Investing.com - Les bourses européennes restaient en difficulté ce mercredi après-midi, sur fond d'inquiétudes causées par le second jours de paralysie des administrations américaines, dans l'expectative des orientations de l'autorité monétaire régionale.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,25%, le CAC 40 français de 0,7%, et le DAX 30 allemand de 0,5%.
La Banque Centrale Européenne s'apperêtait en effet à procéder à une prise de cap, après quoi son président Mario Draghi tiendra une conférence de presse à ce sujet.
En Italie, le premier ministre Enrico Letta préparait à affronter aujourd'hui un vote de confiance devant le parlement, après que Silvio Berlusconi ait annoncé samedi le retrait de ses ministres du gouvernement de son coalition.
Son secteur financier voyait pourtant bondir respectivement Intesa Sanpaolo et Unicredit de 3,6 et 1,85%.
Leurs collègues allemands Commerzbank et Deutsche Bank empochaient aussi 2 et 0,6%, suivis des français Crédit Agricole et Société Générale avec 1,3 et 2,75%.
A Londres, le FTSE 100 se rétractait de 1%, tiré vers le bas par sa grande distribution.
Les supermarchés Tesco étaient parmi les lanternes rouges, s'effondrant de 3,5%, suite à l'aveu d'une baisse de ses profits semestriels.
Le fabricant de produits ménagers Unilever poursuivait sa descente entamée hier, glissant de 1,75% après que l'UBS en ait rabaissé l'appréciation depuis le conseil d'achat vers la neutralité, après avoir déploré une croissance décevante de son chiffre d'affaires au troisième trimestre.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant, les chicaneries politiques à Washington ayant fini par par assombrir l'ambiance.
La prudence restait du coup de mise après que les autorités des Etats-Unis aient prolongé la mise à pied partielle de leurs services suite à l'échec des négociations budgétaires.
Le parlement du pays se trouvera aussi bientôt contraint d'envisager le relèvement de son plafond d'endettement maximal, qui devrait, d'après le ministère des finances, être dépassé le 17 octobre.
Les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,45%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,55% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,35%.
L'agence de gestion des ressources humaines ADP conclura de son côté la journée avec son rapport sur l'emploi national.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,25%, le CAC 40 français de 0,7%, et le DAX 30 allemand de 0,5%.
La Banque Centrale Européenne s'apperêtait en effet à procéder à une prise de cap, après quoi son président Mario Draghi tiendra une conférence de presse à ce sujet.
En Italie, le premier ministre Enrico Letta préparait à affronter aujourd'hui un vote de confiance devant le parlement, après que Silvio Berlusconi ait annoncé samedi le retrait de ses ministres du gouvernement de son coalition.
Son secteur financier voyait pourtant bondir respectivement Intesa Sanpaolo et Unicredit de 3,6 et 1,85%.
Leurs collègues allemands Commerzbank et Deutsche Bank empochaient aussi 2 et 0,6%, suivis des français Crédit Agricole et Société Générale avec 1,3 et 2,75%.
A Londres, le FTSE 100 se rétractait de 1%, tiré vers le bas par sa grande distribution.
Les supermarchés Tesco étaient parmi les lanternes rouges, s'effondrant de 3,5%, suite à l'aveu d'une baisse de ses profits semestriels.
Le fabricant de produits ménagers Unilever poursuivait sa descente entamée hier, glissant de 1,75% après que l'UBS en ait rabaissé l'appréciation depuis le conseil d'achat vers la neutralité, après avoir déploré une croissance décevante de son chiffre d'affaires au troisième trimestre.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant, les chicaneries politiques à Washington ayant fini par par assombrir l'ambiance.
La prudence restait du coup de mise après que les autorités des Etats-Unis aient prolongé la mise à pied partielle de leurs services suite à l'échec des négociations budgétaires.
Le parlement du pays se trouvera aussi bientôt contraint d'envisager le relèvement de son plafond d'endettement maximal, qui devrait, d'après le ministère des finances, être dépassé le 17 octobre.
Les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,45%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,55% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,35%.
L'agence de gestion des ressources humaines ADP conclura de son côté la journée avec son rapport sur l'emploi national.