Investing.com - Les bourses européennes avançaient en rangs dispersés ce mercredi, le moral se trouvant renforcé par l'imminence de l'opération trèss attendue de refinancement à long terme de la Banque Centrale Européenne.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.49%, le CAC 40 français de 0.32%, et le DAX 30 allemand de 0.61%.
La BCE avait déjà attribué en décembre 489 milliards d'euros en prêts trieennaux à plus de 500 banques, évitant ainsi un assèchement du système bancaire de la zone euro, et apaisant la pression pesant sur les marchés obligataires régionaux.
La finance se trouvait logiquement dans le peloton de tête, les prêteurs français Société Générale et BNP Paribas bondissant respectivement de 2.1 et 1.82%, leurs collègues allemands Deutsche Bank et Commerzbank se contentant de 1.48 et 1.61%.
Ceux de la périphérie ont aussi suivi le mouvement, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo s'élevant de 2.08 et 1.76%, les espagnoles BBVA et Banco Saantander suivant le mouvement de 1.63 et 1.61%.
Holcim, second fabriquant de ciment au monde, a pour sa part pris 0.23% suite à des ventes et des rentrées dépassant les prévisions.
Parmi les moins bonnes nouvelles, Bouygues a plongé de 2.62%, l'empire français du bâtiment, de la télévision et des télécommunications ayant pourtant enregistré des bénéfices supérieurs aux attentes, mais annoncé que ceux-ci reculeraient de 1% cette année, tirés vers le bas par la branche de téléphonie mobile.
A Londres, le FTSE 100 s'est replié de 0.14%, après qu'un étude ait montré que la confiance des consommateurs britanniques avait davantage diminué en févrierr que redouté.
Les prêteurs de Grande-Bretagne ont toutefois suivi le chemin tracé par leurs homologues continentaux, HSBC Holdings bondissant de 1.15%, Lloyds Banking de 0.95%, Barclays et la Royal Bank of Scotland se limitant à 0.9 et 0.28%
Standard Chartered a encaissé 1.08% de son côté suite à l'annonce de profits ayant explosé de 12% l'année dernière, battant des records pour la huitième année d'affilée, grâce à la croissance de ses services bancaires aux entreprises et aux particuliers.
Les mastodontes Rio Tinto et BHP Billiton ont pour leur part fondu de 0.68 et 0.61%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys grignotant par contre 0.39 et 0.26%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles légèrement optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.06%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.07% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.09%.
Les Etats-Unis comptent divulguer dans l'après-midi leur évaluations préliminaires portant sur le produit intérieur brut du quatrième trimestre, puis l'état de l'activité manufacturière dans la région de Chicago.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, témoignera d'autre part dans le cadre de son rapport semestriel sur la politique monétaire devant le comité financier parlementaire de Washington.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.49%, le CAC 40 français de 0.32%, et le DAX 30 allemand de 0.61%.
La BCE avait déjà attribué en décembre 489 milliards d'euros en prêts trieennaux à plus de 500 banques, évitant ainsi un assèchement du système bancaire de la zone euro, et apaisant la pression pesant sur les marchés obligataires régionaux.
La finance se trouvait logiquement dans le peloton de tête, les prêteurs français Société Générale et BNP Paribas bondissant respectivement de 2.1 et 1.82%, leurs collègues allemands Deutsche Bank et Commerzbank se contentant de 1.48 et 1.61%.
Ceux de la périphérie ont aussi suivi le mouvement, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo s'élevant de 2.08 et 1.76%, les espagnoles BBVA et Banco Saantander suivant le mouvement de 1.63 et 1.61%.
Holcim, second fabriquant de ciment au monde, a pour sa part pris 0.23% suite à des ventes et des rentrées dépassant les prévisions.
Parmi les moins bonnes nouvelles, Bouygues a plongé de 2.62%, l'empire français du bâtiment, de la télévision et des télécommunications ayant pourtant enregistré des bénéfices supérieurs aux attentes, mais annoncé que ceux-ci reculeraient de 1% cette année, tirés vers le bas par la branche de téléphonie mobile.
A Londres, le FTSE 100 s'est replié de 0.14%, après qu'un étude ait montré que la confiance des consommateurs britanniques avait davantage diminué en févrierr que redouté.
Les prêteurs de Grande-Bretagne ont toutefois suivi le chemin tracé par leurs homologues continentaux, HSBC Holdings bondissant de 1.15%, Lloyds Banking de 0.95%, Barclays et la Royal Bank of Scotland se limitant à 0.9 et 0.28%
Standard Chartered a encaissé 1.08% de son côté suite à l'annonce de profits ayant explosé de 12% l'année dernière, battant des records pour la huitième année d'affilée, grâce à la croissance de ses services bancaires aux entreprises et aux particuliers.
Les mastodontes Rio Tinto et BHP Billiton ont pour leur part fondu de 0.68 et 0.61%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys grignotant par contre 0.39 et 0.26%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles légèrement optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.06%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.07% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.09%.
Les Etats-Unis comptent divulguer dans l'après-midi leur évaluations préliminaires portant sur le produit intérieur brut du quatrième trimestre, puis l'état de l'activité manufacturière dans la région de Chicago.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, témoignera d'autre part dans le cadre de son rapport semestriel sur la politique monétaire devant le comité financier parlementaire de Washington.