Investing.com - Les bourses européennes ont légèrement redressé la barre lors des rares échanges de ce lundi après-midi, subissant toujours, comme celles du monde entier, l'angoisse d'une fermeture imminente des vannes de la banque centrale des Etats-Unis.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,25%, le CAC 40 français de 0,22%, et le DAX 30 allemand de 0,04%.
Les cours avaient en effet perdu des plumes après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait rappelé la semaine passée que l'ampleur de son programme de rachats d'actifs pourrait être réduite en cas de bonnes performances économiques, mais qu'aucun "programme prédéfini" n'était établi.
Les ministres des finances et les chefs des banques centrales du groupe des 20 pays les plus développés ont quand à eux mis en relief en fin de semaine l'importance d'une transition "prudente" lors de la fermeture des robinets, afin que la volatilité des marchés résultante ne vienne pas perturber la reprise mondiale.
Ils ont estimé samedi que les prochains changements d'orientation dans la politique monétaire devraient être "mesurés avec précaution et expliqués avec pédagogie", sans oublier d'être "proportionnels" aux évolutions économiques.
La finance voyait son sourire s'accentuer, la Deutsche Bank allemande empochant 2,22%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 2,12 et 2,19%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,64 et 0,45%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,71 et 2,18%.
Le secteur allait aussi bien en Suisse, l'UBS, première du pays sur le créneau, bondissant de 3,12% après avoir revendiqué des bénéfices en augmentation au second trimestre et un accord imminent concernant ses ventes américaines de titres adossés à des hypothèques.
Royal Philips Electronics était aussi à l'offensive, engrangeant 3,72% grâce à des profits sur la même période s'envolant de 30%, son programme d'économies à hauteur de 1,1 miliards d'euros l'ayant aidé à compenser un ralentissement de la consommation dans la région.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, se laissait pourtant arracher 0,11%, la forme de ses exploitants se trouvant craquelée.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient ainsi de 0,40 et 0,54%, leurs rivaux Fresnillo et Randgold Resources accumulant par contre 3,06 et 5,91%.
La City restait encore divisée, HSBC Holdings et Lloyds Banking se rétractant de 0,12 et 0,27%, tandis que Barclays et la Royal Bank of Scotland émergeaient de 1,31 et 1,57%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles modérément positives: les options sur le Dow Jones prévoyaient un frémissementt de 0,02%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,09%, et celles sur le Nasdaq 100 à 0,17%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté voir les acteurs du secteur immobilier conclure la journée avec leurs informations portant sur les ventes de logements d'occasion.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,25%, le CAC 40 français de 0,22%, et le DAX 30 allemand de 0,04%.
Les cours avaient en effet perdu des plumes après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait rappelé la semaine passée que l'ampleur de son programme de rachats d'actifs pourrait être réduite en cas de bonnes performances économiques, mais qu'aucun "programme prédéfini" n'était établi.
Les ministres des finances et les chefs des banques centrales du groupe des 20 pays les plus développés ont quand à eux mis en relief en fin de semaine l'importance d'une transition "prudente" lors de la fermeture des robinets, afin que la volatilité des marchés résultante ne vienne pas perturber la reprise mondiale.
Ils ont estimé samedi que les prochains changements d'orientation dans la politique monétaire devraient être "mesurés avec précaution et expliqués avec pédagogie", sans oublier d'être "proportionnels" aux évolutions économiques.
La finance voyait son sourire s'accentuer, la Deutsche Bank allemande empochant 2,22%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 2,12 et 2,19%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,64 et 0,45%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,71 et 2,18%.
Le secteur allait aussi bien en Suisse, l'UBS, première du pays sur le créneau, bondissant de 3,12% après avoir revendiqué des bénéfices en augmentation au second trimestre et un accord imminent concernant ses ventes américaines de titres adossés à des hypothèques.
Royal Philips Electronics était aussi à l'offensive, engrangeant 3,72% grâce à des profits sur la même période s'envolant de 30%, son programme d'économies à hauteur de 1,1 miliards d'euros l'ayant aidé à compenser un ralentissement de la consommation dans la région.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, se laissait pourtant arracher 0,11%, la forme de ses exploitants se trouvant craquelée.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient ainsi de 0,40 et 0,54%, leurs rivaux Fresnillo et Randgold Resources accumulant par contre 3,06 et 5,91%.
La City restait encore divisée, HSBC Holdings et Lloyds Banking se rétractant de 0,12 et 0,27%, tandis que Barclays et la Royal Bank of Scotland émergeaient de 1,31 et 1,57%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles modérément positives: les options sur le Dow Jones prévoyaient un frémissementt de 0,02%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,09%, et celles sur le Nasdaq 100 à 0,17%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté voir les acteurs du secteur immobilier conclure la journée avec leurs informations portant sur les ventes de logements d'occasion.