Les marchés européens se montrent partagés cet après-midi, certains hésitants à poursuivre sur la lancée de la matinée, en dépit d'une enquête ADP de bon augure avant le rapport sur l'emploi de jeudi.
Milan prend 0,5%, Bruxelles et Londres 0,3%, Francfort et Amsterdam 0,1%, mais Zurich stagne, Madrid cède 0,1%, Paris 0,4%, et Lisbonne dévisse de 0,6%. A New York, le Dow Jones et le Nasdaq gravitent à leurs équilibres.
'Cela fait maintenant 521 séances que les marchés américains n'ont plus connu de correction de l'ordre de 10%', faisait remarquer Chris Weston, stratège chez IG pour qui très clairement, les postures des grandes banques centrales sont à l'origine de ce phénomène.
Le secteur privé américain a créé 281.000 postes en juin selon le cabinet de services aux entreprises ADP, soit bien plus que prévu puisque les économistes n'anticipaient que 205.000 créations d'emplois.
Sur la base de cette publication, Natixis rehausse légèrement sa prévision pour le rapport mensuel du Département du Travail : il attend désormais 225.000 créations d'emplois non agricoles contre 220.000 en estimation précédente.
En revanche, les commandes à l'industrie américaine ont diminué de 0,5% au mois de mai, selon le Département du Commerce, alors que les économistes tablaient en général sur une baisse un peu plus modeste.
De ce côté de l'Atlantique, on notera que les prix à la production industrielle ont reculé de 0,1% tant dans la zone euro que dans l'UE, en mai par rapport à avril. A l'exclusion du secteur de l'énergie, ces prix sont restés stables d'un mois sur l'autre.
Sur le plan des valeurs, BMW prend 0,4% à 93,7 euros à Francfort, alors que le constructeur automobile haut de gamme préparerait un investissement d'un milliard de dollars pour la construction d'une usine au Mexique, d'après des rumeurs de presse.
A Paris, Orange lâche 3,7% à moins de 11,4 euros et entraîne l'ensemble des valeurs télécoms après avoir écarté la perspective d'une consolidation du secteur en France, un scénario souvent évoqué dans la presse au cours des derniers mois.
Roche cède 0,3% à 263 francs suisses à Zurich, alors que la filiale américaine du groupe de santé helvétique, Genentech, va faire l'acquisition de Seragon Pharmaceuticals, une société biotechnologique basée à San Diego.
Telefonica perd 1,2% à 12,5 euros à Madrid, alors que Bruxelles a autorisé le projet de rachat d'E-Plus, la filiale allemande de KPN (-1,7% à 2,6 euros à Amsterdam), une autorisation subordonnée à la mise en oeuvre intégrale d'engagements de l'Espagnol.
Copyright (c) 2014 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Milan prend 0,5%, Bruxelles et Londres 0,3%, Francfort et Amsterdam 0,1%, mais Zurich stagne, Madrid cède 0,1%, Paris 0,4%, et Lisbonne dévisse de 0,6%. A New York, le Dow Jones et le Nasdaq gravitent à leurs équilibres.
'Cela fait maintenant 521 séances que les marchés américains n'ont plus connu de correction de l'ordre de 10%', faisait remarquer Chris Weston, stratège chez IG pour qui très clairement, les postures des grandes banques centrales sont à l'origine de ce phénomène.
Le secteur privé américain a créé 281.000 postes en juin selon le cabinet de services aux entreprises ADP, soit bien plus que prévu puisque les économistes n'anticipaient que 205.000 créations d'emplois.
Sur la base de cette publication, Natixis rehausse légèrement sa prévision pour le rapport mensuel du Département du Travail : il attend désormais 225.000 créations d'emplois non agricoles contre 220.000 en estimation précédente.
En revanche, les commandes à l'industrie américaine ont diminué de 0,5% au mois de mai, selon le Département du Commerce, alors que les économistes tablaient en général sur une baisse un peu plus modeste.
De ce côté de l'Atlantique, on notera que les prix à la production industrielle ont reculé de 0,1% tant dans la zone euro que dans l'UE, en mai par rapport à avril. A l'exclusion du secteur de l'énergie, ces prix sont restés stables d'un mois sur l'autre.
Sur le plan des valeurs, BMW prend 0,4% à 93,7 euros à Francfort, alors que le constructeur automobile haut de gamme préparerait un investissement d'un milliard de dollars pour la construction d'une usine au Mexique, d'après des rumeurs de presse.
A Paris, Orange lâche 3,7% à moins de 11,4 euros et entraîne l'ensemble des valeurs télécoms après avoir écarté la perspective d'une consolidation du secteur en France, un scénario souvent évoqué dans la presse au cours des derniers mois.
Roche cède 0,3% à 263 francs suisses à Zurich, alors que la filiale américaine du groupe de santé helvétique, Genentech, va faire l'acquisition de Seragon Pharmaceuticals, une société biotechnologique basée à San Diego.
Telefonica perd 1,2% à 12,5 euros à Madrid, alors que Bruxelles a autorisé le projet de rachat d'E-Plus, la filiale allemande de KPN (-1,7% à 2,6 euros à Amsterdam), une autorisation subordonnée à la mise en oeuvre intégrale d'engagements de l'Espagnol.
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