Investing.com - Les options sur le brut étaient à la baisse ce mercredi, retombant de leur pic des trois derniers jours sur fond de large renforcement du billet vert et de hausse des réserves d'essence américaines, tirant les prix vers le bas.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juillet se sont échangés à 98.81 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0.48%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 98.52 USD, leur cours le plus bas du jour.
La monnaie des Etats-Unis s'est élevée vers un pic des deux derniers jours face à l'euro après que les ministres des finances de la zone aient échoué mardi à dégager un consensus à propos du second plan d'aides à la Grèce.
L'indice dollar a gagné 0.35% pour se situer à 75.07, après avoir culminé à 75.14, son meilleur niveau des deux jours écoulés. Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
L'institut du pétrole américain, spécialiste du secteur, a pour sa part indiqué dansun article publié hier que les réserves d'essence américaines avaient augmenté de 1.1 millions de barils la semaine dernière, laissant à penser que la demande en carburant du pays diminuait malgré l'ouverture de la saison des voyages automobiles d'été.
Les stocks d'or noir ont pour leur part perdu 3 millions de barils dans le même temps, et celles de carburants distillés, notamment le fioul et le gazole, de 0.42 millions d'unités.
Le département d'état américain à l'énergie devrait par ailleurs dévoiler en cours de journée son inventaire très attendu des réserves d'or noir américaines pour la semaine achevée le 10 juin.
Celui-ci devrait probablement montrer une régression de 1.5 millions de barils, tandis que celles d'essence devraient engranger 1 million de barils supplémentaires.
Les prix du brut avaient rebondi de près de 2% hier après qu'une série de résultats économiques majoritairement positifs des Etats-Unis et de la Chine aient apaisé les craintes d'un ralentissement de la demande en pétrole des deux plus gros consommateurs mondiaux.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour août ont trébuché de 0.2% pour descendre à 119.06 USD du baril dans le même temps, soit 20.25 USD de mieux que leurs homologues américaines.
BNP Paribas, fournisseur de services financiers de niveau mondial, a déclaré que l'écart inédit entre les contrats sur le brut et les Brent pourrait être dû aux inquiétudes grandissantes d'un ralentissement de la croissance U.S. par rapport à celle du reste du monde, nuisant aux prix du pétrole américains.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juillet se sont échangés à 98.81 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0.48%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 98.52 USD, leur cours le plus bas du jour.
La monnaie des Etats-Unis s'est élevée vers un pic des deux derniers jours face à l'euro après que les ministres des finances de la zone aient échoué mardi à dégager un consensus à propos du second plan d'aides à la Grèce.
L'indice dollar a gagné 0.35% pour se situer à 75.07, après avoir culminé à 75.14, son meilleur niveau des deux jours écoulés. Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
L'institut du pétrole américain, spécialiste du secteur, a pour sa part indiqué dansun article publié hier que les réserves d'essence américaines avaient augmenté de 1.1 millions de barils la semaine dernière, laissant à penser que la demande en carburant du pays diminuait malgré l'ouverture de la saison des voyages automobiles d'été.
Les stocks d'or noir ont pour leur part perdu 3 millions de barils dans le même temps, et celles de carburants distillés, notamment le fioul et le gazole, de 0.42 millions d'unités.
Le département d'état américain à l'énergie devrait par ailleurs dévoiler en cours de journée son inventaire très attendu des réserves d'or noir américaines pour la semaine achevée le 10 juin.
Celui-ci devrait probablement montrer une régression de 1.5 millions de barils, tandis que celles d'essence devraient engranger 1 million de barils supplémentaires.
Les prix du brut avaient rebondi de près de 2% hier après qu'une série de résultats économiques majoritairement positifs des Etats-Unis et de la Chine aient apaisé les craintes d'un ralentissement de la demande en pétrole des deux plus gros consommateurs mondiaux.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour août ont trébuché de 0.2% pour descendre à 119.06 USD du baril dans le même temps, soit 20.25 USD de mieux que leurs homologues américaines.
BNP Paribas, fournisseur de services financiers de niveau mondial, a déclaré que l'écart inédit entre les contrats sur le brut et les Brent pourrait être dû aux inquiétudes grandissantes d'un ralentissement de la croissance U.S. par rapport à celle du reste du monde, nuisant aux prix du pétrole américains.