Investing.com - Les bourses européennes restaient pessimistes ce lundi après-midi, es opérateurs préféraient rester sur la touche avant la réunion des membres de l'Eurogroupe d'aujourd'hui, axée sur le déblocage de la prochaine tranche d'aides destinées à Athènes.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.7%, le CAC 40 français de 0.9%, et le DAX 30 allemand de 0.4%.
Mais la prudence restait de mise avant la réunion des membres de l'Eurogroupe d'aujourd'hui, axée sur le déblocage de la prochaine tranche d'aides destinées à Athènes.
Angela Merkel, la chancelière allemande, avait déclaré qu'un compromis pourrait être trouvé à cette occasion, tandis que Pierre Moscovici, chargé des caisses de l'état français, estimait en fin de semaine que le but était proche.
Mais l'atmosphère s'était par contre assombrie après que l'Espagne ait vu les partis séparatistes catalans remporter la majorité lors des élections de dimanche.
Cette victoire a fait craindre des difficultés pour la quatrième économie de la zone euro, la Catalogne représentant près de 20% de son activité et fournissant les plus grosses rentrées fiscales au gouvernement central.
La finance était nettement en difficulté, les français BNP Paribas et Société Générale reculant respectivement de 1.25 et 1.8%, imités par la Deutsche Bank allemande avec 1.7%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols BBVA et Banco Santander laissant échapper 0.6 et 0.7%, tandis que l'italien Unicredit limitait les dégâts à 0.6%.
ThyssenKrupp, sidérurgiste allemand, dérapait de 4.6% après que le Crédit Suisse en ait ramené son évaluation vers la neutralité.
Le groupe de recherches économiques Gfk avait souligné en fin de matinée que son baromètre de l'humeur des consommateurs allemands avait trébuché depuis les 6.1, après révision à la baisse des 6.3 préalablement annoncé pour octobre, jusqu'à 5.9 pour le mois en cours.
Les experts redoutaient déjà de le voir se contracter à 6.2%.
A Londres, le FTSE 100 a sombré de 0.7%, les établissements financiers de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Barclays s'effondrait de 4.5% après que Qatar Holding ait déclaré compter en céder pour 771 millions de GBP d'actions à travers la liquidation des garanties qu'il possède encore dans la banque britannique.
Parmi ses collègues, Lloyds Banking dérapait aussi de 2%, HSBC Holdings de 1.15%, et la Royal Bank of Scotland de 3%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.55%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.55% également et celles sur le Nasdaq 100 à 0.4%.
L'attention restait toutefois attirée par la menace du mur fiscal américain, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires, devant prendre effet pour un total d'environ 600 milliards d'USD d'ici le premier janvier.
Les parlementaires doivent entamer à Washington une session de trois semaines après les congés dûs au récent pont.
Certains craignent ainsi que cet obstacle supplémentaire ne replonge l'économie nationale dans la récession, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des six semaines précédant la date fatidique.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.7%, le CAC 40 français de 0.9%, et le DAX 30 allemand de 0.4%.
Mais la prudence restait de mise avant la réunion des membres de l'Eurogroupe d'aujourd'hui, axée sur le déblocage de la prochaine tranche d'aides destinées à Athènes.
Angela Merkel, la chancelière allemande, avait déclaré qu'un compromis pourrait être trouvé à cette occasion, tandis que Pierre Moscovici, chargé des caisses de l'état français, estimait en fin de semaine que le but était proche.
Mais l'atmosphère s'était par contre assombrie après que l'Espagne ait vu les partis séparatistes catalans remporter la majorité lors des élections de dimanche.
Cette victoire a fait craindre des difficultés pour la quatrième économie de la zone euro, la Catalogne représentant près de 20% de son activité et fournissant les plus grosses rentrées fiscales au gouvernement central.
La finance était nettement en difficulté, les français BNP Paribas et Société Générale reculant respectivement de 1.25 et 1.8%, imités par la Deutsche Bank allemande avec 1.7%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols BBVA et Banco Santander laissant échapper 0.6 et 0.7%, tandis que l'italien Unicredit limitait les dégâts à 0.6%.
ThyssenKrupp, sidérurgiste allemand, dérapait de 4.6% après que le Crédit Suisse en ait ramené son évaluation vers la neutralité.
Le groupe de recherches économiques Gfk avait souligné en fin de matinée que son baromètre de l'humeur des consommateurs allemands avait trébuché depuis les 6.1, après révision à la baisse des 6.3 préalablement annoncé pour octobre, jusqu'à 5.9 pour le mois en cours.
Les experts redoutaient déjà de le voir se contracter à 6.2%.
A Londres, le FTSE 100 a sombré de 0.7%, les établissements financiers de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Barclays s'effondrait de 4.5% après que Qatar Holding ait déclaré compter en céder pour 771 millions de GBP d'actions à travers la liquidation des garanties qu'il possède encore dans la banque britannique.
Parmi ses collègues, Lloyds Banking dérapait aussi de 2%, HSBC Holdings de 1.15%, et la Royal Bank of Scotland de 3%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.55%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.55% également et celles sur le Nasdaq 100 à 0.4%.
L'attention restait toutefois attirée par la menace du mur fiscal américain, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires, devant prendre effet pour un total d'environ 600 milliards d'USD d'ici le premier janvier.
Les parlementaires doivent entamer à Washington une session de trois semaines après les congés dûs au récent pont.
Certains craignent ainsi que cet obstacle supplémentaire ne replonge l'économie nationale dans la récession, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des six semaines précédant la date fatidique.