Investing.com - Le dollar U.S. était en retrait face à la plupart de ses concurrents ce jeudi matin, le passage à vide d'hier encourageant les achats à bon prix, alors que les craintes au sujet de la 'expansion économique planétaire tempéraient toute velléité d'audace.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY glissant de 0,10% pour déraper à 98,01, à l'orée de la rencontre des ministres des finances et des chefs des banques centrales des membres du groupe des 20 pays les plus développés.
La circonspection était en effet à l'ordre du jour, en raison des interrogations sur d'éventuelles critiques des accommodements radicaux et inédits effectués par la Banque du Japon et ayant fortement dévalué sa monnaie.
Le couple avait culminé la semaine passée à 99,93, après que l'autorité monétaire japonaise ait déclaré vouloir doubler le volume de ses acquisitions d'actifs au cours des deux années à venir et s'autoriser le rachat de bons du trésor à la durée de vie plus longue.
La devise nippone a cependant vu ces derniers jours son blason de valeur refuge redoré par des perspectives de croissance en berne, bien que sa tendance nettement négative semble devoir se prolonger sur le long terme.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,1% pour grimper à 1,3053.
La pression sur la devise européenne s'est accentuée après que Jens Weidmann, membre du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne, ait déclaré hier que cette dernière pourrait encore rabaisser ses taux au cas où la situation l'exigerait.
Le billet vert a également cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,04% pour se hisser à 1,5244, mais a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF se repliant de 0,16% pour tomber à 0,9310.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été plutôt dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,22% pour monter à 1,0319, le NZD/USD engrangeant 0,20% pour culminer à 0,8455 et l'USD/CAD régressant de 0,12% pour aller vers 1,0250.
Une étude de la National Bank of Australia avait fait savoir ce matin que son indice de la confiance dans lees affaires était remonté depuis -5 vers 2 pour le premier trimestre, s'élevant ainsi pour la première fois depuis pour la première fois en 18 mois.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0,12% pour se situer à 82,65.
Du côté de la zone euro, l'Espagne devrait aujourd'hui émettre des bons du trésor à 10 ans, après quoi les Etats-Unis rendront leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que les chiffres de l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY glissant de 0,10% pour déraper à 98,01, à l'orée de la rencontre des ministres des finances et des chefs des banques centrales des membres du groupe des 20 pays les plus développés.
La circonspection était en effet à l'ordre du jour, en raison des interrogations sur d'éventuelles critiques des accommodements radicaux et inédits effectués par la Banque du Japon et ayant fortement dévalué sa monnaie.
Le couple avait culminé la semaine passée à 99,93, après que l'autorité monétaire japonaise ait déclaré vouloir doubler le volume de ses acquisitions d'actifs au cours des deux années à venir et s'autoriser le rachat de bons du trésor à la durée de vie plus longue.
La devise nippone a cependant vu ces derniers jours son blason de valeur refuge redoré par des perspectives de croissance en berne, bien que sa tendance nettement négative semble devoir se prolonger sur le long terme.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,1% pour grimper à 1,3053.
La pression sur la devise européenne s'est accentuée après que Jens Weidmann, membre du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne, ait déclaré hier que cette dernière pourrait encore rabaisser ses taux au cas où la situation l'exigerait.
Le billet vert a également cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,04% pour se hisser à 1,5244, mais a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF se repliant de 0,16% pour tomber à 0,9310.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été plutôt dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,22% pour monter à 1,0319, le NZD/USD engrangeant 0,20% pour culminer à 0,8455 et l'USD/CAD régressant de 0,12% pour aller vers 1,0250.
Une étude de la National Bank of Australia avait fait savoir ce matin que son indice de la confiance dans lees affaires était remonté depuis -5 vers 2 pour le premier trimestre, s'élevant ainsi pour la première fois depuis pour la première fois en 18 mois.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0,12% pour se situer à 82,65.
Du côté de la zone euro, l'Espagne devrait aujourd'hui émettre des bons du trésor à 10 ans, après quoi les Etats-Unis rendront leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que les chiffres de l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.