Investing.com - Les bourses européennes étaient sur la brèche lors des transactions raréfiées de ce mardi matin, les résultats immobiliers décevants divulgués par les Etats-Unis ayant de nouveau étouffé les rumeurs d'un tour de vis imminent de leur banque centrale, tandis que le moral profitait de nouvelles portugaises rassurantes.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,57%, le CAC 40 français de 0,33%, et le DAX 30 allemand de 0,36%.
Les places du monde entier ont en effet retrouvé le sourire après que l'association aéricaine des agents immobiliers ait révélé hier que le volume des ventse de logements d'occasion avaient plongé en juin de 1,2% pour un total annualisé de 5,08 millions, se maintenant cependant aux abords d'un pic de trois ans et demi.
Les cours locaux ont aussi repris du poil de la bête au lendemain de l'annonce par Pedro Passos Coelho, premier ministre du Portugal, du maintien en place du gouvernement actuel, après qu'un consensus entre les dirigeants politiques ait émergé concernant le respect du programme de sauvetage national se montant à 78 milliards d'euros.
La finance avait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 0,61%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,93 et 1,40%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 1,41 et 2%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,47 et 1,46%.
A Paris, Vivendi bondissait de 2,80% avec son entrée en négociations exclusives visant la vente de ses parts de l'opérateur de téléphonie mobile marocain Maroc Telecom à Emirates Telecommunications pour 4,2 milliards d'euros, afin de se recentrer sur ses activités médiatiques.
Dans le même secteur, la branche allemande de Telefonica grimpai de 2,69% après avoir accepté d'acquérir la division E-Plus de Royal KPN, elle aussi orientée dans la téléphonie mobile, pour 5 milliards d'euros de liquidités, ainsi qu'une part de leur coentreprise avec de réduire ses frais tout en augmentant le nombre de ses abonnés.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait 0,49%, tiré vers le haut par des exploitants et des extracteurs en grande forme.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassaient 1,91 et 0,95%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American partageant le même sort avec 2,47 et Evraz aussi avec 2,70%.
La City suivait quand à elle majoritairement le chemin tracé sur le continent, HSBC Holdings raflant 0,90%, Barclays 0,92% et la Royal Bank of Scotland 1,10%, tandis que Lloyds Banking laissait pas contre échapper 0,14%.
Les perspectives des marchés américains partageaient l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,25%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,25% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,29%.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,57%, le CAC 40 français de 0,33%, et le DAX 30 allemand de 0,36%.
Les places du monde entier ont en effet retrouvé le sourire après que l'association aéricaine des agents immobiliers ait révélé hier que le volume des ventse de logements d'occasion avaient plongé en juin de 1,2% pour un total annualisé de 5,08 millions, se maintenant cependant aux abords d'un pic de trois ans et demi.
Les cours locaux ont aussi repris du poil de la bête au lendemain de l'annonce par Pedro Passos Coelho, premier ministre du Portugal, du maintien en place du gouvernement actuel, après qu'un consensus entre les dirigeants politiques ait émergé concernant le respect du programme de sauvetage national se montant à 78 milliards d'euros.
La finance avait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 0,61%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,93 et 1,40%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 1,41 et 2%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,47 et 1,46%.
A Paris, Vivendi bondissait de 2,80% avec son entrée en négociations exclusives visant la vente de ses parts de l'opérateur de téléphonie mobile marocain Maroc Telecom à Emirates Telecommunications pour 4,2 milliards d'euros, afin de se recentrer sur ses activités médiatiques.
Dans le même secteur, la branche allemande de Telefonica grimpai de 2,69% après avoir accepté d'acquérir la division E-Plus de Royal KPN, elle aussi orientée dans la téléphonie mobile, pour 5 milliards d'euros de liquidités, ainsi qu'une part de leur coentreprise avec de réduire ses frais tout en augmentant le nombre de ses abonnés.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait 0,49%, tiré vers le haut par des exploitants et des extracteurs en grande forme.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassaient 1,91 et 0,95%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American partageant le même sort avec 2,47 et Evraz aussi avec 2,70%.
La City suivait quand à elle majoritairement le chemin tracé sur le continent, HSBC Holdings raflant 0,90%, Barclays 0,92% et la Royal Bank of Scotland 1,10%, tandis que Lloyds Banking laissait pas contre échapper 0,14%.
Les perspectives des marchés américains partageaient l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,25%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,25% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,29%.