Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce lundi matin, la belle performance de l'emploi des Etats-Unis donnant un coup de pouce au moral tout en limitant la popularité des valeurs refuge.
En première partie de séance européenne, il s'est hissé vers un pic de plus d'une semaine par rapport au yen, l'USD/JPY grimpant de 0,35% pour atteindre 99,36.
Le département d'état au travail américain en effet compté 165.000 créations de postes au cours du mois dernier, alors qu'une addition de 145.000 était envisagée, tandis que le total de mars était revu vers le haut jusqu'à 138.000.
Le taux de chômage a du coup fondu sans crier gare depuis 7,6 vers 7,5% dans le même temps, son plus bas niveau en quatre mois.
La devise nippone demeurait pour sa part sur la sellette, alors que l'attente de nouveaux accommodements radicaux de la part de son émettrice demeurait intacte.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,10% pour tomber à 1,3105.
Ce dernier subissait toujours des contre-performances laissaient redouter une régression de l'économie régionale.
L'indice des directeurs des achats du secteur tertiaire du bloc où il a cours était a toutefois frémi depuis 46,4 vers 47,0 pour avril, dépassant les 46,6 avancés au préalable mais demeurant cependant au-dessous des 50 dénotant une croissance du secteur.
Le billet vert a également fait mieux que résister à la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,06% pour chuter à 1,5560.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,26% pour culminer à 0,9375.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas la canadienne, l'AUD/USD cédant 0,64% pour se retrouver à 1,0249, le NZD/USD se laissant arracher 0,22% pour toucher le fond à 0,8517 et l'USD/CAD trébuchant de 0,01% pour descendre à 1,0080.
La première a perdu des plumes après que des informations émanant des autorités aient mis en relief une érosion de 0,4% des ventes au détail en mars, alors qu'un frémisement de 0,2% était espéré.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0,12% pour se situer à 82,26.
Le volume des transactions semblait devoir rester minime en ce jour de festivités du mois de mai dans la City.
En première partie de séance européenne, il s'est hissé vers un pic de plus d'une semaine par rapport au yen, l'USD/JPY grimpant de 0,35% pour atteindre 99,36.
Le département d'état au travail américain en effet compté 165.000 créations de postes au cours du mois dernier, alors qu'une addition de 145.000 était envisagée, tandis que le total de mars était revu vers le haut jusqu'à 138.000.
Le taux de chômage a du coup fondu sans crier gare depuis 7,6 vers 7,5% dans le même temps, son plus bas niveau en quatre mois.
La devise nippone demeurait pour sa part sur la sellette, alors que l'attente de nouveaux accommodements radicaux de la part de son émettrice demeurait intacte.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,10% pour tomber à 1,3105.
Ce dernier subissait toujours des contre-performances laissaient redouter une régression de l'économie régionale.
L'indice des directeurs des achats du secteur tertiaire du bloc où il a cours était a toutefois frémi depuis 46,4 vers 47,0 pour avril, dépassant les 46,6 avancés au préalable mais demeurant cependant au-dessous des 50 dénotant une croissance du secteur.
Le billet vert a également fait mieux que résister à la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,06% pour chuter à 1,5560.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,26% pour culminer à 0,9375.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas la canadienne, l'AUD/USD cédant 0,64% pour se retrouver à 1,0249, le NZD/USD se laissant arracher 0,22% pour toucher le fond à 0,8517 et l'USD/CAD trébuchant de 0,01% pour descendre à 1,0080.
La première a perdu des plumes après que des informations émanant des autorités aient mis en relief une érosion de 0,4% des ventes au détail en mars, alors qu'un frémisement de 0,2% était espéré.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0,12% pour se situer à 82,26.
Le volume des transactions semblait devoir rester minime en ce jour de festivités du mois de mai dans la City.