Investing.com - Les options sur l'or arboraient un sourire modeste ce mardi matin, après que de hauts responsables de la banque centrale des Etats-Unis aient rappelé que la fin imminente de ses perfusions de capitaux n'était qu'une possibilité et non une certitude comme certains bruits l'affirmaient.
Les évolutions constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de fin prématurée de l'utilisation de sa planche à billets pour remplumer le système financier national.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour août se sont échangés à 1.280,45 USD de l'once en début de séance européenne, gagnant 0,25%.
Ils avaient auparavant culminé à 1.287,75 USD, leur meilleur cours du jour, avec une poussée de 0,8%.
Le journée du 21 juin les avait vus plonger jusqu'à 1.268,75 USD, leur cours le plus bas depuis le 16 septembre 2010.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1.246,20 USD, leur plancher du 14 septembre 2010, et rencontrer de la résistance à court terme à 1.310,10 USD, leur plafond du 28.
Narayana Kocherlakota, président de la réserve fédérale de Minneapolis, a en effet confirmé que l'autorité monétaire des Etats-Unis demeurait engagée dans son programme de rachats d'actifs jusqu'à ce que le chômage américain soit ramené à un niveau bien plus bas que l'actuel.
Son homologue pour Dallas Richard Fisher a confirmé que l'agitation à ce sujet était infondée.
Les cours avaient subi la semainee dernière avec 6,8% leur pire débandade hebdomadaire depuis septembre 2011, après que Ben Bernanke, président de la Fed, ait savamment attisé les rumeurs en affirmant mercredi que cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses injections de liquidités avant que l'année soit achevée, au cas où l'économie continuerait à retrouver de la vigueur.
Une telle éventualité nuirait fortement au métal précieux, sa valeur ayant profité de la demande provenant des investisseurs désireux de se prémunir des risques d'inflation découlant de politiques monétaires assouplies.
Les futures sur l'argent pour septembre ont par ailleurs rebondi de 0,5% pour grimper à 19,63 USD de l'once.
Celles sur le cuivre à échéance identique ont par contre sauvé les meubles pour finir sans changements notables après s'être extraites de leur ornière la plus profonde depuis juillet 2010.
Elles s'étaient effondrées à l'aube jusqu'à 2,986 USD la livre avant de redresser la barre jusqu'à 3,031 USD, en raison de l'angoisse d'un manque d'argent frais dans le marché financier de la Chine.
Le pays garde sa première part mondiale des besoins de la planète en métal rouge, avec près de 40% l'année dernière.
Les évolutions constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de fin prématurée de l'utilisation de sa planche à billets pour remplumer le système financier national.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour août se sont échangés à 1.280,45 USD de l'once en début de séance européenne, gagnant 0,25%.
Ils avaient auparavant culminé à 1.287,75 USD, leur meilleur cours du jour, avec une poussée de 0,8%.
Le journée du 21 juin les avait vus plonger jusqu'à 1.268,75 USD, leur cours le plus bas depuis le 16 septembre 2010.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1.246,20 USD, leur plancher du 14 septembre 2010, et rencontrer de la résistance à court terme à 1.310,10 USD, leur plafond du 28.
Narayana Kocherlakota, président de la réserve fédérale de Minneapolis, a en effet confirmé que l'autorité monétaire des Etats-Unis demeurait engagée dans son programme de rachats d'actifs jusqu'à ce que le chômage américain soit ramené à un niveau bien plus bas que l'actuel.
Son homologue pour Dallas Richard Fisher a confirmé que l'agitation à ce sujet était infondée.
Les cours avaient subi la semainee dernière avec 6,8% leur pire débandade hebdomadaire depuis septembre 2011, après que Ben Bernanke, président de la Fed, ait savamment attisé les rumeurs en affirmant mercredi que cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses injections de liquidités avant que l'année soit achevée, au cas où l'économie continuerait à retrouver de la vigueur.
Une telle éventualité nuirait fortement au métal précieux, sa valeur ayant profité de la demande provenant des investisseurs désireux de se prémunir des risques d'inflation découlant de politiques monétaires assouplies.
Les futures sur l'argent pour septembre ont par ailleurs rebondi de 0,5% pour grimper à 19,63 USD de l'once.
Celles sur le cuivre à échéance identique ont par contre sauvé les meubles pour finir sans changements notables après s'être extraites de leur ornière la plus profonde depuis juillet 2010.
Elles s'étaient effondrées à l'aube jusqu'à 2,986 USD la livre avant de redresser la barre jusqu'à 3,031 USD, en raison de l'angoisse d'un manque d'argent frais dans le marché financier de la Chine.
Le pays garde sa première part mondiale des besoins de la planète en métal rouge, avec près de 40% l'année dernière.