Investing.com - L'euro naviguait aux abords d'un creux de six semaines face au dollar U.S. ce lundi matin, les bons résultats de l'emploi américain dévoilés lors de la session précédente alimentant les rumeurs de réduction prochaine des apports de capitaux de l'émettrice de son adversaire.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,2812 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,2817, trébuchant de 0,04%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,2750, son plancher du 27 mars, et de rencontrer de la résistance à 1,2875, son plafond psychologique suivant.
Le billet vert gardait en effet des couleurs après que les autorités des Etats-Unis aient décompté 195.000 emplois supplémentaires en juin, au lieu des 165.000 envisagés.
Les 175.000 précédents ayant par ailleurs été revus à la hausse jusqu'à 195.000, et le taux de chômage se maintenait quand à lui à 7,6% le mois passé.
La monnaie unique demeurait sur la défensive après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait déclaré lors de la conférence de presse ayant suivi la réunion de cette dernière ne s'attendait pas à relever son taux d'intérêt directeur avant une période "prolongée".
Elle n'a cependant guère varié après que l'Allemagne ait déploré à l'aube un excédent décevant pour sa balance commerciale, avec 14,1 milliards d'euros en mai, les exportations subissant une érosion de 4,8% d'une année sur l'autre, et les importations de 2,6%.
Les experts pensaient ainsi le voir s'élever à 17,5 milliards d'euros.
L'unité monétaire de l'Europe a par ailleurs cédé quelques centimètres de terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,04% pour reprendre pied à 0,8611, et davantage au yen, l'EUR/JPY dérapant de 0,17% pour glisser à 129,56.
Le groupe des ministres des finances du bloc euro procèdera aujourd'hui pour sa part à des pourparlers à Bruxelles.
Mario Draghi, chef de la Banque Centrale Européenne, comparaitra quand à lui devant le comité économique aux affaires monétaires du parlement européen dans la capitale belge.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,2812 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,2817, trébuchant de 0,04%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,2750, son plancher du 27 mars, et de rencontrer de la résistance à 1,2875, son plafond psychologique suivant.
Le billet vert gardait en effet des couleurs après que les autorités des Etats-Unis aient décompté 195.000 emplois supplémentaires en juin, au lieu des 165.000 envisagés.
Les 175.000 précédents ayant par ailleurs été revus à la hausse jusqu'à 195.000, et le taux de chômage se maintenait quand à lui à 7,6% le mois passé.
La monnaie unique demeurait sur la défensive après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait déclaré lors de la conférence de presse ayant suivi la réunion de cette dernière ne s'attendait pas à relever son taux d'intérêt directeur avant une période "prolongée".
Elle n'a cependant guère varié après que l'Allemagne ait déploré à l'aube un excédent décevant pour sa balance commerciale, avec 14,1 milliards d'euros en mai, les exportations subissant une érosion de 4,8% d'une année sur l'autre, et les importations de 2,6%.
Les experts pensaient ainsi le voir s'élever à 17,5 milliards d'euros.
L'unité monétaire de l'Europe a par ailleurs cédé quelques centimètres de terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,04% pour reprendre pied à 0,8611, et davantage au yen, l'EUR/JPY dérapant de 0,17% pour glisser à 129,56.
Le groupe des ministres des finances du bloc euro procèdera aujourd'hui pour sa part à des pourparlers à Bruxelles.
Mario Draghi, chef de la Banque Centrale Européenne, comparaitra quand à lui devant le comité économique aux affaires monétaires du parlement européen dans la capitale belge.