Investing.com - Les places d'Asie étaient plutôt partagées ce mardi matin, les bourses nippones se retrouvant sous pression en raison du renforcement du yen par rapport à ses principaux concurrents, à l'approche cette semaine de la réunion d'orientation très attendue de la Banque du Japon.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0.4%, le Hang Seng de Hong Kong laissait échaper 0.1% et le Nikkei 225 japonais 1%.
La premier a pris le dessus après que la Réserve Bancaire d'Australie ait maintenu pour ce mois-ci son taux directeur à son plus bas niveau historique.
La banque centrale nationale n'a en effet pas créé la surprise en déclarant son maintien à 3%.
Glenn Stevens, son gouverneur, a précisé dans le communiqué sur le sujet: "Les salaires demeurent modérés, et les entreprises s'attachent à améliorer leur efficacité, ce qui devrait aider à maintenir une inflation basse, alors que les effets du reflux des taux de change se font sentir sur les prix."
La bande des quatre plus grosses banques nationales a , la Commonwealth Bank of Australia, première d'entre elles, empochant 0.7%, le Westpac Banking Group et l'ANZ Banking Group la suivant avec 0.6% tous les deux.
Hong Kong alternait pour sa part entre légers gains et pertes limitées lors déchanges sans direction claire, les opérateurs reprenant du service après deux jours de congés dûs aux fêtes de pâques.
La finance s'en ressentait, surtout après qu'il ait été révélé la semaine passée que les autorités du continent serreraient davantage la vis concernant les attributions de prêts.
L'Industrial and Commercial Bank of China, premier prêteur chinois, dérapait ainsi de 2.2%, et la Bank of China de 1.7%.
Tokyo avait pour sa part connu un passage à vide de 2.7% suite à l'avancée du yen contre le billet vert, nuisant aux grands noms de l'exportation avant de se reprendre.
Les entreprises tournées vers l'extérieur se trouvent mécaniquement entravées par la perte de vitesse de la monnaie nationale, diminuant la valeur des devises obtenues à l'étranger, et donc les revenus à l'exportation.
Canon et Nikon glissaient ainsi respectivement de 3.4 et 3.2%, les constructeurs automobiles Honda et Toyota limitant leurs dérapages à 2.6 et 3%.
Les mégabanques nippones tiraient par contre leur épingle d jeu, le Mitsubishi UFJ Financial Group, en tête dans le pays, empochant 2.3%, tandis que le Mizuho Financial Group et le Sumitomo Mitsui Financial Group faisaient de même avec 1.6 et 1.7%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait lui aussi hésitant, après que les résultats inférieurs aux espérances de la part des usines des Etats-Unis aient ranimé les inquiétudes au sujet de la solidité de leur relance économique.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une baisse de 0.4%, celles sur le CAC 40 français tablant sur un frémissement de 0.1%, celles sur le DAX 30 allemand restant neutres% et celles sur le FTSE 100 britannique redoutant un faux pas de 0.1%.
L'Espagne et l'Italie dévoileront aujourd'hui l'évolution de l'activité de leur secteur secondaire, tandis que le bloc euro devrait faire connaître son taux de chômage.
Les Etats-Unis comptent pour leur part conclure la journée avec leur rapport sur les commandes passées auprès des usines.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0.4%, le Hang Seng de Hong Kong laissait échaper 0.1% et le Nikkei 225 japonais 1%.
La premier a pris le dessus après que la Réserve Bancaire d'Australie ait maintenu pour ce mois-ci son taux directeur à son plus bas niveau historique.
La banque centrale nationale n'a en effet pas créé la surprise en déclarant son maintien à 3%.
Glenn Stevens, son gouverneur, a précisé dans le communiqué sur le sujet: "Les salaires demeurent modérés, et les entreprises s'attachent à améliorer leur efficacité, ce qui devrait aider à maintenir une inflation basse, alors que les effets du reflux des taux de change se font sentir sur les prix."
La bande des quatre plus grosses banques nationales a , la Commonwealth Bank of Australia, première d'entre elles, empochant 0.7%, le Westpac Banking Group et l'ANZ Banking Group la suivant avec 0.6% tous les deux.
Hong Kong alternait pour sa part entre légers gains et pertes limitées lors déchanges sans direction claire, les opérateurs reprenant du service après deux jours de congés dûs aux fêtes de pâques.
La finance s'en ressentait, surtout après qu'il ait été révélé la semaine passée que les autorités du continent serreraient davantage la vis concernant les attributions de prêts.
L'Industrial and Commercial Bank of China, premier prêteur chinois, dérapait ainsi de 2.2%, et la Bank of China de 1.7%.
Tokyo avait pour sa part connu un passage à vide de 2.7% suite à l'avancée du yen contre le billet vert, nuisant aux grands noms de l'exportation avant de se reprendre.
Les entreprises tournées vers l'extérieur se trouvent mécaniquement entravées par la perte de vitesse de la monnaie nationale, diminuant la valeur des devises obtenues à l'étranger, et donc les revenus à l'exportation.
Canon et Nikon glissaient ainsi respectivement de 3.4 et 3.2%, les constructeurs automobiles Honda et Toyota limitant leurs dérapages à 2.6 et 3%.
Les mégabanques nippones tiraient par contre leur épingle d jeu, le Mitsubishi UFJ Financial Group, en tête dans le pays, empochant 2.3%, tandis que le Mizuho Financial Group et le Sumitomo Mitsui Financial Group faisaient de même avec 1.6 et 1.7%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait lui aussi hésitant, après que les résultats inférieurs aux espérances de la part des usines des Etats-Unis aient ranimé les inquiétudes au sujet de la solidité de leur relance économique.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une baisse de 0.4%, celles sur le CAC 40 français tablant sur un frémissement de 0.1%, celles sur le DAX 30 allemand restant neutres% et celles sur le FTSE 100 britannique redoutant un faux pas de 0.1%.
L'Espagne et l'Italie dévoileront aujourd'hui l'évolution de l'activité de leur secteur secondaire, tandis que le bloc euro devrait faire connaître son taux de chômage.
Les Etats-Unis comptent pour leur part conclure la journée avec leur rapport sur les commandes passées auprès des usines.