Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris a clôturé sur une baisse de 2,67% mardi, plombé par l'issue des élections parlementaires italiennes qui font à nouveau planer des doutes quant aux possibilités pour le pays de redresser son économie.
D'un côté, le Parti Démocrate de Pier Luigi Bersani a remporté la majorité à l’Assemblée nationale, mais, de l'autre, aucune coalition ne semble en mesure de se détacher au Sénat. Ainsi, aucune alliance n’apparaît assez forte pour former un nouveau gouvernement stable et poursuivre les réformes engagées par le gouvernement de Mario Monti.
De son côté, Silvio Berlusconi a déjà fait savoir qu’il était ouvert à une alliance avec le centre gauche.
Aux Etats-Unis, le président de la Réserve fédérale a fermement défendu la politique de soutien à l’économie de la Banque centrale. Dans le cadre de son audition semestrielle devant la Commission bancaire du Sénat, Bernanke a déclaré que les avantages de ce programme restent supérieurs à ses coûts.
Sur le front macroéconomique, les prix de l’immobilier dans 20 métropoles américaines ont augmenté de 6,8% sur un an en décembre, marquant leur plus forte hausse annuelle depuis juillet 2006. Les ventes de logements neufs ont bondi de 15,6% en janvier, au rythme annualisé de 437.000 unités, le plus élevé depuis juillet 2008.
Quant à l’indice de confiance du consommateur tel qu’établi par le Conference Board, il a progressé de 11,2 points à 69,6 en février, son meilleur niveau depuis novembre.
En France, les mises en chantier de logements en France ont chuté de plus de 20% à 339.286 unités en glissement annuel en janvier. Par ailleurs, le nombre de permis de construire français délivrés a reculé de 7,5% à 495.573 unités sur la même période.
Du côté des valeurs, les banques restaient en forte baisse, en fin de séance. BNP Paribas pliait de 3,52% à la clôture, tandis que Société Générale et Crédit Agricole lâchaient 3,89% et 5,82% respectivement.
Egalement dans le rouge, EADS abandonnait 2,50% à la fermeture du marché, après avoir annoncé que sa coentreprise avec le groupe brésilien de construction Odebrecht sera dissoute, puisque les deux ont échoué à remporter une commande d’environ 6 milliards de dollars pour la fourniture des systèmes de surveillance pour la coupe du monde de football 2014 et les Jeux Olympiques de Rio en 2016.
Vivendi cédait aussi du terrain et perdait 0,19% en fin de journée. Le groupe annonçait, plus tôt, que son résultat net ajusté a diminué de 13,6% à 2,55 milliards d’euros l’an dernier. Le chiffre d’affaires du groupe s’est apprécié de 0,6% à 28,9 milliards.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 abandonnait 3,07%, le DAX reculait de 2,27% et le Footsie 100 lâchait 1,34%.
Autre information de la journée, l'Italie a émis pour 8,75 milliards d’euros de bons du Trésor à six mois au rendement brut de 1,237%, le plus élevé depuis octobre dernier, contre 0,731% le 29 janvier.
A 18 heures, Pôle emploi devait présenter les chiffres du chômage de janvier.
D'un côté, le Parti Démocrate de Pier Luigi Bersani a remporté la majorité à l’Assemblée nationale, mais, de l'autre, aucune coalition ne semble en mesure de se détacher au Sénat. Ainsi, aucune alliance n’apparaît assez forte pour former un nouveau gouvernement stable et poursuivre les réformes engagées par le gouvernement de Mario Monti.
De son côté, Silvio Berlusconi a déjà fait savoir qu’il était ouvert à une alliance avec le centre gauche.
Aux Etats-Unis, le président de la Réserve fédérale a fermement défendu la politique de soutien à l’économie de la Banque centrale. Dans le cadre de son audition semestrielle devant la Commission bancaire du Sénat, Bernanke a déclaré que les avantages de ce programme restent supérieurs à ses coûts.
Sur le front macroéconomique, les prix de l’immobilier dans 20 métropoles américaines ont augmenté de 6,8% sur un an en décembre, marquant leur plus forte hausse annuelle depuis juillet 2006. Les ventes de logements neufs ont bondi de 15,6% en janvier, au rythme annualisé de 437.000 unités, le plus élevé depuis juillet 2008.
Quant à l’indice de confiance du consommateur tel qu’établi par le Conference Board, il a progressé de 11,2 points à 69,6 en février, son meilleur niveau depuis novembre.
En France, les mises en chantier de logements en France ont chuté de plus de 20% à 339.286 unités en glissement annuel en janvier. Par ailleurs, le nombre de permis de construire français délivrés a reculé de 7,5% à 495.573 unités sur la même période.
Du côté des valeurs, les banques restaient en forte baisse, en fin de séance. BNP Paribas pliait de 3,52% à la clôture, tandis que Société Générale et Crédit Agricole lâchaient 3,89% et 5,82% respectivement.
Egalement dans le rouge, EADS abandonnait 2,50% à la fermeture du marché, après avoir annoncé que sa coentreprise avec le groupe brésilien de construction Odebrecht sera dissoute, puisque les deux ont échoué à remporter une commande d’environ 6 milliards de dollars pour la fourniture des systèmes de surveillance pour la coupe du monde de football 2014 et les Jeux Olympiques de Rio en 2016.
Vivendi cédait aussi du terrain et perdait 0,19% en fin de journée. Le groupe annonçait, plus tôt, que son résultat net ajusté a diminué de 13,6% à 2,55 milliards d’euros l’an dernier. Le chiffre d’affaires du groupe s’est apprécié de 0,6% à 28,9 milliards.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 abandonnait 3,07%, le DAX reculait de 2,27% et le Footsie 100 lâchait 1,34%.
Autre information de la journée, l'Italie a émis pour 8,75 milliards d’euros de bons du Trésor à six mois au rendement brut de 1,237%, le plus élevé depuis octobre dernier, contre 0,731% le 29 janvier.
A 18 heures, Pôle emploi devait présenter les chiffres du chômage de janvier.