Investing.com - Les bourses européennes étaient nettement en forme ce jeudi matin, les propos apparemment favorables aux maintien des assouplissements tenus par le chef de la banque centrale américaine ayant tiré les bourses du monde entier vers le haut.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 1,18%, le CAC 40 français de 1,06%, et le DAX 30 allemand de 1,48%.
Les cours sont en effet remontés après que Ben Bernanke, à la tête de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait confirmé que cette dernière poursuivrait ses assouplissements aussi longtemps que les prévisions pouvaient porter, grâce à la faiblesse de l'inflation et en raison d'un chômage élevé.
Le compte-rendu détaillé de son dernier conseil directeur avait pourtant montré auparavant que ses membres étaient divisés sur le moment où il faudrait en réduire la voilure, se montant à 85 milliards d'USD mensuels.
La finance avait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 2,10%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,60 et 2,29%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,78 et 1,47%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 2,10 et 1,88%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait 1%, tiré vers le haut par des exploitants en forte hausse.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto bondissaient de 4,58 et 4,48%, sans oublier leurs rivaux Fresnillo et Polymetal avec 9,57 et 7,96%.
La City suivait elle aussi le chemin tracé sur le continent, HSBC Holdings grimpant de 0,79%, et la Royal Bank of Scotland de 1,16%, Lloyds Banking et Barclays se portant en tête avec 1,29 et 1,48%.
La compagnie aérienne EasyJet s'élevait de 0,60%, alors que ses actionnaires s'apprêtaient à voter aujourd'hui à propos de la commande de 135 Airbus, évaluée à 13 milliards d'USD.
Le chasseur de têtes britannique Hays Plc engrangeait aussi 2,68% après avoir déclaré que le total net de ses honoraires pour le quatrième trimestre fiscal avait gonflé de 3%, projetant des profits annuels se situant dans la portion élevée d'une fourchette des évaluations allant de 112,3 à 125,5 millions de GBP.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,91%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,98% et celles sur le Nasdaq 100 à 1,05%.
Les Etats-Unis comptaient quand à eux conclure la journée avec le décompte hebdomadaire de leurs nouvelles inscriptions au chômage.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 1,18%, le CAC 40 français de 1,06%, et le DAX 30 allemand de 1,48%.
Les cours sont en effet remontés après que Ben Bernanke, à la tête de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait confirmé que cette dernière poursuivrait ses assouplissements aussi longtemps que les prévisions pouvaient porter, grâce à la faiblesse de l'inflation et en raison d'un chômage élevé.
Le compte-rendu détaillé de son dernier conseil directeur avait pourtant montré auparavant que ses membres étaient divisés sur le moment où il faudrait en réduire la voilure, se montant à 85 milliards d'USD mensuels.
La finance avait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 2,10%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,60 et 2,29%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,78 et 1,47%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 2,10 et 1,88%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait 1%, tiré vers le haut par des exploitants en forte hausse.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto bondissaient de 4,58 et 4,48%, sans oublier leurs rivaux Fresnillo et Polymetal avec 9,57 et 7,96%.
La City suivait elle aussi le chemin tracé sur le continent, HSBC Holdings grimpant de 0,79%, et la Royal Bank of Scotland de 1,16%, Lloyds Banking et Barclays se portant en tête avec 1,29 et 1,48%.
La compagnie aérienne EasyJet s'élevait de 0,60%, alors que ses actionnaires s'apprêtaient à voter aujourd'hui à propos de la commande de 135 Airbus, évaluée à 13 milliards d'USD.
Le chasseur de têtes britannique Hays Plc engrangeait aussi 2,68% après avoir déclaré que le total net de ses honoraires pour le quatrième trimestre fiscal avait gonflé de 3%, projetant des profits annuels se situant dans la portion élevée d'une fourchette des évaluations allant de 112,3 à 125,5 millions de GBP.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,91%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,98% et celles sur le Nasdaq 100 à 1,05%.
Les Etats-Unis comptaient quand à eux conclure la journée avec le décompte hebdomadaire de leurs nouvelles inscriptions au chômage.