Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce mardi matin, et notament ses homologues nippon et européen, avec l'espoir d'une poursuite de la politique d'argent facile de son émettrice jusqu'à l'année prochaine afin de préserver la relance.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant à,07% pour grimper de 1,3504 à 1,3515.
Il demeurait en effet sur la sellette après que les commentaires favorables aux taux faibles de Janet Yellen, qui sera bientôt à la tête de la banque centrale américaine, aient conforté l'hypothèse du maintien du niveau des rachats d'actifs actuels afin de consolider la reprise.
Ses pertes demeuraient cependant jugulées par William C. Dudley, chef de la réserve fédérale de New York, déclarant hier avoir l'espoir que l'économie s'améliore, et ajouté que les incertitudes budgétaires qui avaient mis un frein à la croissance avaient des chances de se dissiper au cours des mois prochains.
Le procès-verbal de la plus récente prise de cap du comité fédéral des marchés ouverts, dont la publication aura lieu demain, de même qu'un discours de Ben Bernanke, actuellement à sa tête, seront au centre des débats de la semaine, en quête d'indices sur les orientations futures.
Il en allait de même avec le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,25% pour se retrouver à 99,73, après avoir établi vendredi un pic de deux mois à 100,42.
La livre sterling a cependant cédé du terrain au billet vert, le GBP/USD perdant 0,10% pour déraper à 1,6093, mais il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,04% pour tomber à 0,9124.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas la canadienne, l'AUD/USD raflant 0,47% pour monter à 0,9419, le NZD/USD engrangeant 0,07% pour culminer à 0,8339 et l'USD/CAD progressant de 0,13% pour aller vers 1,0441.
La première avait retrouvé le sourire, après que la Chine, dont elle dépend fortement, ait dévoilé les grandes lignes d'une série de mesures économiques primordiales, renforçant du coup les perspectives d'exportation de l'Australie.
Le compte-rendu détaillé du dernier conseil de direction de la Réserve Bancaire d'Australie, publié à l'aube, avait auparavant fait savoir que la valeur de la devise nationale demeurait "anormalement élevée", et que des baisse des taux supplémentaires demeuraient envisageables pour soutenir l'économie.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,06% pour se situer à 80,74.
Le groupe de recherches économiques ZEW s'apprêtait pour sa part à fournir incessamment son baromètre de l'humeur économique de l'Allemagne.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant à,07% pour grimper de 1,3504 à 1,3515.
Il demeurait en effet sur la sellette après que les commentaires favorables aux taux faibles de Janet Yellen, qui sera bientôt à la tête de la banque centrale américaine, aient conforté l'hypothèse du maintien du niveau des rachats d'actifs actuels afin de consolider la reprise.
Ses pertes demeuraient cependant jugulées par William C. Dudley, chef de la réserve fédérale de New York, déclarant hier avoir l'espoir que l'économie s'améliore, et ajouté que les incertitudes budgétaires qui avaient mis un frein à la croissance avaient des chances de se dissiper au cours des mois prochains.
Le procès-verbal de la plus récente prise de cap du comité fédéral des marchés ouverts, dont la publication aura lieu demain, de même qu'un discours de Ben Bernanke, actuellement à sa tête, seront au centre des débats de la semaine, en quête d'indices sur les orientations futures.
Il en allait de même avec le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,25% pour se retrouver à 99,73, après avoir établi vendredi un pic de deux mois à 100,42.
La livre sterling a cependant cédé du terrain au billet vert, le GBP/USD perdant 0,10% pour déraper à 1,6093, mais il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,04% pour tomber à 0,9124.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas la canadienne, l'AUD/USD raflant 0,47% pour monter à 0,9419, le NZD/USD engrangeant 0,07% pour culminer à 0,8339 et l'USD/CAD progressant de 0,13% pour aller vers 1,0441.
La première avait retrouvé le sourire, après que la Chine, dont elle dépend fortement, ait dévoilé les grandes lignes d'une série de mesures économiques primordiales, renforçant du coup les perspectives d'exportation de l'Australie.
Le compte-rendu détaillé du dernier conseil de direction de la Réserve Bancaire d'Australie, publié à l'aube, avait auparavant fait savoir que la valeur de la devise nationale demeurait "anormalement élevée", et que des baisse des taux supplémentaires demeuraient envisageables pour soutenir l'économie.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,06% pour se situer à 80,74.
Le groupe de recherches économiques ZEW s'apprêtait pour sa part à fournir incessamment son baromètre de l'humeur économique de l'Allemagne.