La Bourse de Paris devrait encore faire preuve d'une certaine fragilité vendredi matin après avoir validé hier une alerte baissière partielle à ne pas négliger.
Vers 8h15, le contrat futur sur l'indice CAC 40 - livraison novembre - recule de cinq petits points à 5403 points, annonçant un début de séance prudent.
L'indice vedette de la place parisienne a enfoncé hier le seuil des 5470 points, pour clôturer autour de 5408 points sur un repli de près de 1,2%.
Si la tendance haussière à moyen terme ne semble pas remise en cause, le contre-pied est significatif et la situation pourrait sérieusement se dégrader en cas d'enfoncement des 5380 points, avertissent les spécialistes.
'Depuis la décision de la BCE, le mois dernier, de prolonger de neuf mois ses rachats d'actifs, les marchés financiers s'étaient montrés particulièrement calmes', constatent les équipes de Danske Bank.
Pour la banque danoise, l'accès de nervosité d'hier est à mettre sur le compte de déclarations de Benoît Coeuré, membre du directoire de la BCE, pour lequel la zone euro ne doit pas se trouver 'démunie' lors de la prochaine crise, ce qui signifie selon que la politique monétaire accommodante ne peut durer pour l'éternité.
Heureusement, Wall Street a une nouvelle fois fait preuve de résistance hier en perdant trois fois moins de terrain que les places européennes.
Alors que le Dow Jones a perdu jusqu'à 1,1% hier, son repli à la clôture se limitait à 0,4%.
Cette séance de vendredi s'annonce à nouveau calme sur le plan des statistiques, puisque seul l'indice de confiance des consommateurs du Michigan figure au calendrier du jour Outre-Atlantique.
Le consensus attend une petite progression de l'indicateur pour le mois de novembre, avec néanmoins un risque de déception compte tenu de la récente remontée des prix de l'essence.
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Vers 8h15, le contrat futur sur l'indice CAC 40 - livraison novembre - recule de cinq petits points à 5403 points, annonçant un début de séance prudent.
L'indice vedette de la place parisienne a enfoncé hier le seuil des 5470 points, pour clôturer autour de 5408 points sur un repli de près de 1,2%.
Si la tendance haussière à moyen terme ne semble pas remise en cause, le contre-pied est significatif et la situation pourrait sérieusement se dégrader en cas d'enfoncement des 5380 points, avertissent les spécialistes.
'Depuis la décision de la BCE, le mois dernier, de prolonger de neuf mois ses rachats d'actifs, les marchés financiers s'étaient montrés particulièrement calmes', constatent les équipes de Danske Bank.
Pour la banque danoise, l'accès de nervosité d'hier est à mettre sur le compte de déclarations de Benoît Coeuré, membre du directoire de la BCE, pour lequel la zone euro ne doit pas se trouver 'démunie' lors de la prochaine crise, ce qui signifie selon que la politique monétaire accommodante ne peut durer pour l'éternité.
Heureusement, Wall Street a une nouvelle fois fait preuve de résistance hier en perdant trois fois moins de terrain que les places européennes.
Alors que le Dow Jones a perdu jusqu'à 1,1% hier, son repli à la clôture se limitait à 0,4%.
Cette séance de vendredi s'annonce à nouveau calme sur le plan des statistiques, puisque seul l'indice de confiance des consommateurs du Michigan figure au calendrier du jour Outre-Atlantique.
Le consensus attend une petite progression de l'indicateur pour le mois de novembre, avec néanmoins un risque de déception compte tenu de la récente remontée des prix de l'essence.
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