Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris cédait 0,23% à mi-séance mercredi, alors que les investisseurs attendaient un vote sur le plafond de la dette américaine plus tard dans la journée.
Sur le front des statistiques, le climat général des affaires en France est resté stable à 87 points en janvier, tandis que l’indicateur pour l’industrie a reculé de 3 points à 86, selon l’Insee.
En Grande-Bretagne, le nombre de demandeurs d’emplois a diminué de 12.100 à 1,55 million en décembre, son plus bas niveau depuis juin 2011. Sur les trois mois à fin novembre, le taux de chômage a diminué de 0,2 point à 7,7% de la population active, du jamais vu depuis la période février-avril 2011.
Du côté des valeurs, France Télécom signait la plus forte baisse de l'indice parisien. Le titre plait de 2,99% à mi-séance, alors que Bernstein a dégradé le titre de "performance en ligne" à "sous-performance" et abaissé son objectif de cours de 8,40 à 7,25 euros.
Les banques évoluaient elles aussi dans le rouge, mercredi. BNP Paribas reculait de 1,38% en milieu de séance, tandis que Société Générale et Crédit Agricole abandonnaient 1,28% et 1,56% respectivement.
Egalement dans le rouge, Renault perdait 1,08% à la mi-journée, après avoir indiqué qu’il sera forcé de réagir en cas de rejet par les syndicats de l’accord de compétitivité présenté mardi.
Le groupe propose un gel des salaires en échange de la production dans ses usines françaises de véhicules de ses partenaires Nissan ou Daimler.
A l'inverse, Sanofi progressait de 0,85% en milieu de séance, soutenu par les prévisions de son concurrent suisse Novartis, qui compte renouer avec la croissance de ses ventes à partir de 2014.
Danone gagnait aussi du terrain et s'octroyait 0,97% à mi-séance, boosté par la croissance supérieure aux attentes des ventes d’Unilever au quatrième trimestre.
Enfin, les valeurs technologiques ont bénéficié des bons résultats trimestriels des géants américains Google et IBM, ainsi que de l’allemand SAP. A mi-séance, STMicroelectronics gagnait 0,21% tandis que Capgemini s'adjugeait 0,63%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 cédait 0,12%, le DAX avançait de 0,16% et le Footsie 100 s'appréciait de 0,13%.
Aucun indicateur majeur n'était attendu en provenance des Etats-Unis.
Sur le front des statistiques, le climat général des affaires en France est resté stable à 87 points en janvier, tandis que l’indicateur pour l’industrie a reculé de 3 points à 86, selon l’Insee.
En Grande-Bretagne, le nombre de demandeurs d’emplois a diminué de 12.100 à 1,55 million en décembre, son plus bas niveau depuis juin 2011. Sur les trois mois à fin novembre, le taux de chômage a diminué de 0,2 point à 7,7% de la population active, du jamais vu depuis la période février-avril 2011.
Du côté des valeurs, France Télécom signait la plus forte baisse de l'indice parisien. Le titre plait de 2,99% à mi-séance, alors que Bernstein a dégradé le titre de "performance en ligne" à "sous-performance" et abaissé son objectif de cours de 8,40 à 7,25 euros.
Les banques évoluaient elles aussi dans le rouge, mercredi. BNP Paribas reculait de 1,38% en milieu de séance, tandis que Société Générale et Crédit Agricole abandonnaient 1,28% et 1,56% respectivement.
Egalement dans le rouge, Renault perdait 1,08% à la mi-journée, après avoir indiqué qu’il sera forcé de réagir en cas de rejet par les syndicats de l’accord de compétitivité présenté mardi.
Le groupe propose un gel des salaires en échange de la production dans ses usines françaises de véhicules de ses partenaires Nissan ou Daimler.
A l'inverse, Sanofi progressait de 0,85% en milieu de séance, soutenu par les prévisions de son concurrent suisse Novartis, qui compte renouer avec la croissance de ses ventes à partir de 2014.
Danone gagnait aussi du terrain et s'octroyait 0,97% à mi-séance, boosté par la croissance supérieure aux attentes des ventes d’Unilever au quatrième trimestre.
Enfin, les valeurs technologiques ont bénéficié des bons résultats trimestriels des géants américains Google et IBM, ainsi que de l’allemand SAP. A mi-séance, STMicroelectronics gagnait 0,21% tandis que Capgemini s'adjugeait 0,63%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 cédait 0,12%, le DAX avançait de 0,16% et le Footsie 100 s'appréciait de 0,13%.
Aucun indicateur majeur n'était attendu en provenance des Etats-Unis.