Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris reculait de 0,90% à mi-séance jeudi, après la publication d'indices PMI mitigés en provenance de la zone euro et des chiffres décevants en Chine, tandis que les investisseurs guettaient des indicateurs américains, attendus plus tard dans la journée.
Sur le front des statistiques, l’indice PMI d'activité manufacturière établi par Markit pour la zone euro a progressé de 1,1 point à 52,7, un plus haut de 31 mois. En Allemagne, l’indice est ressorti à 54,3 points (+1,6 sur un mois), son meilleur niveau depuis mai 2011.
En revanche, l'indice PMI de la France est tombé à 47 points (contre 48,4 en novembre), soit un plus bas de sept mois.
En Chine, l’activité manufacturière telle que calculée par HSBC, a reculé à 50,5 points en décembre, un plus bas de trois mois, contre 50,8 en novembre. L’indice officiel publié la veille par le Bureau national des statistiques est ressorti à 51 points, au plus bas depuis septembre.
Du côté des valeurs, STMicroelectronics signait la plus forte baisse de l'indice parisien, en repli de 2,21% en milieu de séance. Le titre était suivi de près par Technip et Solvay qui perdaient 2,01% et 1,91% respectivement.
Egalement dans le rouge, Vivendi lâchait 1,54% à la mi-journée, alors que le fonds BlackRock a franchi en légère hausse les seuils de 5% du capital et des droits de vote du groupe de médias.
Les banques évoluaient elles aussi en baisse, jeudi. En milieu de journée, BNP Paribas pliait de 1,37%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole abadonnaient 1,21% et 1,14%.
A l'inverse, Renault avançait de 0,21% à mi-séance, alors que les immatriculations de voitures neuves ont rebondi de 9,4% en données brutes en France le mois dernier, selon le Comité des constructeurs français d’automobiles.
Les ventes de Renault ont bondi de 37,9% en décembre et celles de PSA Peugeot Citroën de 10,6%. Le titre Peugeot bondissait de 1,08% en milieu de séance.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 reculait de 0,79% et le DAX perdait 0,48%, tandis que le Footsie 100 lâchait 0,48%.
Trois indicateurs américains étaient attendus dans la journée : les inscriptions hebdomadaires au chômage, l’indice ISM manufacturier de décembre et les dépenses de construction de novembre.
Sur le front des statistiques, l’indice PMI d'activité manufacturière établi par Markit pour la zone euro a progressé de 1,1 point à 52,7, un plus haut de 31 mois. En Allemagne, l’indice est ressorti à 54,3 points (+1,6 sur un mois), son meilleur niveau depuis mai 2011.
En revanche, l'indice PMI de la France est tombé à 47 points (contre 48,4 en novembre), soit un plus bas de sept mois.
En Chine, l’activité manufacturière telle que calculée par HSBC, a reculé à 50,5 points en décembre, un plus bas de trois mois, contre 50,8 en novembre. L’indice officiel publié la veille par le Bureau national des statistiques est ressorti à 51 points, au plus bas depuis septembre.
Du côté des valeurs, STMicroelectronics signait la plus forte baisse de l'indice parisien, en repli de 2,21% en milieu de séance. Le titre était suivi de près par Technip et Solvay qui perdaient 2,01% et 1,91% respectivement.
Egalement dans le rouge, Vivendi lâchait 1,54% à la mi-journée, alors que le fonds BlackRock a franchi en légère hausse les seuils de 5% du capital et des droits de vote du groupe de médias.
Les banques évoluaient elles aussi en baisse, jeudi. En milieu de journée, BNP Paribas pliait de 1,37%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole abadonnaient 1,21% et 1,14%.
A l'inverse, Renault avançait de 0,21% à mi-séance, alors que les immatriculations de voitures neuves ont rebondi de 9,4% en données brutes en France le mois dernier, selon le Comité des constructeurs français d’automobiles.
Les ventes de Renault ont bondi de 37,9% en décembre et celles de PSA Peugeot Citroën de 10,6%. Le titre Peugeot bondissait de 1,08% en milieu de séance.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 reculait de 0,79% et le DAX perdait 0,48%, tandis que le Footsie 100 lâchait 0,48%.
Trois indicateurs américains étaient attendus dans la journée : les inscriptions hebdomadaires au chômage, l’indice ISM manufacturier de décembre et les dépenses de construction de novembre.