Investing.com - Les bourses européennes ont poursuivi leur offensive ce mercredi après-midi, dans le sillage de bonnes nouvelles régionales, bien que de piètres résultats chinois aient ranimé le spectre d'un essoufflement de l'essor de la seconde économie mondiale.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 1,29%, le CAC 40 français de 1,31%, et le DAX 30 allemand de 1,13%.
L'indice composite de l'activité du bloc euro établi par le groupe de recherches économiques Markit est quand à lui remonté depuis 48,7 vers 50,4 pour le mois en cours, grâce regain d'énergie de la locomotive franco-allemande, laissant espérer une sortie de récession au troisième trimestre.
Celui des directeurs d'achat des industries germaniques avait ainsi bondi de 48,6 vers 50,3 pour juillet, surpassant du coup les 49,2 espérés, alors que son équivalent concernant les services était remonté des 50,4 de juin à 52,5, dépassant également les 50,8 anticipés.
Ceux de la france sont respectivement passés de 48,4 à 49,8, établissant un sommet de 17 mois, et de 47,2 à 48,2 dans le même temps.
La finance arborait un sourire plus unanime que ce matin, la Deutsche Bank allemande epochant 0,43%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 2,12 et 1,64%.
L'agence de presse Bloomberg avait auparavant révélé que la première se préparait à fusionner deux branches de courtage de dettes londoniens, afin de diminuer les coûts de fonctionnement et les investissements risqués.
La périphérie n'était pas en reste, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 1,36 et 1,47%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,23 et 1,27%.
Sur le front de la construction automobile, Volvo accélérait de 4,08% après avoir annoncé des bénéfices d'exploitation supérieurs aux prédictions.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait 0,95%, tiré vers le haut par des exploitants et des extracteurs en forme.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassaient 0,31 et 0,67%, leurs rivaux Glencore et Vedanta Resources étant aussi de la fête avec 2,37 et 2,44%.
Parmi les autres bonnes nouvelles, ARM Holdings, qui met notamment au point les microprocesseurs des iPhone et iPads d'Apple, raflait 4,62%, prolongeant son ascension après avoir revendiqué un chiffre d'affaires du second trimestre supérieur aux espérances, les fabricants d'intelliphones et de tablettes électroniques voyant leurs exigences graphiques et donc leurs besoins en capacité informatique augmenter.
La compagnie aérienne EasyJet était aussi sur les rangs, s'envolant de 7,69% grâce à des rentrées gonflant de 11% sur le trimestre, dûes à un meilleur taux d'occupation et des rentrées supérieures par siège.
La City était plus mitigée, Barclays dérapant de 0,72% et Lloyds Banking de 0,58%, tandis que la Royal Bank of Scotland et HSBC Holdings émergeaient de 0,68 et 0,88%.
Les perspectives des marchés américains partageaient nettement l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,17%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,25% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,82%.
Il avait été signalé à l'aube que la première évaluation du baromètre de l'activité manufacturière de la Chine établie par HSBC avait plongé depuis 48,2 vers 47,7 pour juillet, son niveau le plus bas en 11 mois, alors qu'un sursaut à 48,6 était envisagé.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le nombre de leurs ventes de logements neufs.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 1,29%, le CAC 40 français de 1,31%, et le DAX 30 allemand de 1,13%.
L'indice composite de l'activité du bloc euro établi par le groupe de recherches économiques Markit est quand à lui remonté depuis 48,7 vers 50,4 pour le mois en cours, grâce regain d'énergie de la locomotive franco-allemande, laissant espérer une sortie de récession au troisième trimestre.
Celui des directeurs d'achat des industries germaniques avait ainsi bondi de 48,6 vers 50,3 pour juillet, surpassant du coup les 49,2 espérés, alors que son équivalent concernant les services était remonté des 50,4 de juin à 52,5, dépassant également les 50,8 anticipés.
Ceux de la france sont respectivement passés de 48,4 à 49,8, établissant un sommet de 17 mois, et de 47,2 à 48,2 dans le même temps.
La finance arborait un sourire plus unanime que ce matin, la Deutsche Bank allemande epochant 0,43%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 2,12 et 1,64%.
L'agence de presse Bloomberg avait auparavant révélé que la première se préparait à fusionner deux branches de courtage de dettes londoniens, afin de diminuer les coûts de fonctionnement et les investissements risqués.
La périphérie n'était pas en reste, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 1,36 et 1,47%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,23 et 1,27%.
Sur le front de la construction automobile, Volvo accélérait de 4,08% après avoir annoncé des bénéfices d'exploitation supérieurs aux prédictions.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait 0,95%, tiré vers le haut par des exploitants et des extracteurs en forme.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassaient 0,31 et 0,67%, leurs rivaux Glencore et Vedanta Resources étant aussi de la fête avec 2,37 et 2,44%.
Parmi les autres bonnes nouvelles, ARM Holdings, qui met notamment au point les microprocesseurs des iPhone et iPads d'Apple, raflait 4,62%, prolongeant son ascension après avoir revendiqué un chiffre d'affaires du second trimestre supérieur aux espérances, les fabricants d'intelliphones et de tablettes électroniques voyant leurs exigences graphiques et donc leurs besoins en capacité informatique augmenter.
La compagnie aérienne EasyJet était aussi sur les rangs, s'envolant de 7,69% grâce à des rentrées gonflant de 11% sur le trimestre, dûes à un meilleur taux d'occupation et des rentrées supérieures par siège.
La City était plus mitigée, Barclays dérapant de 0,72% et Lloyds Banking de 0,58%, tandis que la Royal Bank of Scotland et HSBC Holdings émergeaient de 0,68 et 0,88%.
Les perspectives des marchés américains partageaient nettement l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,17%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,25% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,82%.
Il avait été signalé à l'aube que la première évaluation du baromètre de l'activité manufacturière de la Chine établie par HSBC avait plongé depuis 48,2 vers 47,7 pour juillet, son niveau le plus bas en 11 mois, alors qu'un sursaut à 48,6 était envisagé.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le nombre de leurs ventes de logements neufs.