Face à l'escalade des tensions au Moyen-Orient, plusieurs compagnies aériennes internationales ont pris des mesures pour assurer la sécurité de leurs vols. La compagnie grecque AEGEAN AIRLINES a annulé tous ses vols à destination de Beyrouth, Amman et Tel Aviv. Les vols devraient reprendre le 19 août. AIR ALGERIE, la compagnie aérienne algérienne, a temporairement interrompu ses vols à destination et en provenance du Liban, sans préciser de date de reprise.
La compagnie lettone airBaltic a également rejoint la liste, suspendant ses vols à destination et en provenance de Tel Aviv jusqu'au 18 août. AIR INDIA, la compagnie nationale indienne, a interrompu ses vols réguliers à destination et en provenance de Tel Aviv pour une durée indéterminée. La compagnie aérienne française Air France a prolongé jusqu'à aujourd'hui la suspension de ses vols entre Paris et Beyrouth, et son partenaire KLM a annulé tous ses vols à destination et en provenance de Tel-Aviv jusqu'au 26 octobre. Transavia, une filiale à bas prix d'Air France-KLM (EPA:AIRF), ne desservira pas Tel Aviv jusqu'au 31 mars 2025.
Cathay Pacific, basée à Hong Kong, a également annulé tous ses vols vers Tel Aviv jusqu'au 27 mars 2025. Aux États-Unis, Delta Air Lines a prolongé la suspension de ses vols entre New York et Tel Aviv jusqu'au 31 août. La compagnie aérienne britannique à bas prix easyJet a cessé ses vols vers et depuis Tel Aviv en avril et prévoit de les reprendre le 30 mars 2025.
Finnair, la compagnie aérienne finlandaise, continue d'éviter l'espace aérien iranien, ce qui pourrait allonger la durée des vols au départ et à destination de Doha. ITA Airways, le transporteur italien, a prolongé jusqu'au 19 août la suspension de ses vols à destination et en provenance de Tel Aviv.
Le groupe Lufthansa (ETR:LHAG), qui comprend plusieurs compagnies aériennes telles que Swiss Air Lines, Brussels Airlines et Austrian Airlines, évite l'espace aérien iranien et irakien et a suspendu ses vols à destination et en provenance de plusieurs villes de la région jusqu'au 21 août.
Ryanair, la plus grande compagnie aérienne à bas prix d'Europe, a annulé ses vols à destination et en provenance de Tel Aviv jusqu'au 3 septembre en raison de "restrictions opérationnelles". SunExpress Airlines a annulé tous ses vols à destination de Beyrouth jusqu'à aujourd'hui. Singapore Airlines a cessé d'utiliser l'espace aérien iranien et réachemine ses vols en conséquence.
La compagnie roumaine TAROM a prolongé jusqu'au 16 août la suspension des vols à destination de Tel Aviv, Amman et Beyrouth. La compagnie United Airlines de Chicago a suspendu ses vols vers Tel-Aviv pour une durée indéterminée après avoir interrompu son service quotidien entre Newark (New Jersey) et Tel-Aviv le 31 juillet pour des raisons de sécurité. Vueling, une compagnie aérienne espagnole à bas prix appartenant à IAG, a annulé tous ses vols vers Tel Aviv et Amman jusqu'au 26 octobre.
En outre, le Royaume-Uni a émis un avis à l'intention des compagnies aériennes britanniques, déconseillant l'entrée dans l'espace aérien libanais du 8 août au 4 novembre, en raison des risques potentiels liés à l'activité militaire. Ces mesures témoignent de la prudence accrue dont font preuve les compagnies aériennes et les gouvernements face à l'incertitude de la situation sécuritaire dans la région.
Reuters a contribué à cet article.Cet article a été généré et traduit avec l'aide de l'IA et revu par un rédacteur. Pour plus d'informations, consultez nos T&C.