Investing.com - Le dollar U.S. a laissé le franc suisse prendre l'avantage ce jeudi, pour se retrouver aux abords d'un creux de plus de deux ans et demi, toujours tiré vers le bas par l'attente d'une poursuite des injections de son émettrice à leur niveau actuel.
La paire USD/CHF est descendue jusqu'à 0,8904 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis janvier 2011, puis s'est stabilisée vers 0,8915, trébuchant de 0,10%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0,8762, son plancher du 11 janvier, et de rencontrer de la résistance à 0,8966, son plafond journalier.
Le billet vert demeurait sur la sellette dans le sillage de la déception pour septembre causée en début de semaine par marché de l'emploi où il a cours, renforçant les probabilités que la Réserve Fédérale repousse la fermeture du robinet de ses injections de liquidités jusqu'à ce que l'année prochaine soit bien avancée.
L'ambiance s'est par ailleurs allégée après qu'il ait été montré à l'aube que la première lecture de l'indice manufacturier établi par la banque HSBC pour octobre avait gonflé depuis 50,2 vers 50,9 pour octobre, son plus haut niveau en sept mois, alors qu'un sursaut à seulement 50,5 était espéré.
Cette belle performance allait à l'encontre du spectre planant sur l'économie de la Chine, au lendemain du frisson ayant parcouru les marchés suite aux rumeurs selon lesquelles sa banque centrale durcirait sa politique monétaire afin de mettre un frein à l'inflation.
La devise helvète a par ailleurs bien résisté à l'euro, l'EUR/CHF arrachant 0,04% pour se hisser à 1,2298.
Le groupe de recherches économiques Markit avait auparavant fait savoir que l'évaluation préliminaire de l'indice des directeurs des achats du secteur secondaire du bloc ayant adopté la monnaie unique avait patiné depuis les 51,1 définitifs de septembre vers 51,3, au lieu d'atteindre les 50,4 qui semblaient probables.
Son équivalent tertiaire a suivi un chemin inverse, depuis les 52,2 précédents vers 50,9.
L'équivalent allemand du premier s'est par contre sans surprise amélioré depuis 51,1 vers 51,5 dans le même temps, mais celui du second a cependant subi déconvenue des 53,7 de septembre jusqu'à 52,3, sa plus faible valeur en trois mois.
Ceux de la France ont aussi constitué de mauvaises surprises sur une période identique.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté rendre aujourd'hui leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, le solde de leur commerce extérieur ainsi que le volume des ventes de logements neufs.
La paire USD/CHF est descendue jusqu'à 0,8904 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis janvier 2011, puis s'est stabilisée vers 0,8915, trébuchant de 0,10%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0,8762, son plancher du 11 janvier, et de rencontrer de la résistance à 0,8966, son plafond journalier.
Le billet vert demeurait sur la sellette dans le sillage de la déception pour septembre causée en début de semaine par marché de l'emploi où il a cours, renforçant les probabilités que la Réserve Fédérale repousse la fermeture du robinet de ses injections de liquidités jusqu'à ce que l'année prochaine soit bien avancée.
L'ambiance s'est par ailleurs allégée après qu'il ait été montré à l'aube que la première lecture de l'indice manufacturier établi par la banque HSBC pour octobre avait gonflé depuis 50,2 vers 50,9 pour octobre, son plus haut niveau en sept mois, alors qu'un sursaut à seulement 50,5 était espéré.
Cette belle performance allait à l'encontre du spectre planant sur l'économie de la Chine, au lendemain du frisson ayant parcouru les marchés suite aux rumeurs selon lesquelles sa banque centrale durcirait sa politique monétaire afin de mettre un frein à l'inflation.
La devise helvète a par ailleurs bien résisté à l'euro, l'EUR/CHF arrachant 0,04% pour se hisser à 1,2298.
Le groupe de recherches économiques Markit avait auparavant fait savoir que l'évaluation préliminaire de l'indice des directeurs des achats du secteur secondaire du bloc ayant adopté la monnaie unique avait patiné depuis les 51,1 définitifs de septembre vers 51,3, au lieu d'atteindre les 50,4 qui semblaient probables.
Son équivalent tertiaire a suivi un chemin inverse, depuis les 52,2 précédents vers 50,9.
L'équivalent allemand du premier s'est par contre sans surprise amélioré depuis 51,1 vers 51,5 dans le même temps, mais celui du second a cependant subi déconvenue des 53,7 de septembre jusqu'à 52,3, sa plus faible valeur en trois mois.
Ceux de la France ont aussi constitué de mauvaises surprises sur une période identique.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté rendre aujourd'hui leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, le solde de leur commerce extérieur ainsi que le volume des ventes de logements neufs.