliards d'USD.
Wal-Mart Stores a pour sa part annoncé son intention d'ouvrir 100 magasins supplémentaires en Chine et d'y créer 18 000 emplois dans les trois ans à venir, afin de tenter de faire sa place sur le marché en explosion mais très compétitif des supermarchés du pays.
Amazon.com Inc a quand à lui dérapé de 1.3% avant les premiers échanges, ayant avoué jeudi ses premières pertes trimestrielles en plus de cinq ans, la première boutique sur Internet du monde ayant effectué beaucoup d'investissements et souffert du ralentissement de l'économie européenne.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Comcast et Merck, dont les proclamations de résultats devraient intervenir avant la cloche marquant le début des trannsactions.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.46%, le CAC 40 français de 0.4%, le DAX 30 allemand de 0.48% et le FTSE 100 britannique de 0.68%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait dégringolé de 1.21%, et le Nikkei 225 japonais de 1.35%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté achever la semaine avec les premiers chiffres de leur produit intérieur brut du troisième trimestre, après quoi l'université du Michigan diffusera son indice révisé de la confiance des consommateurs.