L'activité économique de la zone euro enregistre sa plus forte croissance depuis cinq mois en janvier, d'après l'estimation flash de l'indice composite Markit de l'activité globale qui se redresse de 51,4 en décembre 2014 à 52,2.
La croissance de l'activité s'accélère ainsi pour le deuxième mois consécutif. Toutefois, ayant chuté à un niveau proche de la stagnation en fin d'année, le taux d'expansion reste modeste et inférieur à la moyenne enregistrée en 2014 (52,7).
Les performances de l'économie française restent particulièrement décevantes, l'activité reculant pour le neuvième mois consécutif, alors que la croissance allemande s'accélère pour le deuxième mois de suite.
Ce sont toutefois les économies de la périphérie qui affichent la plus forte croissance en janvier, ces pays enregistrant collectivement la plus forte expansion depuis juillet 2014.
'La fragilité de l'économie et la vulnérabilité de celle-ci aux différents évènements pouvant affecter la croissance de la région demeurent préoccupantes', souligne Chris Williamson, chief economist à Markit.
'Il existe cependant de bonnes raisons d'espérer une nouvelle amélioration du taux d'expansion au cours des prochains mois', estime-t-il, pointant notamment les nouvelles mesures de relance adoptées par la BCE dans le cadre d'un programme d'assouplissement quantitatif de grande ampleur.
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La croissance de l'activité s'accélère ainsi pour le deuxième mois consécutif. Toutefois, ayant chuté à un niveau proche de la stagnation en fin d'année, le taux d'expansion reste modeste et inférieur à la moyenne enregistrée en 2014 (52,7).
Les performances de l'économie française restent particulièrement décevantes, l'activité reculant pour le neuvième mois consécutif, alors que la croissance allemande s'accélère pour le deuxième mois de suite.
Ce sont toutefois les économies de la périphérie qui affichent la plus forte croissance en janvier, ces pays enregistrant collectivement la plus forte expansion depuis juillet 2014.
'La fragilité de l'économie et la vulnérabilité de celle-ci aux différents évènements pouvant affecter la croissance de la région demeurent préoccupantes', souligne Chris Williamson, chief economist à Markit.
'Il existe cependant de bonnes raisons d'espérer une nouvelle amélioration du taux d'expansion au cours des prochains mois', estime-t-il, pointant notamment les nouvelles mesures de relance adoptées par la BCE dans le cadre d'un programme d'assouplissement quantitatif de grande ampleur.
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