Investing.com - Les bourses européennes étaient en berne ce mercredi, annulant son plus fort rebond en 16 mois sur fond de rumeurs de désaccords à propos du fonds de secours au sein de la zone euro, amenuisant l'espoir d'une action unitaire face à la crise de la dette souveraine régionale.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 1.32%, le CAC 40 français de 1.33%, et le DAX allemand de 1.43%.
Les valeurs du continent se sont trouvées malmenées par les bruits faisant état de divisions au sein du bloc euro à propos de la prochaine tranche des 109 milliards d'euros du second plan de secours à la Grèce, à l'approche d'une sécrie de votes cruciaux concernant une éventuelle extension du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen.
Celui de la Finlande doit notamment avoir lieu dans la journée.
La finance coiffait le bonnet d'âne, BNP Paribas s'effondrant de 5.08%, la Société Générale de 2.81%, et la Deutsche Bank allemande de 3.98%.
Les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit dévissant quand à eux respectivement de 1.49 et 2.42%, et l'espagnol Banco Santander de 1.72%.
Le constructeur automobile français Peugeot Citroën s'est effondré de 4.03% après que Goldman Sachs en ait revu sa recommandation à la baisse, passant du neutre à la vente, invoquant le peu de potentiel de progression pour la compagnie sur l'année prochaine, et la possibilité d'une contagion du problème du surendettement de la région comme étant un risque majeur.
A Londres, le FTSE 100 a plongé de 0.83%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Le plus atteint se trouvait être le Man Group, gestionnaire de fonds d'investissement, dégringolant de 21.08% après avoir avoué que les actifs qu'ils contrôlait avaient fondu d'environ 6 milliards d'USD au second trimestre.
Barclays a glissé de 3.35%, la Royal Bank of Scotland de 3.32% et Lloyds Banking de 3.3%.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys ont perdu respectivement 2.13 et 2.04%, et les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto 1.51 et 2.49%.
Les perspectives des marchés américains étaient également moroses: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.15%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.21% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.27%.
Les Etats-Unis divulgueront dans la journée le volume officiel des commandes de biens durables, et Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, devrait prononcer un discours dans l'après-midi.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 1.32%, le CAC 40 français de 1.33%, et le DAX allemand de 1.43%.
Les valeurs du continent se sont trouvées malmenées par les bruits faisant état de divisions au sein du bloc euro à propos de la prochaine tranche des 109 milliards d'euros du second plan de secours à la Grèce, à l'approche d'une sécrie de votes cruciaux concernant une éventuelle extension du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen.
Celui de la Finlande doit notamment avoir lieu dans la journée.
La finance coiffait le bonnet d'âne, BNP Paribas s'effondrant de 5.08%, la Société Générale de 2.81%, et la Deutsche Bank allemande de 3.98%.
Les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit dévissant quand à eux respectivement de 1.49 et 2.42%, et l'espagnol Banco Santander de 1.72%.
Le constructeur automobile français Peugeot Citroën s'est effondré de 4.03% après que Goldman Sachs en ait revu sa recommandation à la baisse, passant du neutre à la vente, invoquant le peu de potentiel de progression pour la compagnie sur l'année prochaine, et la possibilité d'une contagion du problème du surendettement de la région comme étant un risque majeur.
A Londres, le FTSE 100 a plongé de 0.83%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Le plus atteint se trouvait être le Man Group, gestionnaire de fonds d'investissement, dégringolant de 21.08% après avoir avoué que les actifs qu'ils contrôlait avaient fondu d'environ 6 milliards d'USD au second trimestre.
Barclays a glissé de 3.35%, la Royal Bank of Scotland de 3.32% et Lloyds Banking de 3.3%.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys ont perdu respectivement 2.13 et 2.04%, et les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto 1.51 et 2.49%.
Les perspectives des marchés américains étaient également moroses: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.15%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.21% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.27%.
Les Etats-Unis divulgueront dans la journée le volume officiel des commandes de biens durables, et Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, devrait prononcer un discours dans l'après-midi.