Investing.com - Les places d'Asie évoluaient entre légers gains et pertes minimes ce jeudi matin, les opérateurs étant peu enclins à prolonger une poussée ayant amené les valeurs régionales à des sommets de plusieurs années en raison des inquiétudes concernant l'économie américaine.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien perdait 0.4%, et le Hang Seng de Hong Kong 0.4% aussi, mais le Nikkei 225 japonais grignotait 0.2%.
Wall Street est en effet retombée hier d'un piédestal de cinq ans après qu'il ait été souligné que l'économie des Etats-Unis avait subi un revers inattendu entre début octobre et fin décembre.
La Réserve Fédérale a d'autre part confirmé après deux jours de conseil de direction que l'économie nationale avait "stagné ces derniers mois", ne dévoilant pas de nouvelles initiatives, mais rappelant qu'elle continuerait à procéder 85 milliards d'USD mensuels d'acquisitions d'actifs.
Sydney se retrouvait pour sa part sur la sellette en raison d'encaissements de plus-values modérés au lendemain d'un pic de 21 mois.
Ce repli demeurait limité, dans l'expectative enthousiaste d'une baisse des taux imminente de la part de la Réserve Bancaire d'Australie.
Whitehaven Coal dégringolait malgré tout de 5.5% après avoir averti s'attendre à ce que ses bénéfices pour le premier semestre fiscal se trouvent affactés par l'affaiblissement du marché du charbon, et le renforcement de la monnaie locale.
Hong Kong glissait pour sa part de son plus haut niveau depuis mai 2011, nombre des compagnies cotées annonçant des profits en diminution.
Le sidérurgiste Angang Steel a ainsi fondu de 2.5% en raison de pertes pour 2012 envisagées comme supérieures à celles de l'année précédente, poussant JP Morgan à en rabaisser l'appréciation vers la neutralité.
CNOOC, poids lourd des hydrocarbures, le suivait de 2.75% suite à des estimations de production inférieures aux projections pour 2013.
Les piliers de l'exportation nationale n'étaient pas en reste, Esprit Holdings, vendeur de vêtements au détail chutant de 1.3%, Li & Fung de 3.5% et Belle International Holdings de 2.6%.
Tokyo établissait par contre un nouveau plafond des 33 mois écoulés, grâce à la forme de ses établissements financiers.
La mégabanque Sumitomo Mitsui Financial Group a ainsi engrangé 5.1% en revendiquant 34% de bénéfices supplémentaires sur la période d'avril à décembre.
Cette belle performance a aussi profité à ses collègues, les Mitsubishi UFJ Financial Group et Mizuho Financial Group empochant respectivement 3.6 et 2.8%, tandis que le gestionnaires de fonds Nomura Holdings se contentait de 2.1% à l'approche de la publication du bilan de ses rentrées.
L'indice vedette nippon aura conclu le mois avec une envolée de 7.2%, la plus importante pour cette période depuis 15 ans.
Il a d'ailleurs grimpé de près de 26% depuis la mi-novembre, dans l'expectative enthousiaste de mesures monétaires agressives de la part de la Banque du Japon, sous la pression de Shinzo Abe, premier ministre sur le retour.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui sans éclat, après que la Réserve Fédérale ait confirmé son engagement de maintien de son programme d'assouplissements en conclusion de son dernier conseil de direction.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une baisse de 0.1%, celles sur le CAC 40 français étant stables, celles sur le DAX 30 allemand également, et celles sur le FTSE 100 britannique tablant sur un faux pas de 0.1%.
L'Allemagne comptait fournir aujourd'hui sa première évaluation de l'inflation à la consommation, ainsi que l'évolution du nombre de ses demandeurs d'emploi, après quoi les Etats-Unis rendront leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien perdait 0.4%, et le Hang Seng de Hong Kong 0.4% aussi, mais le Nikkei 225 japonais grignotait 0.2%.
Wall Street est en effet retombée hier d'un piédestal de cinq ans après qu'il ait été souligné que l'économie des Etats-Unis avait subi un revers inattendu entre début octobre et fin décembre.
La Réserve Fédérale a d'autre part confirmé après deux jours de conseil de direction que l'économie nationale avait "stagné ces derniers mois", ne dévoilant pas de nouvelles initiatives, mais rappelant qu'elle continuerait à procéder 85 milliards d'USD mensuels d'acquisitions d'actifs.
Sydney se retrouvait pour sa part sur la sellette en raison d'encaissements de plus-values modérés au lendemain d'un pic de 21 mois.
Ce repli demeurait limité, dans l'expectative enthousiaste d'une baisse des taux imminente de la part de la Réserve Bancaire d'Australie.
Whitehaven Coal dégringolait malgré tout de 5.5% après avoir averti s'attendre à ce que ses bénéfices pour le premier semestre fiscal se trouvent affactés par l'affaiblissement du marché du charbon, et le renforcement de la monnaie locale.
Hong Kong glissait pour sa part de son plus haut niveau depuis mai 2011, nombre des compagnies cotées annonçant des profits en diminution.
Le sidérurgiste Angang Steel a ainsi fondu de 2.5% en raison de pertes pour 2012 envisagées comme supérieures à celles de l'année précédente, poussant JP Morgan à en rabaisser l'appréciation vers la neutralité.
CNOOC, poids lourd des hydrocarbures, le suivait de 2.75% suite à des estimations de production inférieures aux projections pour 2013.
Les piliers de l'exportation nationale n'étaient pas en reste, Esprit Holdings, vendeur de vêtements au détail chutant de 1.3%, Li & Fung de 3.5% et Belle International Holdings de 2.6%.
Tokyo établissait par contre un nouveau plafond des 33 mois écoulés, grâce à la forme de ses établissements financiers.
La mégabanque Sumitomo Mitsui Financial Group a ainsi engrangé 5.1% en revendiquant 34% de bénéfices supplémentaires sur la période d'avril à décembre.
Cette belle performance a aussi profité à ses collègues, les Mitsubishi UFJ Financial Group et Mizuho Financial Group empochant respectivement 3.6 et 2.8%, tandis que le gestionnaires de fonds Nomura Holdings se contentait de 2.1% à l'approche de la publication du bilan de ses rentrées.
L'indice vedette nippon aura conclu le mois avec une envolée de 7.2%, la plus importante pour cette période depuis 15 ans.
Il a d'ailleurs grimpé de près de 26% depuis la mi-novembre, dans l'expectative enthousiaste de mesures monétaires agressives de la part de la Banque du Japon, sous la pression de Shinzo Abe, premier ministre sur le retour.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui sans éclat, après que la Réserve Fédérale ait confirmé son engagement de maintien de son programme d'assouplissements en conclusion de son dernier conseil de direction.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une baisse de 0.1%, celles sur le CAC 40 français étant stables, celles sur le DAX 30 allemand également, et celles sur le FTSE 100 britannique tablant sur un faux pas de 0.1%.
L'Allemagne comptait fournir aujourd'hui sa première évaluation de l'inflation à la consommation, ainsi que l'évolution du nombre de ses demandeurs d'emploi, après quoi les Etats-Unis rendront leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.