Investing.com - Les options sur le brut étaient en difficulté ce mardi, les yeux braqués sur l'état des stocks des Etats-Unis afin d'évaluer l'importance du premier appétit de la planète.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juillet se sont échangés à 95,34 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0,45%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 95,27 USD, leur cours le plus bas du jour, et 95,90 USD, leur meilleur.
Les observateurs attendaient en effet de nouvelles informations hebdomadaires concernant les réserves de pétrole brut et raffiné afin de juger de la force de la demande du premier consommateur mondial.
L'institut du pétrole américain dévoilera son rapport hebdomadaire dans la journée, et celui du gouvernement pourrait montrer demain une addition de 1,3 millions de barils des stocks d'or noir pour la semaine passée.
Le pays garde sa première part dans la demande globale, avec près de 22%.
L'Agence Internationale de l'Energie rendra aussi en fin de journée son rapport sur les besoins mondiaux.
Les rumeurs selon lesquelles la Réserve Fédérale réduirait bientôt le volume de ses injections de liquidités allaient quand à elles bon train dans le sillage des résultats modérément positifs du marché de l'emploi des Etats-Unis, ces derniers ayant aussi vu l'agence Standard & Poor's en revoir hier vers le haut les perspectives de notation à long terme, depuis la négativité vers la stabilité, invoquant l'amélioration de leur situation économique.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour août ont reculé de 0,5% pour glisser à 103,42 USD du baril dans le même temps, soit 8,08 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Les cours ont subi du retour hier du puits Buzzard de la Mer du Nord à sa pleine capacité de production à 200.000 barils quotidiens.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juillet se sont échangés à 95,34 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0,45%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 95,27 USD, leur cours le plus bas du jour, et 95,90 USD, leur meilleur.
Les observateurs attendaient en effet de nouvelles informations hebdomadaires concernant les réserves de pétrole brut et raffiné afin de juger de la force de la demande du premier consommateur mondial.
L'institut du pétrole américain dévoilera son rapport hebdomadaire dans la journée, et celui du gouvernement pourrait montrer demain une addition de 1,3 millions de barils des stocks d'or noir pour la semaine passée.
Le pays garde sa première part dans la demande globale, avec près de 22%.
L'Agence Internationale de l'Energie rendra aussi en fin de journée son rapport sur les besoins mondiaux.
Les rumeurs selon lesquelles la Réserve Fédérale réduirait bientôt le volume de ses injections de liquidités allaient quand à elles bon train dans le sillage des résultats modérément positifs du marché de l'emploi des Etats-Unis, ces derniers ayant aussi vu l'agence Standard & Poor's en revoir hier vers le haut les perspectives de notation à long terme, depuis la négativité vers la stabilité, invoquant l'amélioration de leur situation économique.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour août ont reculé de 0,5% pour glisser à 103,42 USD du baril dans le même temps, soit 8,08 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Les cours ont subi du retour hier du puits Buzzard de la Mer du Nord à sa pleine capacité de production à 200.000 barils quotidiens.