Le titre Nokia (HE:NOKIA) s'inscrit en net recul mercredi à la Bourse de Paris, pénalisé par l'avertissement lancé dans la matinée par Ericsson (ST:ERICb) sur ses résultats de 3ème trimestre.
Vers 11h30, Nokia perd 4,1% à 4,7 euros, signant la plus forte baisse de l'indice SBF 120. Au même moment à la Bourse de Stockholm, le titre de son concurrent s'effondre de 17%.
Ericsson a émis mercredi un 'profit warning', prévenant que ses performances de 3ème trimestre seraient 'significativement inférieures' aux objectifs précédemment établis.
Si le groupe suédois a invoqué une faiblesse généralisée de la demande dans le haut débit mobile, certains analystes recommandent de ne pas jeter Nokia avec l'eau du bain d'Ericsson.
'Nous ne pensons pas qu'il y ait de nouveaux éléments négatifs concernant les tendances globales du secteur', réagissent ainsi les équipes de Bernstein.
Les analystes - qui recommandent de se tenir à l'écart d'Ericsson - préfèrent donc maintenir leur opinion 'surperformance' sur Nokia, qu'ils accompagnent d'un objectif de cours de huit euros.
'Nous aurions tendance à recommander aux investisseurs de profiter de l'accès de faiblesse pour acheter du Nokia dans la mesure où ces annonces vont sans doute conduire le marché à revoir ses estimations à la baisse sans que cela ne reflète une détérioration d'un point de vue fondamental', souligne Bernstein.
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Vers 11h30, Nokia perd 4,1% à 4,7 euros, signant la plus forte baisse de l'indice SBF 120. Au même moment à la Bourse de Stockholm, le titre de son concurrent s'effondre de 17%.
Ericsson a émis mercredi un 'profit warning', prévenant que ses performances de 3ème trimestre seraient 'significativement inférieures' aux objectifs précédemment établis.
Si le groupe suédois a invoqué une faiblesse généralisée de la demande dans le haut débit mobile, certains analystes recommandent de ne pas jeter Nokia avec l'eau du bain d'Ericsson.
'Nous ne pensons pas qu'il y ait de nouveaux éléments négatifs concernant les tendances globales du secteur', réagissent ainsi les équipes de Bernstein.
Les analystes - qui recommandent de se tenir à l'écart d'Ericsson - préfèrent donc maintenir leur opinion 'surperformance' sur Nokia, qu'ils accompagnent d'un objectif de cours de huit euros.
'Nous aurions tendance à recommander aux investisseurs de profiter de l'accès de faiblesse pour acheter du Nokia dans la mesure où ces annonces vont sans doute conduire le marché à revoir ses estimations à la baisse sans que cela ne reflète une détérioration d'un point de vue fondamental', souligne Bernstein.
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