L'exercice 2014/2015 de Barry Callebaut débute sur des bases solides. Le géant suisse du chocolat a en effet enregistré un bénéfice net de 132,4 millions de francs suisses au terme du premier semestre clos le 28 février, soit une progression de 10,7% et de 16,3% en monnaies locales.
L'Ebit est quant à lui ressorti à 219,2 millions de francs suisses, en augmentation de 8,7% et de 13% en devises locales par rapport au premier semestre précédent.
Autres bonnes nouvelles : le chiffre d'affaires a crû de 11,6% et de 14,5% en monnaies locales pour s'établir à environ 3,2 milliards de francs suisses, et les volumes ont progressé de 2% à un peu plus de 893.000 tonnes. Une performance d'autant plus remarquable que l'augmentation s'est accentuée au deuxième trimestre (+3,9%), alors même que le marché mondial de la confiserie en chocolat a reculé de 1,5% entre septembre 2014 et février.
'Comme prévu, nous avons enregistré un deuxième trimestre solide après un début d'année plutôt lent [...] Tous les moteurs de croissance ont contribué à notre expansion, notamment la sous-traitance et les partenariats, ainsi que Gourmet. Nos activités dans nos principales régions que sont l'Europe occidentale et les Amériques ont réalisé une performance particulièrement réjouissante. Malgré un marché des produits à base de cacao en perte de vitesse et des effets de change négatifs, nous avons sensiblement amélioré notre rentabilité grâce à la priorité que nous continuons d'accorder à notre gamme de produits, à nos marges et à la gestion des coûts', a commenté Juergen Steinemann, directeur exécutif de Barry Callebaut.
Et d'ajouter: 'nous tablons sur une nouvelle accélération du volume des ventes au second semestre de notre exercice, sous l'impulsion de tous nos moteurs de croissance. L'accent que nous mettons sur les marges des produits et la maîtrise des coûts alimentera une croissance rentable, ce qui contribuera à compenser les conditions difficiles qui règnent actuellement sur le marché du cacao. Sous réserve des effets de change qui devraient avoir un impact négatif sur notre bénéfice, nous confirmons nos objectifs à moyen terme', dont des volumes en hausse annuelle moyenne dans une fourchette comprise entre 6 et 8%.
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L'Ebit est quant à lui ressorti à 219,2 millions de francs suisses, en augmentation de 8,7% et de 13% en devises locales par rapport au premier semestre précédent.
Autres bonnes nouvelles : le chiffre d'affaires a crû de 11,6% et de 14,5% en monnaies locales pour s'établir à environ 3,2 milliards de francs suisses, et les volumes ont progressé de 2% à un peu plus de 893.000 tonnes. Une performance d'autant plus remarquable que l'augmentation s'est accentuée au deuxième trimestre (+3,9%), alors même que le marché mondial de la confiserie en chocolat a reculé de 1,5% entre septembre 2014 et février.
'Comme prévu, nous avons enregistré un deuxième trimestre solide après un début d'année plutôt lent [...] Tous les moteurs de croissance ont contribué à notre expansion, notamment la sous-traitance et les partenariats, ainsi que Gourmet. Nos activités dans nos principales régions que sont l'Europe occidentale et les Amériques ont réalisé une performance particulièrement réjouissante. Malgré un marché des produits à base de cacao en perte de vitesse et des effets de change négatifs, nous avons sensiblement amélioré notre rentabilité grâce à la priorité que nous continuons d'accorder à notre gamme de produits, à nos marges et à la gestion des coûts', a commenté Juergen Steinemann, directeur exécutif de Barry Callebaut.
Et d'ajouter: 'nous tablons sur une nouvelle accélération du volume des ventes au second semestre de notre exercice, sous l'impulsion de tous nos moteurs de croissance. L'accent que nous mettons sur les marges des produits et la maîtrise des coûts alimentera une croissance rentable, ce qui contribuera à compenser les conditions difficiles qui règnent actuellement sur le marché du cacao. Sous réserve des effets de change qui devraient avoir un impact négatif sur notre bénéfice, nous confirmons nos objectifs à moyen terme', dont des volumes en hausse annuelle moyenne dans une fourchette comprise entre 6 et 8%.
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