Investing.com - Les places d'Asie concluaient sur une largement positive ce lundi matin, le goût pour les investissements risqués étant revenu au premier plan suite à la bonne surprise créée par le marché du travail américain.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0,5%, le Hang Seng de Hong Kong 1% et le Nikkei 225 japonais demeurait inactif jusqu'à demain en raison d'un jour férié.
L'amour du risque est en effet revenu à la mode après qu'il ait été officiellement montré vendredi que l'économie des Etats-Unis avait créé 165.000 postes au cours du mois dernier, alors qu'une addition de 145.000 était envisagée, tandis que le total de mars était revu vers le haut jusqu'à 138.000.
Le taux de chômage a du coup fondu sans crier gare depuis 7,6 vers 7,5% dans le même temps.
La nouvelle a poussé les investisseurs à se recentrer sur les valeurs audacieuses comme les actions et les matières premières, au détriment des refuges traditionnels.
Sydney a commencé par se hisser à son plus haut niveau depuis juin 2008 en début de session, avant de subir un coup de barre dû aux prises de bénéfices.
Les mastodontes miniers étaient en tête, BHP Billiton et Rio Tinto bondissant respectivement de 2,9 et 3,3%, leurs rivaux Fortescue Metals Group, centré sur le minerai de fer, et Oz Minerals faisant encore mieux avec 5,9 et 9,5%.
La décision portant sur les taux d'intérêt de la Réserve Bancaire d'Australie était désormais dans le collimateur, en quête de signes préfigurant ses orientations futures.
Hong Kong s'est quand à elle hissée à sa plus haute valeur en huit semaines, profitant elle aussi de la forme de ses exploitants et de ses extracteurs.
Le cuivrier Jiangxi Copper Company engrangeait ainsi 5% après que le métal rouge ait vu ses cours connaître une poussée de fièvre de 7% lors de la journée de cotation précédente, alors que CNOOC et PetroChina, poids lourd des hydrocarbures, apportaient leur pierre à l'édifice avec 1,4 et 3%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui sans éclat, les craintes au sujet des perspectives économiques régionales ayant atténué l'enthousiasme dû à l'emploi américain.
Les options sur l'EURO STOXX 50 présentaient une stagnation, celles sur le CAC 40 français ne semblant guère évoluer, celles sur le DAX 30 allemand pointant vers un faux pas de 0,1% tandis que celles sur le FTSE 100 britannique laissaient espérer un frémissement de 0,1%.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0,5%, le Hang Seng de Hong Kong 1% et le Nikkei 225 japonais demeurait inactif jusqu'à demain en raison d'un jour férié.
L'amour du risque est en effet revenu à la mode après qu'il ait été officiellement montré vendredi que l'économie des Etats-Unis avait créé 165.000 postes au cours du mois dernier, alors qu'une addition de 145.000 était envisagée, tandis que le total de mars était revu vers le haut jusqu'à 138.000.
Le taux de chômage a du coup fondu sans crier gare depuis 7,6 vers 7,5% dans le même temps.
La nouvelle a poussé les investisseurs à se recentrer sur les valeurs audacieuses comme les actions et les matières premières, au détriment des refuges traditionnels.
Sydney a commencé par se hisser à son plus haut niveau depuis juin 2008 en début de session, avant de subir un coup de barre dû aux prises de bénéfices.
Les mastodontes miniers étaient en tête, BHP Billiton et Rio Tinto bondissant respectivement de 2,9 et 3,3%, leurs rivaux Fortescue Metals Group, centré sur le minerai de fer, et Oz Minerals faisant encore mieux avec 5,9 et 9,5%.
La décision portant sur les taux d'intérêt de la Réserve Bancaire d'Australie était désormais dans le collimateur, en quête de signes préfigurant ses orientations futures.
Hong Kong s'est quand à elle hissée à sa plus haute valeur en huit semaines, profitant elle aussi de la forme de ses exploitants et de ses extracteurs.
Le cuivrier Jiangxi Copper Company engrangeait ainsi 5% après que le métal rouge ait vu ses cours connaître une poussée de fièvre de 7% lors de la journée de cotation précédente, alors que CNOOC et PetroChina, poids lourd des hydrocarbures, apportaient leur pierre à l'édifice avec 1,4 et 3%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui sans éclat, les craintes au sujet des perspectives économiques régionales ayant atténué l'enthousiasme dû à l'emploi américain.
Les options sur l'EURO STOXX 50 présentaient une stagnation, celles sur le CAC 40 français ne semblant guère évoluer, celles sur le DAX 30 allemand pointant vers un faux pas de 0,1% tandis que celles sur le FTSE 100 britannique laissaient espérer un frémissement de 0,1%.