Investing.com - Les bourses européennes étaient en retrait ce vendredi, le spectre du plafond de surendettement des Etats-Unis reléguant au second plan le statu quo adopté par leur banque nationale, dans l'ombre d'élections allemandes imminentes.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,10%, le CAC 40 français de 0,20%, et le DAX 30 allemand de 0,18%.
La nervosité était palpable alors que les élus démocrates et républicains doivent rapidement décider du futur du budget du gouvernement, en autorisant ou non un relèvement de sa capacité d'endettement maximale.
Si ils ne trouvent pas un terrain d'entente avec l'administration Obama pour aller dans cette direction, la trésorerie pourrait dépasser les 16,7 billions lui étant assignés, ce qui pourait mettre le pays en défaut.
Les résultats des élections législatives allemandes de dimanche seront aussi surveillés de près, la chancelière Angela Merkel briguant un troisième mandat.
La finance était sur la défensive, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,05%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,02 et 0,56%.
La première avait auparavant bénéficié d'un appel annulant la décision la forçant à payer à son ancien client Chang Tse Wen 49 millions d'USD pour négligences concernant la divulgation des risques touchant ses investissements.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 0,45 et 0,73%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,88 et 1,01%.
Le fabricant d'articles de sport Adidas s'effondrait de 4,76%, après avoir rabaissé de 7,9% la fourchette basse de ses projections de bénéfices annuelles, invoquant le renforcement de l'euro, un problème de distribution en Russie et la morosité du marché du golf.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, reculait de 0,15%, tiré vers le bas par des exploitants et des extracteurs en berne.
Les mastodontes miniers Glencore Xstrata et Rio Tinto fondaient de 0,85 et 2,47%, les cuivriers Polymetal et Randgold Resources n'étant pas à l'abri avec 4,76 et 2,73%.
La City suivait quand à elle majoritairement le chemin tracé sur le continent, HSBC Holdings glissant de 0,45%, Barclays de 0,64% et la Royal Bank of Scotland de 0,89%.
Lloyds Banking émergeait par contre de 0,25% alors qu'il se disait que Westpac Banking, le Macquarie Group, Pepper Australia Pty et l'Australia & New Zealand Banking Group s'apprêtaient à formuler des offres engageantes finales pour acquérir ses filiales australiennes.
Les marchés américains partageaient modérément le pessimisme ambiant: le Dow Jones perdait 0,09%, le S&P 500 0,11% et le Nasdaq 100 0,03%.
Le volume des transactions semblait devoir être minime aujourd'hui, en l'absence de résultats économiques majeurs.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,10%, le CAC 40 français de 0,20%, et le DAX 30 allemand de 0,18%.
La nervosité était palpable alors que les élus démocrates et républicains doivent rapidement décider du futur du budget du gouvernement, en autorisant ou non un relèvement de sa capacité d'endettement maximale.
Si ils ne trouvent pas un terrain d'entente avec l'administration Obama pour aller dans cette direction, la trésorerie pourrait dépasser les 16,7 billions lui étant assignés, ce qui pourait mettre le pays en défaut.
Les résultats des élections législatives allemandes de dimanche seront aussi surveillés de près, la chancelière Angela Merkel briguant un troisième mandat.
La finance était sur la défensive, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,05%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,02 et 0,56%.
La première avait auparavant bénéficié d'un appel annulant la décision la forçant à payer à son ancien client Chang Tse Wen 49 millions d'USD pour négligences concernant la divulgation des risques touchant ses investissements.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 0,45 et 0,73%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,88 et 1,01%.
Le fabricant d'articles de sport Adidas s'effondrait de 4,76%, après avoir rabaissé de 7,9% la fourchette basse de ses projections de bénéfices annuelles, invoquant le renforcement de l'euro, un problème de distribution en Russie et la morosité du marché du golf.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, reculait de 0,15%, tiré vers le bas par des exploitants et des extracteurs en berne.
Les mastodontes miniers Glencore Xstrata et Rio Tinto fondaient de 0,85 et 2,47%, les cuivriers Polymetal et Randgold Resources n'étant pas à l'abri avec 4,76 et 2,73%.
La City suivait quand à elle majoritairement le chemin tracé sur le continent, HSBC Holdings glissant de 0,45%, Barclays de 0,64% et la Royal Bank of Scotland de 0,89%.
Lloyds Banking émergeait par contre de 0,25% alors qu'il se disait que Westpac Banking, le Macquarie Group, Pepper Australia Pty et l'Australia & New Zealand Banking Group s'apprêtaient à formuler des offres engageantes finales pour acquérir ses filiales australiennes.
Les marchés américains partageaient modérément le pessimisme ambiant: le Dow Jones perdait 0,09%, le S&P 500 0,11% et le Nasdaq 100 0,03%.
Le volume des transactions semblait devoir être minime aujourd'hui, en l'absence de résultats économiques majeurs.