Investing.com - La livre sterling se rapprochait d'un creux de trois semaines face au dollar U.S. ce lundi après que le chef de l'émettrice de ce dernier ait rappelé la semaine passée qu'elle pourrait commencer à limiter ses rachats d'actifs dès cette année.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1,5366 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 5 juin, puis s'est stabilisée vers 1,5369, perdant 0,33%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5290, son plancher du 5 juin, et de rencontrer de la résistance à 1,5398, son plafond du jour.
Le billet vert avait en effet repris des couleurs après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait affirmé mercredi que cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses injections de capitaux avant que l'année soit achevée, et qu'elle pourrait même les interrompre d'ici la mi-2014 au cas où l'économie connaîtrait la relance qu'elle espère.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs cédé du terrain à l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0,16% pour se hisser à 0,8522.
La monnaie unique demeurait fragilisée par la hausse des coûts des emprunts des pays où elle a cours, sur fond d'angoisse d'une fermeture des robinets américains.
Les taux de obligations décennales espagnoles ont ainsi atteint aujourd'hui 5% pour la première depuis avril, contre 4,88% vendredi, ceux de l'Italie passant de 4,58 à 4,71% dans le même temps.
Il était d'autre part à noter que l'ambiance économique allemande s'était légèrement améliorée.
Le baromètre de la confiance dans les affaires germaniques élaboré par l'institut Ifo pour la recherche économique n'a cependant guère créé la surprise en s'élevant de 105,7 vers 105,9 pour juin.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1,5366 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 5 juin, puis s'est stabilisée vers 1,5369, perdant 0,33%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5290, son plancher du 5 juin, et de rencontrer de la résistance à 1,5398, son plafond du jour.
Le billet vert avait en effet repris des couleurs après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait affirmé mercredi que cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses injections de capitaux avant que l'année soit achevée, et qu'elle pourrait même les interrompre d'ici la mi-2014 au cas où l'économie connaîtrait la relance qu'elle espère.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs cédé du terrain à l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0,16% pour se hisser à 0,8522.
La monnaie unique demeurait fragilisée par la hausse des coûts des emprunts des pays où elle a cours, sur fond d'angoisse d'une fermeture des robinets américains.
Les taux de obligations décennales espagnoles ont ainsi atteint aujourd'hui 5% pour la première depuis avril, contre 4,88% vendredi, ceux de l'Italie passant de 4,58 à 4,71% dans le même temps.
Il était d'autre part à noter que l'ambiance économique allemande s'était légèrement améliorée.
Le baromètre de la confiance dans les affaires germaniques élaboré par l'institut Ifo pour la recherche économique n'a cependant guère créé la surprise en s'élevant de 105,7 vers 105,9 pour juin.