Investing.com - L'euro a vu empirer son cas face au dollar U.S. ce jeudi, les résultats décevants là où elle a cours laissant craindre une persistance d'un manque de vigueur dans la reprise.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3663 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 21 octobre, puis s'est stabilisée vers 1,3665, perdant 0,51%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3600, son plancher psychologique précédent, et de rencontrer de la résistance à 1,3737, son plafond du jour.
La monnaie unique a en effet plongé après que l'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, ait mesuré 0,7% d'augmentation des prix au détail pour octobre, la plus faible depuis novembre 2009, constituant un net ralentissement par rapport aux 1,1% ayant précédé, alors qu'une stabilisation semblait probable.
Elle s'est du coup encore plus éloignée des 2%, voire un peu moins, visés par la Banque Centrale Européenne.
Il était aussi à noter que le chômage de la région s'était maintenu à 12,2% en septembre, son plus haut niveau de tous les temps, alors qu'un retraction à 12% était espérée.
Il avait auparavant été souligné que les ventes au détail allemandes avaient diminué de 0,4% le mois passé, alors qu'une augmentation d'une ampleur semblable était attendu.
Le billet vert avait pour sa part retrouvé des couleurs après que la banque centrale des Etats-Unis se soit montrée moins pessimiste que prévu au sujet de la conjoncture, entretenant le suspense au sujet d'une éventuelle réduction anticipée des ses aides
Elle a ainsi maintenu hier le volume de ses rachats d'actifs mensuels à 85 milliards d'USD, sans toutefois mettre fin aux interrogations concernant leur possible diminution pour décembre, ou une poursuite jusqu'en 2014.
Elle a ajouté que "le secteur immobilier avait quelque peu ralenti ces derniers mois", mais estimé que l'économie poursuivait son expansion "à un rythme modéré", et que les risques négatifs diminuaient.
La monnaie unique a par ailleurs cédé du terrain au yen, l'EUR/JPY glissant de 0,85% pour déraper à 134,20.
La Banque du Japon a elle aussi opté pour le statu quo à l'aube, rappelant qu'elle comptait atteindre les 2% d'inflation annuelle qu'elle vise d'ici avril 2015.
La livre sterling a elle aussi exercé sa pression, l'EUR/GBP reculant de 0,40% pour se rétracter à 0,8529.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3663 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 21 octobre, puis s'est stabilisée vers 1,3665, perdant 0,51%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3600, son plancher psychologique précédent, et de rencontrer de la résistance à 1,3737, son plafond du jour.
La monnaie unique a en effet plongé après que l'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, ait mesuré 0,7% d'augmentation des prix au détail pour octobre, la plus faible depuis novembre 2009, constituant un net ralentissement par rapport aux 1,1% ayant précédé, alors qu'une stabilisation semblait probable.
Elle s'est du coup encore plus éloignée des 2%, voire un peu moins, visés par la Banque Centrale Européenne.
Il était aussi à noter que le chômage de la région s'était maintenu à 12,2% en septembre, son plus haut niveau de tous les temps, alors qu'un retraction à 12% était espérée.
Il avait auparavant été souligné que les ventes au détail allemandes avaient diminué de 0,4% le mois passé, alors qu'une augmentation d'une ampleur semblable était attendu.
Le billet vert avait pour sa part retrouvé des couleurs après que la banque centrale des Etats-Unis se soit montrée moins pessimiste que prévu au sujet de la conjoncture, entretenant le suspense au sujet d'une éventuelle réduction anticipée des ses aides
Elle a ainsi maintenu hier le volume de ses rachats d'actifs mensuels à 85 milliards d'USD, sans toutefois mettre fin aux interrogations concernant leur possible diminution pour décembre, ou une poursuite jusqu'en 2014.
Elle a ajouté que "le secteur immobilier avait quelque peu ralenti ces derniers mois", mais estimé que l'économie poursuivait son expansion "à un rythme modéré", et que les risques négatifs diminuaient.
La monnaie unique a par ailleurs cédé du terrain au yen, l'EUR/JPY glissant de 0,85% pour déraper à 134,20.
La Banque du Japon a elle aussi opté pour le statu quo à l'aube, rappelant qu'elle comptait atteindre les 2% d'inflation annuelle qu'elle vise d'ici avril 2015.
La livre sterling a elle aussi exercé sa pression, l'EUR/GBP reculant de 0,40% pour se rétracter à 0,8529.