Investing.com - Les bourses européennes étaient encore plus en forme ce mercredi après-midi, dans le sillage de propos rassurants de la part de l'autorité monétaire régionale et de bonnes nouvelles provenant d'Allemagne, malgré l'ombre grandissante d'un resserrage des boulons de la part de la banque centrale américaine.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 bondissait de 2,17%, le CAC 40 français de 1,90%, et le DAX 30 allemand de 1,53%.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, avait en effet déclaré dans la matinée que les perspectives générales du bloc ayant adopté la monnaie unique exigeaient la poursuite d'une politique assouplie, dont la fin n'était pas encore en vue.
Le baromètre du moral des consommateurs allemands établi par le groupe de recherches économiques Gfk a qiand à lui frémi en juin depuis 6,5 vers 6,8, alors qu'une stagnation était envisagée.
L'angoisse de difficultés d'emprunt en Chine s'est d'autre part apaisée après que la banque centrale du pays ait laissé entendre hier qu'elle abreuvait les établissements financiers en argent frais.
La finance gardait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 2,32%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 2,86 et 3,37%.
La périphérie avait retrouvé l'unité, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 3,70 et 3,46%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant désormais le pas avec 2,77 et 1,90%.
Colruyt, premier revendeur de produits alimentaires à prix cassés de Belgique, grimpait pour sa part de 0,28% après avoir revendiqué 699,8 millions d'euros de revenus annuels, dépassant ainsi les 684 millions généralement pressentis.
A Londres, le FTSE 100 avançait de 0,97%, bien que la Banque d'Angleterre ait averti à la mi-journée les banques, les assurances et les emprunteurs des dangers d'une flambée des taux, pointant toujourss du doigt la crise européenne comme premier danger menaçant l'économie britannique.
La City suivait le chemin tracé sur le continent, Royal Bank of Scotland arrachant ainsi 0,57%, HSBC Holdings 1,54% et Lloyds Banking 1,73%, Lloyds Banking se situant en pointe avec 1,83%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières souffraient tujours malgré cela, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant de 0,16 et 1,54%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American et Eurasian Natural Resources n'étant pas en reste avec 2,23 et 3,64%.
Les perspectives des marchés américains étaient optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,38%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,47%, et celles sur le Nasdaq 100 à 0,61%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec les chiffres révisés de leur croissance au premier trimestre.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 bondissait de 2,17%, le CAC 40 français de 1,90%, et le DAX 30 allemand de 1,53%.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, avait en effet déclaré dans la matinée que les perspectives générales du bloc ayant adopté la monnaie unique exigeaient la poursuite d'une politique assouplie, dont la fin n'était pas encore en vue.
Le baromètre du moral des consommateurs allemands établi par le groupe de recherches économiques Gfk a qiand à lui frémi en juin depuis 6,5 vers 6,8, alors qu'une stagnation était envisagée.
L'angoisse de difficultés d'emprunt en Chine s'est d'autre part apaisée après que la banque centrale du pays ait laissé entendre hier qu'elle abreuvait les établissements financiers en argent frais.
La finance gardait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 2,32%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 2,86 et 3,37%.
La périphérie avait retrouvé l'unité, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 3,70 et 3,46%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant désormais le pas avec 2,77 et 1,90%.
Colruyt, premier revendeur de produits alimentaires à prix cassés de Belgique, grimpait pour sa part de 0,28% après avoir revendiqué 699,8 millions d'euros de revenus annuels, dépassant ainsi les 684 millions généralement pressentis.
A Londres, le FTSE 100 avançait de 0,97%, bien que la Banque d'Angleterre ait averti à la mi-journée les banques, les assurances et les emprunteurs des dangers d'une flambée des taux, pointant toujourss du doigt la crise européenne comme premier danger menaçant l'économie britannique.
La City suivait le chemin tracé sur le continent, Royal Bank of Scotland arrachant ainsi 0,57%, HSBC Holdings 1,54% et Lloyds Banking 1,73%, Lloyds Banking se situant en pointe avec 1,83%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières souffraient tujours malgré cela, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant de 0,16 et 1,54%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American et Eurasian Natural Resources n'étant pas en reste avec 2,23 et 3,64%.
Les perspectives des marchés américains étaient optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,38%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,47%, et celles sur le Nasdaq 100 à 0,61%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec les chiffres révisés de leur croissance au premier trimestre.