Investing.com - Les bourses européennes étaient en net recul ce jeudi, les angoisses liées au résultat du referendum controversé de la Grèce sur le plan de secours continuant à alourdir l'atmosphère.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 1.02%, le CAC 40 français de 0.6%, et le DAX 30 allemand de 0.96%.
Les observateurs guettaient les résultats du vote grec à venir sur le dernier programme d'aide, après que les dirigeants franco-allemands aient averti Athènes qu'elle ne recevrait plus d'aides européennes jusqu'à ce qu'elle décide de continuer ou non à faire partie de la zone euro.
Le Mécanisme de Stabilisation Financière Européen s'est du coup trouvé forcé de mettre en attente son programme de mise en vente de 3 milliards d'euros sur les marchés obligataires, aggravant les inquiétudes régionales.
La finance coiffait le bonnet d'âne, en raison de sa vulnérabilité à la crise de la dette souveraine. La banque française la Société Générale plongeant de 5.32%, BNP Paribas de 3.78%, mais aussi les allemands Deutsche Bank et Allianz de respectivement 3.21 et 3.33%.
Les prêteurs de la périphérie ont également subi ce contrecoup, l'italien Intesa Sanpaolo dévissant de 5.43% et Unicredit de 3.39%, après que le conseil de stabilité financière de Rome ait avoué que certains établissements nationaux avaient des difficultés à lever des fonds sur les marchés internationaux.
Les constructeurs automobiles ont aggravé la situation, alors que les cours du pétrole baissaient. Daimler a cadé 0.99%, Volkswagen 0.13% et Fiat pas moins de 2.12%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a perdu 0.34%, tiré vers le bas par la baisse des valeurs énergétiques. Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton fondant respectivement de 1.92 et 1.73%, et British Petroleum de 0.61%.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys ont pour leur part coulé de 1.76 et 3.04%.
Les acteurs financiers de Grande-Bretagne ont également subi la tempête, Barclays s'effondrant de 2.11%, la Royal Bank of Scotland de 1.38%, sans oublier Lloyds Banking et HSBC Holdings de 1.25 et 1.18%.
Les perspectives des marchés américains n'étaient pas mieux loties: les options sur le Dow Jones prévoyaient un déclin de 0.62%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.69% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.86%.
La Banque Centrale Européenne devrait pour sa part tenir aujourd'hui sa première réunion présidée par Mario Draghi, et les Etats-Unis rendront leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'une étude sur l'activité tertiaire de l'institut de gestion des approvisionnements.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 1.02%, le CAC 40 français de 0.6%, et le DAX 30 allemand de 0.96%.
Les observateurs guettaient les résultats du vote grec à venir sur le dernier programme d'aide, après que les dirigeants franco-allemands aient averti Athènes qu'elle ne recevrait plus d'aides européennes jusqu'à ce qu'elle décide de continuer ou non à faire partie de la zone euro.
Le Mécanisme de Stabilisation Financière Européen s'est du coup trouvé forcé de mettre en attente son programme de mise en vente de 3 milliards d'euros sur les marchés obligataires, aggravant les inquiétudes régionales.
La finance coiffait le bonnet d'âne, en raison de sa vulnérabilité à la crise de la dette souveraine. La banque française la Société Générale plongeant de 5.32%, BNP Paribas de 3.78%, mais aussi les allemands Deutsche Bank et Allianz de respectivement 3.21 et 3.33%.
Les prêteurs de la périphérie ont également subi ce contrecoup, l'italien Intesa Sanpaolo dévissant de 5.43% et Unicredit de 3.39%, après que le conseil de stabilité financière de Rome ait avoué que certains établissements nationaux avaient des difficultés à lever des fonds sur les marchés internationaux.
Les constructeurs automobiles ont aggravé la situation, alors que les cours du pétrole baissaient. Daimler a cadé 0.99%, Volkswagen 0.13% et Fiat pas moins de 2.12%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a perdu 0.34%, tiré vers le bas par la baisse des valeurs énergétiques. Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton fondant respectivement de 1.92 et 1.73%, et British Petroleum de 0.61%.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys ont pour leur part coulé de 1.76 et 3.04%.
Les acteurs financiers de Grande-Bretagne ont également subi la tempête, Barclays s'effondrant de 2.11%, la Royal Bank of Scotland de 1.38%, sans oublier Lloyds Banking et HSBC Holdings de 1.25 et 1.18%.
Les perspectives des marchés américains n'étaient pas mieux loties: les options sur le Dow Jones prévoyaient un déclin de 0.62%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.69% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.86%.
La Banque Centrale Européenne devrait pour sa part tenir aujourd'hui sa première réunion présidée par Mario Draghi, et les Etats-Unis rendront leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'une étude sur l'activité tertiaire de l'institut de gestion des approvisionnements.